Dabou - Le ministère de la Culture et de la Francophonie (MCF), en partenariat avec l’Organisation des Nations unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO), organise, de mardi à vendredi à Dabou, un séminaire de renforcement des capacités des professionnels de la culture sur la convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI) ivoirien.
Ce séminaire entre dans le cadre du programme d’inventaire du PCI auquel le gouvernement ivoirien veut parvenir. L'ouverture des travaux a été présidée par le directeur de cabinet du ministre de la Culture et de la Francophonie, Fausseni Dembélé, qui avait à ses côtés le chef du bureau de l’UNESCO en Côte d’Ivoire, Ydo Yao.
Les participants, une vingtaine, sont instruits par deux experts de l'UNESCO, à savoir la Malgache Anatolie Raharimalala et le Burundais Domitien Nizigiyimana sur diverses thématiques au nombre desquelles "rappel des critères et des étapes de l’inscription d’un bien sur la liste représentative du PCI de l’humanité’’, "Comment impliquer les communautés concernées dans la sauvegarde du PCI ’’ et "Qui peut faire quoi en matière de sauvegarde’’.
Le Patrimoine culturel immatériel se définit dans la Convention de 2003 signée le 17 octobre à Paris (France) comme l’ensemble des pratiques, représentations, expressions, connaissances et savoir-faire que les communautés et, le cas échéant, les individus reconnaissent comme faisant partie intégrante de leur patrimoine culturel.
Transmis de génération en génération, il se manifeste ,notamment, par la tradition et les expressions orales, y compris la langue, par les arts du spectacle, les rituels et événements festifs ainsi que les savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel.
(AIP)
kkp/akn/ask
Ce séminaire entre dans le cadre du programme d’inventaire du PCI auquel le gouvernement ivoirien veut parvenir. L'ouverture des travaux a été présidée par le directeur de cabinet du ministre de la Culture et de la Francophonie, Fausseni Dembélé, qui avait à ses côtés le chef du bureau de l’UNESCO en Côte d’Ivoire, Ydo Yao.
Les participants, une vingtaine, sont instruits par deux experts de l'UNESCO, à savoir la Malgache Anatolie Raharimalala et le Burundais Domitien Nizigiyimana sur diverses thématiques au nombre desquelles "rappel des critères et des étapes de l’inscription d’un bien sur la liste représentative du PCI de l’humanité’’, "Comment impliquer les communautés concernées dans la sauvegarde du PCI ’’ et "Qui peut faire quoi en matière de sauvegarde’’.
Le Patrimoine culturel immatériel se définit dans la Convention de 2003 signée le 17 octobre à Paris (France) comme l’ensemble des pratiques, représentations, expressions, connaissances et savoir-faire que les communautés et, le cas échéant, les individus reconnaissent comme faisant partie intégrante de leur patrimoine culturel.
Transmis de génération en génération, il se manifeste ,notamment, par la tradition et les expressions orales, y compris la langue, par les arts du spectacle, les rituels et événements festifs ainsi que les savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel.
(AIP)
kkp/akn/ask