Valoriser et émanciper le balafon sont les arguments qui ont conduit experts et gardiens de la tradition à instituer le Festibalafons ou le festival des balafons.
La 2ème édition du festival des balafons (Festibalafons) se tient du 24 au 28 mars 2015 autour du thème «De la tradition à la modernité». En ouverture, le 24 mars à Le Basquiat Art Gallery, à la Riviera 2, une exposition des balafons. Ce sont différents types de balafons (Diatonique, Djomolo, Chromatique et Hexatonique) avec des commentaires sur l’histoire, la provenance, le rôle ponctués de démonstrations qui ont constitué les tableaux de cette exposition. Le balafon qui occupe une place maîtresse dans la tradition de certains peuples, se voit donc honoré par ce festival. Les 25, 26, 27 et 28 mars seront marqués par des ateliers de composition (à l’Insaac, 25 mars), des colloques (le 26 au Goethe Institut), des concerts (Insaac et Fabrique culturelle, 27 et 28). De l’avis de l’initiateur du projet, Ba Banga Nyeck, «le balafon, comme tout instrument de musique a des codes qui doivent lui être accordés». A l’occasion, Adepo Yapo, Dr Hien Sié, Olivier Pascal Koua et Wêrê Wêrê Liking Gnépo de la Côte d’Ivoire, Martin Gruer et le Français Pierre Charvet ont été coptées pour animer les ateliers et colloques. Concernant les concerts, ce sont le groupe Djarabikan, les non-voyants du centre Zoé et Bach in Afrique qui mettront en exergue leur talent au service du balafon. Le balafon est un instrument qui s’accorde selon les gammes les plus utilisées en musiques modernes. Le balafon diatonique, s’accorde selon les notes dites naturelles, sur le principe de la clé de sol. Le balafon chromatique quant à lui, s’accorde avec les mêmes notes avec en plus des altérations sur une ou plusieurs octaves. Le premier balafon chromatique de deux paliers en un seul bloc a été fabriqué par Youssouf Kéita, selon une invention de Wêrê Wêrê Liking Gnépo.
Koffi Y. Clément
La 2ème édition du festival des balafons (Festibalafons) se tient du 24 au 28 mars 2015 autour du thème «De la tradition à la modernité». En ouverture, le 24 mars à Le Basquiat Art Gallery, à la Riviera 2, une exposition des balafons. Ce sont différents types de balafons (Diatonique, Djomolo, Chromatique et Hexatonique) avec des commentaires sur l’histoire, la provenance, le rôle ponctués de démonstrations qui ont constitué les tableaux de cette exposition. Le balafon qui occupe une place maîtresse dans la tradition de certains peuples, se voit donc honoré par ce festival. Les 25, 26, 27 et 28 mars seront marqués par des ateliers de composition (à l’Insaac, 25 mars), des colloques (le 26 au Goethe Institut), des concerts (Insaac et Fabrique culturelle, 27 et 28). De l’avis de l’initiateur du projet, Ba Banga Nyeck, «le balafon, comme tout instrument de musique a des codes qui doivent lui être accordés». A l’occasion, Adepo Yapo, Dr Hien Sié, Olivier Pascal Koua et Wêrê Wêrê Liking Gnépo de la Côte d’Ivoire, Martin Gruer et le Français Pierre Charvet ont été coptées pour animer les ateliers et colloques. Concernant les concerts, ce sont le groupe Djarabikan, les non-voyants du centre Zoé et Bach in Afrique qui mettront en exergue leur talent au service du balafon. Le balafon est un instrument qui s’accorde selon les gammes les plus utilisées en musiques modernes. Le balafon diatonique, s’accorde selon les notes dites naturelles, sur le principe de la clé de sol. Le balafon chromatique quant à lui, s’accorde avec les mêmes notes avec en plus des altérations sur une ou plusieurs octaves. Le premier balafon chromatique de deux paliers en un seul bloc a été fabriqué par Youssouf Kéita, selon une invention de Wêrê Wêrê Liking Gnépo.
Koffi Y. Clément