Abidjan – Dans une déclaration publiée vendredi, l’Association internationale du transport aérien (IATA) dit suivre de près le développement des enquêtes concernant la tragédie du Germanwings 9525, ajoutant être profondément choquée et attristée par ce terrible événement.
Selon IATA, la sécurité est la principale priorité que toute personne impliquée dans l’industrie de l’aviation. « Les mots ne sauraient expliquer de façon adéquate la peine que nous ressentons. Nos pensées vont à l’endroit des amis et familles de tous ceux qui sont concernés par cette tragédie impensable », a déclaré Tony tyler, le président directeur général d’IATA.
« Les gens doivent être rassurés que l’avion demeure le moyen le plus sûr de voyager. Chaque accident est de trop », a-t-il ajouté, rassurant de la détermination constante de l’industrie aéronautique et des gouvernements à renforcer la sécurité du secteur.
Tony Tyler a souligné que chaque jour, ce sont quelque neuf millions de passagers qui sont transportés par avion. « Nous travaillons aussi dur que possible pour gagner leur confiance en les transportant en toute sécurité à leur destination », a-t-il poursuivi.
Les compagnies aériennes sont agréées par les gouvernements. Elles se soumettent aux réglementations et procédures sécuritaires nationales. Ceci implique les procédures relatives à l’accès du cockpit et les recommandations médicales, a-t-il fait observer.
Pour M. Tyler, il est urgent d’achever les investigations sur les accidents d’avion, en vue d’en déterminer les causes et prévenir la survenue de tragédies similaires.
IATA comprend quelque 250 compagnies aériennes représentant 84% du trafic aérien mondial.
Un avion Airbus A320 de la compagnie allemande Germanwings s’est crashé mardi dans l’Est de la France. Au départ de Düsseldorf (Allemagne) pour Barcelone (Espagne) avec 150 personnes à bord (144 passagers et six membres d’équipage), l’avion s’est écrasé à flanc de montagnes, dans les Alpes.
Selon les premières informations ressorties de la boite noire d’enregistrement des voix, la co-pilote, Andreas Lubitz, 28 ans, a volontairement dirigé l’appareil vers le bas, causant l’accident, alors que le commandant de bord s’était momentanément absenté pour se rendre dans les toilettes.
Les premiers témoignages font ressortir que le jeune homme avait dû suspendre sa formation il y a six ans, pour des troubles psychiques. De plus, il bénéficiait d’un arrêt de travail lorsqu’il effectuait ce vol.
Son ex-petite amie qui travaille dans la même compagnie a témoigné, vendredi, qu’Andreas Lubitz avait promis de commettre un acte qui ferait parler de lui à travers le monde. C’est désormais chose faite.
(AIP)
cmas
Selon IATA, la sécurité est la principale priorité que toute personne impliquée dans l’industrie de l’aviation. « Les mots ne sauraient expliquer de façon adéquate la peine que nous ressentons. Nos pensées vont à l’endroit des amis et familles de tous ceux qui sont concernés par cette tragédie impensable », a déclaré Tony tyler, le président directeur général d’IATA.
« Les gens doivent être rassurés que l’avion demeure le moyen le plus sûr de voyager. Chaque accident est de trop », a-t-il ajouté, rassurant de la détermination constante de l’industrie aéronautique et des gouvernements à renforcer la sécurité du secteur.
Tony Tyler a souligné que chaque jour, ce sont quelque neuf millions de passagers qui sont transportés par avion. « Nous travaillons aussi dur que possible pour gagner leur confiance en les transportant en toute sécurité à leur destination », a-t-il poursuivi.
Les compagnies aériennes sont agréées par les gouvernements. Elles se soumettent aux réglementations et procédures sécuritaires nationales. Ceci implique les procédures relatives à l’accès du cockpit et les recommandations médicales, a-t-il fait observer.
Pour M. Tyler, il est urgent d’achever les investigations sur les accidents d’avion, en vue d’en déterminer les causes et prévenir la survenue de tragédies similaires.
IATA comprend quelque 250 compagnies aériennes représentant 84% du trafic aérien mondial.
Un avion Airbus A320 de la compagnie allemande Germanwings s’est crashé mardi dans l’Est de la France. Au départ de Düsseldorf (Allemagne) pour Barcelone (Espagne) avec 150 personnes à bord (144 passagers et six membres d’équipage), l’avion s’est écrasé à flanc de montagnes, dans les Alpes.
Selon les premières informations ressorties de la boite noire d’enregistrement des voix, la co-pilote, Andreas Lubitz, 28 ans, a volontairement dirigé l’appareil vers le bas, causant l’accident, alors que le commandant de bord s’était momentanément absenté pour se rendre dans les toilettes.
Les premiers témoignages font ressortir que le jeune homme avait dû suspendre sa formation il y a six ans, pour des troubles psychiques. De plus, il bénéficiait d’un arrêt de travail lorsqu’il effectuait ce vol.
Son ex-petite amie qui travaille dans la même compagnie a témoigné, vendredi, qu’Andreas Lubitz avait promis de commettre un acte qui ferait parler de lui à travers le monde. C’est désormais chose faite.
(AIP)
cmas