Une conférence internationale s'est ouverte mardi à Abidjan en vue de lancer une campagne mondiale pour l'éradication de la peste des petits ruminants, une maladie virale très contagieuse qui décime les troupeaux de caprins et d'ovins.
La conférence, prévue pour durer trois jours, réunit des représentants d'environ 70 pays, dont des ministres, des partenaires au développement, la communauté scientifique, le secteur privé et la société civile, à l'initiative de la FAO et du gouvernement ivoirien.
Les participants vont discuter et approuver la stratégie mondiale de contrôle et d'éradication en cours et lancer une campagne mondiale visant à éliminer le virus de la peste des petits ruminants d'ici à 2030.
"La peste des petits ruminants, aussi meurtrière que la peste bovine et redoutée pour ses conséquences économiques importantes est devenue notre seconde cible commune pour un contrôle effectif et une éradication", a déclaré le ministre ivoirien des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani, à l'ouverture de la conférence.
"Une fois introduit dans les élevages, le virus peut infecter jusqu'à 90 % d'un troupeau et tuer jusqu'à 70 % des animaux infectés", a indiqué Kobenan Kouassi Adjoumani qui fait savoir que la peste des petits ruminants menace "environ 80 % du cheptel mondial, soit près de deux milliards de petits ruminants dans plus de 70 pays".
Pour le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE), Bernard Vallat, le manque d'une volonté politique commune de toutes les régions infectées (Afrique, moyen orient, Asie) en ressources pour appuyer les pays infectés les plus défavorisés menace la lutte pour l'éradication de la peste des petits ruminants.
A sa suite, le directeur général adjoint de la FAO, représentant régional pour l'Afrique, Bukar Tijani, a mis l'accent sur deux préoccupations clés pour contenir cette menace relativement à l'amélioration des moyens d'existence et à la production de protéines de qualité.
L'éradication de la peste des petits ruminants aura "un impact positif majeur" non seulement sur les moyens de subsistance des agriculteurs pauvres mais aussi sur "les objectifs de développement pour l'après-2015" et le "Défi Faim zéro" des Nations unies, assurent les organisateurs de la conférence.
La conférence, prévue pour durer trois jours, réunit des représentants d'environ 70 pays, dont des ministres, des partenaires au développement, la communauté scientifique, le secteur privé et la société civile, à l'initiative de la FAO et du gouvernement ivoirien.
Les participants vont discuter et approuver la stratégie mondiale de contrôle et d'éradication en cours et lancer une campagne mondiale visant à éliminer le virus de la peste des petits ruminants d'ici à 2030.
"La peste des petits ruminants, aussi meurtrière que la peste bovine et redoutée pour ses conséquences économiques importantes est devenue notre seconde cible commune pour un contrôle effectif et une éradication", a déclaré le ministre ivoirien des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani, à l'ouverture de la conférence.
"Une fois introduit dans les élevages, le virus peut infecter jusqu'à 90 % d'un troupeau et tuer jusqu'à 70 % des animaux infectés", a indiqué Kobenan Kouassi Adjoumani qui fait savoir que la peste des petits ruminants menace "environ 80 % du cheptel mondial, soit près de deux milliards de petits ruminants dans plus de 70 pays".
Pour le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE), Bernard Vallat, le manque d'une volonté politique commune de toutes les régions infectées (Afrique, moyen orient, Asie) en ressources pour appuyer les pays infectés les plus défavorisés menace la lutte pour l'éradication de la peste des petits ruminants.
A sa suite, le directeur général adjoint de la FAO, représentant régional pour l'Afrique, Bukar Tijani, a mis l'accent sur deux préoccupations clés pour contenir cette menace relativement à l'amélioration des moyens d'existence et à la production de protéines de qualité.
L'éradication de la peste des petits ruminants aura "un impact positif majeur" non seulement sur les moyens de subsistance des agriculteurs pauvres mais aussi sur "les objectifs de développement pour l'après-2015" et le "Défi Faim zéro" des Nations unies, assurent les organisateurs de la conférence.