Abidjan - Le Groupe des organisations féminines pour l’égalité Hommes/Femmes (GOFEHF) a été investi, mardi, à Abidjan, en présence de la Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d'Ivoire, Mme Aïchatou Mindaoudou.
Mme Mindaoudou a salué la création de cette organisation qui constituera un espace de rencontre et de concertation pour accompagner les efforts des autorités ivoiriennes dans l’atteinte du point d’achèvement de l’égalité entre les hommes et les femmes à tous les niveaux.
La Côte d’Ivoire, a-t-elle rappelé, est partie à plusieurs conventions internationales, notamment la Convention pour l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes qui, comme la Résolution 1325 du Conseil de Sécurité, prône l’éradication de toute forme de discrimination à l’égard des femmes.
"Cette Convention, oblige les Etats qui y ont adhéré, à promouvoir les femmes et à lever les barrières sociales qui empêchent l’égalité homme/ femme", a-t-elle fait savoir, indiquant que les actions à mener pour parvenir à l’égalité homme/femme reposent sur la mise en œuvre au plan national, des recommandations formulées dans les normes internationales, les normes régionales mais aussi et surtout sur l’action de la société civile.
"Le plus important c’est que ces normes soient traduites dans la réalité. Pour que cela soit possible il faut que la société civile joue son rôle d’éveil et de veille", a-t-elle souligné.
Selon la chef de l’ONUCI, la société civile doit exercer une vigilance continue et doit le cas échéant, régulièrement rappeler aux gouvernants la mise en œuvre des engagements qu’ils ont pris dans le cadre des conventions internationales. Cette veille permanente de la société civile devrait soutenir la réalisation de l’égalité homme/ femme.
"C’est un combat de longue haleine, et la société civile doit pouvoir, le cas échéant, faire preuve d’anticipation afin de faire des propositions pertinentes pour l’avancement de l’égalité homme/femme", a-t-elle indiqué.
"Je voudrais à ce niveau féliciter la présidente du GOFEHF parce qu’elle a déjà gagné la première bataille, car elle a réussi à rassembler des organisations de la société civile et faire en sorte qu’elles regardent dans le même sens en décidant de fédérer leurs efforts pour atteindre le même objectif. Je voudrais l’encourager à maintenir le cap", a-t-elle poursuivi.
La Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies a réaffirmé l’appui des agences du système des Nations Unies et de l’ONUCI au gouvernement ivoirien et à la société civile dans leur lutte pour l’élimination des discriminations à l’égard des femmes et pour la réalisation de l’égalité homme/femme.
Le GOFEHF est formé de dix-sept associations de la société civile.
ask
Mme Mindaoudou a salué la création de cette organisation qui constituera un espace de rencontre et de concertation pour accompagner les efforts des autorités ivoiriennes dans l’atteinte du point d’achèvement de l’égalité entre les hommes et les femmes à tous les niveaux.
La Côte d’Ivoire, a-t-elle rappelé, est partie à plusieurs conventions internationales, notamment la Convention pour l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes qui, comme la Résolution 1325 du Conseil de Sécurité, prône l’éradication de toute forme de discrimination à l’égard des femmes.
"Cette Convention, oblige les Etats qui y ont adhéré, à promouvoir les femmes et à lever les barrières sociales qui empêchent l’égalité homme/ femme", a-t-elle fait savoir, indiquant que les actions à mener pour parvenir à l’égalité homme/femme reposent sur la mise en œuvre au plan national, des recommandations formulées dans les normes internationales, les normes régionales mais aussi et surtout sur l’action de la société civile.
"Le plus important c’est que ces normes soient traduites dans la réalité. Pour que cela soit possible il faut que la société civile joue son rôle d’éveil et de veille", a-t-elle souligné.
Selon la chef de l’ONUCI, la société civile doit exercer une vigilance continue et doit le cas échéant, régulièrement rappeler aux gouvernants la mise en œuvre des engagements qu’ils ont pris dans le cadre des conventions internationales. Cette veille permanente de la société civile devrait soutenir la réalisation de l’égalité homme/ femme.
"C’est un combat de longue haleine, et la société civile doit pouvoir, le cas échéant, faire preuve d’anticipation afin de faire des propositions pertinentes pour l’avancement de l’égalité homme/femme", a-t-elle indiqué.
"Je voudrais à ce niveau féliciter la présidente du GOFEHF parce qu’elle a déjà gagné la première bataille, car elle a réussi à rassembler des organisations de la société civile et faire en sorte qu’elles regardent dans le même sens en décidant de fédérer leurs efforts pour atteindre le même objectif. Je voudrais l’encourager à maintenir le cap", a-t-elle poursuivi.
La Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies a réaffirmé l’appui des agences du système des Nations Unies et de l’ONUCI au gouvernement ivoirien et à la société civile dans leur lutte pour l’élimination des discriminations à l’égard des femmes et pour la réalisation de l’égalité homme/femme.
Le GOFEHF est formé de dix-sept associations de la société civile.
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