Bouaké - L’Agence comptable du Centre régional des œuvres universitaires (CROU) de Bouaké a été cambriolée, dans la nuit de mercredi à jeudi, par des bandits qui auraient saccagé et emporté du matériel informatique, ouvert un coffre fort métallique qu’ils ont ensuite abandonné dans l'arrière-cour.
Pour l’heure, la direction du CROU a décidé de ne pas livrer d’information officielle à la presse, mais les témoignages recueillis et le constat fait par l’AIP sur place, indique que les cambrioleurs ont visité différents bureaux du servie y compris celui de l’agent comptable où ils ont tenté d’ouvrir le grand coffre fort en vain.
Les dossiers sont en vrac dans les bureaux, l’unité centrale d’un ordinateur a été abandonnée dans l’arrière cour, des traces de sang et des vomissures sont visibles dans le hall où étaient enfermés le vigile et les agents de la police universitaire.
Les visiteurs nocturnes auraient neutralisé le vigile, après l’avoir molesté, avant de l’enfermer dans le hall avec des agents de la police universitaire. Ces derniers ont été libérés grâce l’intervention des responsables du service qui, alertés très tôt le matin, ont sollicité les services d’un ferronnier pour défoncer la porte d’entrée principale, en présence de la police.
Le vigile, dans un état critique, a été transféré au Centre hospitalier universitaire de Bouaké pour y recevoir des soins.
nbf/akn/ask
Pour l’heure, la direction du CROU a décidé de ne pas livrer d’information officielle à la presse, mais les témoignages recueillis et le constat fait par l’AIP sur place, indique que les cambrioleurs ont visité différents bureaux du servie y compris celui de l’agent comptable où ils ont tenté d’ouvrir le grand coffre fort en vain.
Les dossiers sont en vrac dans les bureaux, l’unité centrale d’un ordinateur a été abandonnée dans l’arrière cour, des traces de sang et des vomissures sont visibles dans le hall où étaient enfermés le vigile et les agents de la police universitaire.
Les visiteurs nocturnes auraient neutralisé le vigile, après l’avoir molesté, avant de l’enfermer dans le hall avec des agents de la police universitaire. Ces derniers ont été libérés grâce l’intervention des responsables du service qui, alertés très tôt le matin, ont sollicité les services d’un ferronnier pour défoncer la porte d’entrée principale, en présence de la police.
Le vigile, dans un état critique, a été transféré au Centre hospitalier universitaire de Bouaké pour y recevoir des soins.
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