Invitée le samedi 18 avril à participer à un panel organisé dans le cadre des Assemblées annuelles FMI/Banque Mondiale qui se tiennent à Washington aux Etats-Unis, la ministre auprès du Premier ministre en charge de l’Economie et des Finances, Kaba Nialé a dressé la situation économique de la Côte d’Ivoire, quatre ans après la fin de la longue crise.
La ministre a, au cours de ce panel dont le thème était « l’état de la Région Afrique », montré les progrès importants réalisés par la Côte d’Ivoire sur le plan de l’Economie, de l’Education, de la Santé et de la Cohésion sociale. « La Côte d’Ivoire se porte bien. Depuis que nous sommes sortis de la crise, nous avons des niveaux de croissance assez élevés. Nous avons une moyenne sur la période entre 8 et 9% avec un taux de croissance démographique qui a baissé en dessous de 3% », a expliqué Kaba Nialé.
« Ce regain de vitalité de l’économie ivoirienne est dû en partie, souligne-t-elle, à l’accompagnement des partenaires au développement notamment la Banque mondiale, le FMI et l’Union européenne qui ont consentis à des appuis budgétaires en faveur de la Côte d’Ivoire au sortir de la longue crise qu’a connu le pays ».
Si la croissance ces vingt dernières années a été financée par l’épargne extérieure, Kaba Nialé estime qu’il faut privilégier le financement interne du développement si la Côte d’Ivoire ainsi que la plupart des pays Africain veulent sortir de la pauvreté. Cela passe également par l’accroissement des ressources internes. Selon la ministre, les défis qui se présentent aujourd’hui à la Côte d’Ivoire sont entre autres la transformation au niveau locale des matières premières et la question de la diversification des ressources. Les questions multiformes liées notamment aux dépenses pro-pauvres qui ont attrait à l’éducation t à la santé font l’objet d’un intérêt tout particulier au niveau de l’action gouvernementale, a expliqué Kaba Nialé.
Sur la question des refugiés, l’Etat a fait des efforts et tout est en train de rentrer dans l’ordre avec l’appui des partenaires techniques et financier, a fait savoir la ministre.
Le Représentant de la Banque mondiale Macktar Diop a quant à lui indiqué que relever les différents défis auxquels les Etats Africains font fasse, exige que davantage de pouvoir soit donné aux organisations régionales. Et que les Etats travaillent sur les mécanismes qui contribueront à baisser les coûts de l’alimentation, de l’énergie et de la santé, qui sont plus chers en Afrique que partout dans le monde.
La ministre a, au cours de ce panel dont le thème était « l’état de la Région Afrique », montré les progrès importants réalisés par la Côte d’Ivoire sur le plan de l’Economie, de l’Education, de la Santé et de la Cohésion sociale. « La Côte d’Ivoire se porte bien. Depuis que nous sommes sortis de la crise, nous avons des niveaux de croissance assez élevés. Nous avons une moyenne sur la période entre 8 et 9% avec un taux de croissance démographique qui a baissé en dessous de 3% », a expliqué Kaba Nialé.
« Ce regain de vitalité de l’économie ivoirienne est dû en partie, souligne-t-elle, à l’accompagnement des partenaires au développement notamment la Banque mondiale, le FMI et l’Union européenne qui ont consentis à des appuis budgétaires en faveur de la Côte d’Ivoire au sortir de la longue crise qu’a connu le pays ».
Si la croissance ces vingt dernières années a été financée par l’épargne extérieure, Kaba Nialé estime qu’il faut privilégier le financement interne du développement si la Côte d’Ivoire ainsi que la plupart des pays Africain veulent sortir de la pauvreté. Cela passe également par l’accroissement des ressources internes. Selon la ministre, les défis qui se présentent aujourd’hui à la Côte d’Ivoire sont entre autres la transformation au niveau locale des matières premières et la question de la diversification des ressources. Les questions multiformes liées notamment aux dépenses pro-pauvres qui ont attrait à l’éducation t à la santé font l’objet d’un intérêt tout particulier au niveau de l’action gouvernementale, a expliqué Kaba Nialé.
Sur la question des refugiés, l’Etat a fait des efforts et tout est en train de rentrer dans l’ordre avec l’appui des partenaires techniques et financier, a fait savoir la ministre.
Le Représentant de la Banque mondiale Macktar Diop a quant à lui indiqué que relever les différents défis auxquels les Etats Africains font fasse, exige que davantage de pouvoir soit donné aux organisations régionales. Et que les Etats travaillent sur les mécanismes qui contribueront à baisser les coûts de l’alimentation, de l’énergie et de la santé, qui sont plus chers en Afrique que partout dans le monde.