Il est disponible dans le kiosque d’Abidjan.net et dans les librairies. C’est une véritable école de la vie. « Et si la victime devenait juge ! » de Régis Bakyono est un recueil de sept nouvelles (Femme de labeur, Je le jure !, Retour de manivelle, Et si la victime devenait juge, Le nectar au goût amer, La suppliciée et L’erreur) qui met en scène une dizaine de couples dont la relation s’est soldée dans la plupart des cas ou à des degrés divers par des échecs dûs à l’éloignement, l’infidélité, le divorce, la maladie ou le décès. « C’est l’expérience de petites vies que j’ai vécues, que j’ai vues autour de moi qui m’a conduit à joindre ma voix à celles de ceux qui m’ont devancé dans le domaine pour partager un message », a confié l’auteur récemment à la cérémonie de dédicace de l’œuvre à Ouagadougou. L‘ouvrage retrace la mondialité, l’urbanité et les personnages souffrent du conflit de la formation, de l’emploi, de cœur, une nouvelle quête identitaire fondée plus sur le devenir de l’individu que sur le devenir collectif. La première interrogation de l’auteur porte surtout sur le caractère sacré du mariage. Il fait le procès du mariage et s’interroge sur la pertinence des formes de l’union en ce 21ème siècle.
Une oeuvre tridimensionnelle préfacée par le Dr. Dramane Konaté qui permet, selon lui, au lecteur de prendre de la hauteur lorsqu’il entre en contact avec le recueil. « Intellectuellement, c’est une œuvre de très belle facture avec une thématique très variée ; culturellement, c’est une œuvre qui s’inscrit dans la diversité, avec une ouverture sur la mondialité ; spirituellement, c’est une œuvre qui donne des enseignements ». Pour lui, il n’y a aucun doute, « l’auteur inscrit son œuvre durablement dans les annales de la littérature burkinabè ».
Régis Bakyono est conseiller diplomatique à l’Ambassade du Burkina Faso à Vienne (Autriche). La passion et le soutien des proches, affirme l’auteur, ont été des facteurs incontournables qui lui ont permis de concilier son métier de diplomate et d’écrivain.
Né à Treichville (Côte d’Ivoire), l’auteur fréquente le petit séminaire Saint Jean de Katiola avant de rejoindre son pays, le Burkina Faso, où il obtient un Diplôme d’études approfondies (DEA) en lettres modernes. Il est plus tard reçu au concours de recrutement de Conseillers des Affaires étrangères et intègre la section diplomatie de l’Ecole nationale de la magistrature (ENAM) de Ouagadougou d’où il sort major de sa promotion.
Danielle Tagro
Une oeuvre tridimensionnelle préfacée par le Dr. Dramane Konaté qui permet, selon lui, au lecteur de prendre de la hauteur lorsqu’il entre en contact avec le recueil. « Intellectuellement, c’est une œuvre de très belle facture avec une thématique très variée ; culturellement, c’est une œuvre qui s’inscrit dans la diversité, avec une ouverture sur la mondialité ; spirituellement, c’est une œuvre qui donne des enseignements ». Pour lui, il n’y a aucun doute, « l’auteur inscrit son œuvre durablement dans les annales de la littérature burkinabè ».
Régis Bakyono est conseiller diplomatique à l’Ambassade du Burkina Faso à Vienne (Autriche). La passion et le soutien des proches, affirme l’auteur, ont été des facteurs incontournables qui lui ont permis de concilier son métier de diplomate et d’écrivain.
Né à Treichville (Côte d’Ivoire), l’auteur fréquente le petit séminaire Saint Jean de Katiola avant de rejoindre son pays, le Burkina Faso, où il obtient un Diplôme d’études approfondies (DEA) en lettres modernes. Il est plus tard reçu au concours de recrutement de Conseillers des Affaires étrangères et intègre la section diplomatie de l’Ecole nationale de la magistrature (ENAM) de Ouagadougou d’où il sort major de sa promotion.
Danielle Tagro
