A l'ouverture d'une réunion de haut niveau entre les institutions financières internationales et les agences de développement au siège des Nations Unies, à New York, le secrétaire général de l'Organisation, Ban Ki-moon, a appelé les gouvernements, le secteur privé et la société civile à travailler en étroite collaboration pour faire avancer l'ordre du jour du programme de développement pour l'après-2015.
"Trop de choses sont en jeu", a déclaré M. Ban, soulignant la nécessité d'identifier et de s'attaquer aux causes profondes des plus grands défis auxquels fait face la croissance économique mondiale, à savoir la montée des tensions géopolitiques, le taux de chômage élevé des jeunes et les inégalités entre les sexes en matière d'emploi.
"L'engagement fort de tous les secteurs ici présents illustre la coopération sans précédent qui est essentielle pour aller de l'avant s'agissant du programme de développement durable", a ajouté le secrétaire général dans son allocution d'ouverture.
Cette réunion annuelle de haut niveau, organisée à l'initiative du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC), comprenait des représentants de la Banque mondiale, du Fonds monétaire international (FMI), de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) et de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED).
Plusieurs ministres des finances, chefs d'entreprise et représentants de la société civile étaient également présents à cette réunion qui se poursuivra jusqu'au mardi 21 avril.
"Le programme de développement pour l'après-2015 est ambitieux. Les besoins de financement sont énormes. Ils ne peuvent être atteints que si nous travaillons ensemble, mais nous ne réussirons pas à moins de forger un partenariat et de tirer les leçons de l'économie mondiale actuelle", a déclaré M. Ban.
"La reprise de l'économie mondiale continue d'être marquée par sa lenteur", a-t-il ajouté. "Nous devons nous assurer de la disponibilité des ressources nécessaires à tous les niveaux, aussi bien national et international, que public et privé".
La séance de la matinée devait porter sur la cohérence, la coordination et la coopération dans le cadre du financement du développement durable pour le programme de développement pour l'après-2015. Le débat devait se poursuivre dans l'après-midi sur les défis actuels et les opportunités nouvelles en matière de mobilisation des ressources financières.
Cette réunion intervient à la veille de la troisième Conférence internationale sur le financement du développement à Addis-Abeba, en Ethiopie, au mois de juillet 2015, qui rassemblera des chefs d'Etat et de Gouvernement du monde entier.
Se référant à la future Conférence d'Addis-Abeba, le secrétaire général a déclaré qu'elle serait l'occasion de mettre au point un programme de développement sur le plan politique marqué par trois éléments : la mise en œuvre d'un cadre cohérent et exhaustif pour le développement durable ; l'obtention de résultats concrets dans un certain nombre de domaines critiques ; et l'établissement d'un processus de suivi fort pour veiller à ce qu'"aucun pays ne soit oublié".
"Seul un effort concerté de toutes les parties prenantes nous permettra de réussir. Nous devons travailler en étroite collaboration pour faire de cette année une année de l'action mondiale", a-t-il insisté.
"Trop de choses sont en jeu", a déclaré M. Ban, soulignant la nécessité d'identifier et de s'attaquer aux causes profondes des plus grands défis auxquels fait face la croissance économique mondiale, à savoir la montée des tensions géopolitiques, le taux de chômage élevé des jeunes et les inégalités entre les sexes en matière d'emploi.
"L'engagement fort de tous les secteurs ici présents illustre la coopération sans précédent qui est essentielle pour aller de l'avant s'agissant du programme de développement durable", a ajouté le secrétaire général dans son allocution d'ouverture.
Cette réunion annuelle de haut niveau, organisée à l'initiative du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC), comprenait des représentants de la Banque mondiale, du Fonds monétaire international (FMI), de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) et de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED).
Plusieurs ministres des finances, chefs d'entreprise et représentants de la société civile étaient également présents à cette réunion qui se poursuivra jusqu'au mardi 21 avril.
"Le programme de développement pour l'après-2015 est ambitieux. Les besoins de financement sont énormes. Ils ne peuvent être atteints que si nous travaillons ensemble, mais nous ne réussirons pas à moins de forger un partenariat et de tirer les leçons de l'économie mondiale actuelle", a déclaré M. Ban.
"La reprise de l'économie mondiale continue d'être marquée par sa lenteur", a-t-il ajouté. "Nous devons nous assurer de la disponibilité des ressources nécessaires à tous les niveaux, aussi bien national et international, que public et privé".
La séance de la matinée devait porter sur la cohérence, la coordination et la coopération dans le cadre du financement du développement durable pour le programme de développement pour l'après-2015. Le débat devait se poursuivre dans l'après-midi sur les défis actuels et les opportunités nouvelles en matière de mobilisation des ressources financières.
Cette réunion intervient à la veille de la troisième Conférence internationale sur le financement du développement à Addis-Abeba, en Ethiopie, au mois de juillet 2015, qui rassemblera des chefs d'Etat et de Gouvernement du monde entier.
Se référant à la future Conférence d'Addis-Abeba, le secrétaire général a déclaré qu'elle serait l'occasion de mettre au point un programme de développement sur le plan politique marqué par trois éléments : la mise en œuvre d'un cadre cohérent et exhaustif pour le développement durable ; l'obtention de résultats concrets dans un certain nombre de domaines critiques ; et l'établissement d'un processus de suivi fort pour veiller à ce qu'"aucun pays ne soit oublié".
"Seul un effort concerté de toutes les parties prenantes nous permettra de réussir. Nous devons travailler en étroite collaboration pour faire de cette année une année de l'action mondiale", a-t-il insisté.