Les enseignants du secondaire public de Dimbokro (lycée et collège modernes) ont déserté les salles de classe, ce jeudi, causant un arrêt momentané des cours et des épreuves physiques du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) « par mesure de soutien à des collègues » qui seraient victimes de ponctions sur leurs salaires.
Les cours en salles de classe au lycée et au collège modernes ainsi que le déroulement des épreuves physiques du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) connaissent un arrêt pour trois jours.
« Cet arrêt de travail de 72 heures est une mesure de soutien à certains collègues victimes de ponctions sur leurs salaires. Et vu que la mesure de ponction peut s’étendre à tous les enseignants, nous observons un arrêt de cours en signe de protestation et de mise en garde. Nous reprendrons probablement les cours lundi (Ndlr : le 27 avril), a déclaré un enseignant du lycée moderne.
Le directeur régional de l’éducation nationale et de l’enseignement technique (DRENET) du N’Zi, Ahoulé Zirimba Jacques a confirmé cet arrêt de 72 heures, déplorant que jusqu’ici, sa circonscription éducative était citée en exemple pour le déroulement normal des cours et des examens.
Aux environs du collège moderne, un groupe d’élèves rencontré affirment être sorti suite à des coups de sifflet de gendarmes.
« Cela n’est pas exact car nos éléments dans les établissements y sont pour la seule sécurisation des lieux et ne peuvent donc siffler de quelque manière que ce soit pour mettre les élèves dehors », rectifie un responsable de la marrée chaussée.
« Le mouvement du collectif des enseignants de l’Education nationale et de l’Enseignement technique de Dimbokro, Bocanda et Kouassi-Kouassikro a décidé d’un arrêt des cours pour 72 heures. Ils reprendront les cours le lundi. Et des éléments sont déployés dans les établissements notamment au lycée et au collège moderne pour sécuriser ces écoles », a-t-il expliqué.
zgrp/ask
Les cours en salles de classe au lycée et au collège modernes ainsi que le déroulement des épreuves physiques du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) connaissent un arrêt pour trois jours.
« Cet arrêt de travail de 72 heures est une mesure de soutien à certains collègues victimes de ponctions sur leurs salaires. Et vu que la mesure de ponction peut s’étendre à tous les enseignants, nous observons un arrêt de cours en signe de protestation et de mise en garde. Nous reprendrons probablement les cours lundi (Ndlr : le 27 avril), a déclaré un enseignant du lycée moderne.
Le directeur régional de l’éducation nationale et de l’enseignement technique (DRENET) du N’Zi, Ahoulé Zirimba Jacques a confirmé cet arrêt de 72 heures, déplorant que jusqu’ici, sa circonscription éducative était citée en exemple pour le déroulement normal des cours et des examens.
Aux environs du collège moderne, un groupe d’élèves rencontré affirment être sorti suite à des coups de sifflet de gendarmes.
« Cela n’est pas exact car nos éléments dans les établissements y sont pour la seule sécurisation des lieux et ne peuvent donc siffler de quelque manière que ce soit pour mettre les élèves dehors », rectifie un responsable de la marrée chaussée.
« Le mouvement du collectif des enseignants de l’Education nationale et de l’Enseignement technique de Dimbokro, Bocanda et Kouassi-Kouassikro a décidé d’un arrêt des cours pour 72 heures. Ils reprendront les cours le lundi. Et des éléments sont déployés dans les établissements notamment au lycée et au collège moderne pour sécuriser ces écoles », a-t-il expliqué.
zgrp/ask
