La première reunion du Collège des Superviseurs du Groupe Ecobank Transnational Incorporated (ETI) s’est ouverte mardi, à Abidjan, sous la présidence de M. Tiémoko Meyliet Koné, Gouverneur de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).
Organisée par l’organe communautaire de supervision bancaire, la commission Bancaire de l’Union Monétaire Ouest-Africaine, cette rencontre qui se tient les 28 et 29 avril, verra la participation aux travaux de représentants de treize (13) Autorité de supervision de filiales bancaires du groupe Ecobank installées en Afrique (CEMAC, Burundi, Ghana, Guinée, Kenya, Liberia, Nigeria, République Démocratique du Congo, Rwanda, Sao Tomé et Principe, Sierra-Leone, Zimbabwe) et en France.
Il convient de préciser que le Collège de superviseurs est un cadre de coopération permettant aux différentes Autorités de contrôle de partager des informations et d’avoir une compréhension commune du profil de risques du groupe bancaire, ainsi que des actions de supervision à entreprendre.
La rencontre devrait également constituer une occasion pour les superviseurs d’échanger avec les principaux dirigeants du groupe Ecobank et de formuler des recommandations visant une meilleure application de reglementation et délimitation plus précise des contrôles, au regard des risques identifiés.
A l’ouverture de la réunion, le gouverneur de la BCEAO également président de la Commission bancaire de l’UMOA a indiqué que l’organisation de Collèges de superviseurs est devenue une exigence aujourd’hui, au regard de l’expansion des groupes bancaires, notamment panafricains qui ont atteint une taille symétrique.
Il a mis en exergue les effets bénéfiques du développement de ces groupes au regard de leur apport au renforcement des capacités de financement des économies et des Etats.
En outre, M. Koné a souligné l’importance d’une collaboration étroite entre superviseurs des banques, pour prévénir les risques que cette expansion peut générer sur la stabilité des systèmes financiers.
Enfin, il a souhaité que les travaux offrent l’opportunité aux participants de procéder à des échanges fructeux, en vue de la consolidation de la resilience du systemme bancaire regional.
Par ailleurs, des représentants du Conseil regional de l’Epargne publique et des Marchés Financiers, de la Direction nationale de la BCEAO pour la Côte d’Ivoire, du Fonds Monétaire International, du Centre Afritac et du groupe Ecobank ont été invités à la rencontre.
Robert KRA
Organisée par l’organe communautaire de supervision bancaire, la commission Bancaire de l’Union Monétaire Ouest-Africaine, cette rencontre qui se tient les 28 et 29 avril, verra la participation aux travaux de représentants de treize (13) Autorité de supervision de filiales bancaires du groupe Ecobank installées en Afrique (CEMAC, Burundi, Ghana, Guinée, Kenya, Liberia, Nigeria, République Démocratique du Congo, Rwanda, Sao Tomé et Principe, Sierra-Leone, Zimbabwe) et en France.
Il convient de préciser que le Collège de superviseurs est un cadre de coopération permettant aux différentes Autorités de contrôle de partager des informations et d’avoir une compréhension commune du profil de risques du groupe bancaire, ainsi que des actions de supervision à entreprendre.
La rencontre devrait également constituer une occasion pour les superviseurs d’échanger avec les principaux dirigeants du groupe Ecobank et de formuler des recommandations visant une meilleure application de reglementation et délimitation plus précise des contrôles, au regard des risques identifiés.
A l’ouverture de la réunion, le gouverneur de la BCEAO également président de la Commission bancaire de l’UMOA a indiqué que l’organisation de Collèges de superviseurs est devenue une exigence aujourd’hui, au regard de l’expansion des groupes bancaires, notamment panafricains qui ont atteint une taille symétrique.
Il a mis en exergue les effets bénéfiques du développement de ces groupes au regard de leur apport au renforcement des capacités de financement des économies et des Etats.
En outre, M. Koné a souligné l’importance d’une collaboration étroite entre superviseurs des banques, pour prévénir les risques que cette expansion peut générer sur la stabilité des systèmes financiers.
Enfin, il a souhaité que les travaux offrent l’opportunité aux participants de procéder à des échanges fructeux, en vue de la consolidation de la resilience du systemme bancaire regional.
Par ailleurs, des représentants du Conseil regional de l’Epargne publique et des Marchés Financiers, de la Direction nationale de la BCEAO pour la Côte d’Ivoire, du Fonds Monétaire International, du Centre Afritac et du groupe Ecobank ont été invités à la rencontre.
Robert KRA