Gagnoa– L’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Georges Serre, est arrivé mercredi à Gagnoa, où il a visité la Plate-Forme de services (PFS) locale, visite qui lui a permis de s’enquérir des activités menées, dans le cadre du contrat de désendettement et développement (C2D), à la PFS locale.
M. Serre s’est entretenu, à cette occasion, avec des bénéficiaires du projet Thimo (Travaux à haute intensité de main d’œuvre), projet dont une quarantaine de jeunes de Gagnoa bénéficie, et visité les locaux de la mission de la PFS locale.
Au terme de cette visite, le diplomate français a noté des points de satisfaction, mais aussi quelques points de non satisfaction dans les activités menées à la PFS de Gagnoa.
‘’Nous Avons en face de nous, des équipes très motivées, nous l’avons perçu lors des discussions, nous avons aussi les élus locaux, que ce soit la région, la municipalité, et le député, qui soutiennent parfaitement ses efforts, et qui le soutiennent à la fois avec des financements mais aussi par l’octroi des locaux leur appartenant, le cas de la mairie’’, a noté comme points de satisfaction du projet à la PFS de Gagnoa, l’Ambassadeur Georges Serre.
Selon lui, il y a quelques rares points de non satisfactions a relevé dans le projet, estimant à ce niveau que l’’’on pouvait faire mieux.’’
‘’On pouvait faire mieux encore, c’est-à-dire qu’il faut qu’on aille sans doute maintenant chercher dans le secteur privé peut-être des gens qui ont besoin de faire des travaux, ou encore peut-être qu’il faut que la mairie et le conseil régional regardent s’ ils ont des travaux à faire pour pouvoir utiliser la main d’œuvre qui est là’’, a souligné l’Ambassadeur, tout en relevant qu’’’un projet, c’est toujours comme un être vivant, il faut avancer et trouver les meilleures solutions.’’
La PSF est un dispositif d’insertion des jeunes par l’activité économique. L’Association Plate-Forme de services-Côte d’Ivoire (PFS-CI), créée par l’Assemblée générale du 09 mars 2009, a le statut d’association avec une mission d’utilité publique. Sa mission fondamentale est l’insertion viable et durable des jeunes par l’activité économique en conformité avec les potentialités socioéconomiques et les opportunités des territoires. La PSF offre des services d’accompagnement de proximité pour le jeune et s’inscrit dans la dynamique de décentralisation en Côte d’Ivoire. Et, cette mission s’inscrit dans le cadre de la politique nationale en matière d’insertion des jeunes, conduite par le ministère en charge de l’Emploi.
Le Contrat de désendettement et développement (C2D) est, dit-on, une initiative originale qui vise à recycler la dette que la Côte d’Ivoire a contractée auprès de la France. Le mécanise est simple, explique-t-on. Le pays continue de rembourser sa dette mais, sitôt le remboursement constaté, la France reverse à, la Côte d’Ivoire une subvention d’un montant équivalent, pour financer des programmes de lutte contre la pauvreté.
Les axes et les programmes choisis font l’objet d’un accord commun entre les deux pays, représenté par la signature d’un contrat de désendettement et de développement. Aussi, deux C2D successifs, ont-ils été déjà signés, le premier en décembre 2012, d’un montant de 413,2 milliards de FCFA pour la période 2012-2015, et le second, signé en décembre 2014, d’un montant de plus de 721 milliards de FCFA (1,1 milliard d’euro), pour la période 2015-2020.
ja/akn/tm
M. Serre s’est entretenu, à cette occasion, avec des bénéficiaires du projet Thimo (Travaux à haute intensité de main d’œuvre), projet dont une quarantaine de jeunes de Gagnoa bénéficie, et visité les locaux de la mission de la PFS locale.
Au terme de cette visite, le diplomate français a noté des points de satisfaction, mais aussi quelques points de non satisfaction dans les activités menées à la PFS de Gagnoa.
‘’Nous Avons en face de nous, des équipes très motivées, nous l’avons perçu lors des discussions, nous avons aussi les élus locaux, que ce soit la région, la municipalité, et le député, qui soutiennent parfaitement ses efforts, et qui le soutiennent à la fois avec des financements mais aussi par l’octroi des locaux leur appartenant, le cas de la mairie’’, a noté comme points de satisfaction du projet à la PFS de Gagnoa, l’Ambassadeur Georges Serre.
Selon lui, il y a quelques rares points de non satisfactions a relevé dans le projet, estimant à ce niveau que l’’’on pouvait faire mieux.’’
‘’On pouvait faire mieux encore, c’est-à-dire qu’il faut qu’on aille sans doute maintenant chercher dans le secteur privé peut-être des gens qui ont besoin de faire des travaux, ou encore peut-être qu’il faut que la mairie et le conseil régional regardent s’ ils ont des travaux à faire pour pouvoir utiliser la main d’œuvre qui est là’’, a souligné l’Ambassadeur, tout en relevant qu’’’un projet, c’est toujours comme un être vivant, il faut avancer et trouver les meilleures solutions.’’
La PSF est un dispositif d’insertion des jeunes par l’activité économique. L’Association Plate-Forme de services-Côte d’Ivoire (PFS-CI), créée par l’Assemblée générale du 09 mars 2009, a le statut d’association avec une mission d’utilité publique. Sa mission fondamentale est l’insertion viable et durable des jeunes par l’activité économique en conformité avec les potentialités socioéconomiques et les opportunités des territoires. La PSF offre des services d’accompagnement de proximité pour le jeune et s’inscrit dans la dynamique de décentralisation en Côte d’Ivoire. Et, cette mission s’inscrit dans le cadre de la politique nationale en matière d’insertion des jeunes, conduite par le ministère en charge de l’Emploi.
Le Contrat de désendettement et développement (C2D) est, dit-on, une initiative originale qui vise à recycler la dette que la Côte d’Ivoire a contractée auprès de la France. Le mécanise est simple, explique-t-on. Le pays continue de rembourser sa dette mais, sitôt le remboursement constaté, la France reverse à, la Côte d’Ivoire une subvention d’un montant équivalent, pour financer des programmes de lutte contre la pauvreté.
Les axes et les programmes choisis font l’objet d’un accord commun entre les deux pays, représenté par la signature d’un contrat de désendettement et de développement. Aussi, deux C2D successifs, ont-ils été déjà signés, le premier en décembre 2012, d’un montant de 413,2 milliards de FCFA pour la période 2012-2015, et le second, signé en décembre 2014, d’un montant de plus de 721 milliards de FCFA (1,1 milliard d’euro), pour la période 2015-2020.
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