La plateforme de lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) a été instruite sur la méthode de prise en charge d’une survivante, à l’issue d’un atelier de formation organisé par l’Ong, ProJustice, L’International rescue committe (IRC) et le centre social de Bouaflé (Centre-ouest région de la Marahoué).
Cet atelier vise à renforcer les compétences des membres de la plateforme pour une meilleure prise en charge des violences basées sur le genre et améliorer les soins et soutiens aux survivantes, a-t-on appris auprès des organisateurs.
Selon la directrice du centre social, Kadet Ange, l’accueil de la survivante est très important car, il établit la relation de confiance qui apporte un réconfort et un soutien à la victime.
« Nous devons saluer et souhaiter la bienvenue au survivant, nous présenter et demander au survivant de se présenter et ensuite demander l’objet de la visite », a-t-elle fait savoir, précisant qu’il ne faut tenir compte ni de l’appartenance ethnique, religieuse, politique, ni du rang social, ni de la tenue vestimentaire de la victime.
Pour Mme Kadet, il est important d’écoute sans interruption ni à priori le récit que fait la survivante en étant disponible, en l’invitant à parler et non à l’interroger en cherchant des réponses aux questions.
« Nous devons utiliser une communication verbale appropriée poser quelques questions ouvertes, utiliser un langage adapté et si nécessaire, apporter un complément au discours de la victime », a-t-elle fait savoir, soulignant qu’il faut éviter les mots ou les expressions exprimant un jugement ou les formules qui prêtent à confusion.
La directrice du centre social a indiqué qu’au terme des échanges le point focal prend les références de la victime et fait le résumé de son récit.
Lors de ce séminaire, d’autres points ont été abordés notamment, les différents types de violences basées sur le genre et les facteurs de risque ou facteurs favorisant les violences sexuelles.
zaar/tm
Cet atelier vise à renforcer les compétences des membres de la plateforme pour une meilleure prise en charge des violences basées sur le genre et améliorer les soins et soutiens aux survivantes, a-t-on appris auprès des organisateurs.
Selon la directrice du centre social, Kadet Ange, l’accueil de la survivante est très important car, il établit la relation de confiance qui apporte un réconfort et un soutien à la victime.
« Nous devons saluer et souhaiter la bienvenue au survivant, nous présenter et demander au survivant de se présenter et ensuite demander l’objet de la visite », a-t-elle fait savoir, précisant qu’il ne faut tenir compte ni de l’appartenance ethnique, religieuse, politique, ni du rang social, ni de la tenue vestimentaire de la victime.
Pour Mme Kadet, il est important d’écoute sans interruption ni à priori le récit que fait la survivante en étant disponible, en l’invitant à parler et non à l’interroger en cherchant des réponses aux questions.
« Nous devons utiliser une communication verbale appropriée poser quelques questions ouvertes, utiliser un langage adapté et si nécessaire, apporter un complément au discours de la victime », a-t-elle fait savoir, soulignant qu’il faut éviter les mots ou les expressions exprimant un jugement ou les formules qui prêtent à confusion.
La directrice du centre social a indiqué qu’au terme des échanges le point focal prend les références de la victime et fait le résumé de son récit.
Lors de ce séminaire, d’autres points ont été abordés notamment, les différents types de violences basées sur le genre et les facteurs de risque ou facteurs favorisant les violences sexuelles.
zaar/tm
