L’auditorium de l’espace Café Téré de Williamsville sis dans la commune d’Adjamé était empli de monde hier, mercredi 6 mai 2015, aux environs de 18 h 30.
Parmi ce public qui a pris d’assaut la salle de projection du célèbre film ‘’la pirogue’’ du réalisateur sénégalais Touré Moussa, il y-avait peut être des candidats à l’exil clandestin.
Après la projection d’un reportage documentaire et du film à l’affiche et suite aux débats fructueux qui ont suivis, on ne peut affirmer avec certitude que nombreux de ces éventuels candidats à l’immigration clandestine, présents dans la salle, avaient encore les cœurs à l’ouvrage; tant l’océan comme pour crier le holà, a décidé d’en avaler par centaine, voir millier.
20 avril 2015: 300 morts noyés dans la mer. 21 avril 2015, soit le lendemain: 800 morts.
Plus qu’un drame, l’immigration clandestine est devenue une véritable tragédie du millénaire.
Débats fructueux, chaleureux, fraternels, entre anciens ‘’benguiss’’, ‘’USards’’ (USA) et public constitué à 70 % de jeunes à quai sur les bords de la lagune Ebrié.
Dirk Hennig, le représentant de l’Ambassadeur d’Allemagne en Côte d’ivoire, a certainement mieux compris l’enjeu que s’est assigné l’ONG ‘’Vivre’’ dont le leitmotiv est : ‘’ Ni juger, ni condamner, ni encourager…sensibiliser… les candidats à l’escalade de la mort par des chemins tortueux et suicidaires…
En un mot comme cent, ce fût une belle soirée cinématographique de sensibilisation, de don de soi, pour une cause juste qui ne doit laisser les pouvoirs publics, les gouvernants indifférents. Face au désespoir et la désespérance, on n’hésite pas hélas au péril de sa vie, à tenter d’enjamber ‘’l’océan génocidaire’’.
Parmi ce public qui a pris d’assaut la salle de projection du célèbre film ‘’la pirogue’’ du réalisateur sénégalais Touré Moussa, il y-avait peut être des candidats à l’exil clandestin.
Après la projection d’un reportage documentaire et du film à l’affiche et suite aux débats fructueux qui ont suivis, on ne peut affirmer avec certitude que nombreux de ces éventuels candidats à l’immigration clandestine, présents dans la salle, avaient encore les cœurs à l’ouvrage; tant l’océan comme pour crier le holà, a décidé d’en avaler par centaine, voir millier.
20 avril 2015: 300 morts noyés dans la mer. 21 avril 2015, soit le lendemain: 800 morts.
Plus qu’un drame, l’immigration clandestine est devenue une véritable tragédie du millénaire.
Débats fructueux, chaleureux, fraternels, entre anciens ‘’benguiss’’, ‘’USards’’ (USA) et public constitué à 70 % de jeunes à quai sur les bords de la lagune Ebrié.
Dirk Hennig, le représentant de l’Ambassadeur d’Allemagne en Côte d’ivoire, a certainement mieux compris l’enjeu que s’est assigné l’ONG ‘’Vivre’’ dont le leitmotiv est : ‘’ Ni juger, ni condamner, ni encourager…sensibiliser… les candidats à l’escalade de la mort par des chemins tortueux et suicidaires…
En un mot comme cent, ce fût une belle soirée cinématographique de sensibilisation, de don de soi, pour une cause juste qui ne doit laisser les pouvoirs publics, les gouvernants indifférents. Face au désespoir et la désespérance, on n’hésite pas hélas au péril de sa vie, à tenter d’enjamber ‘’l’océan génocidaire’’.