Abidjan (Côte d'Ivoire) - La 23è réunion plénière de la Commission Technique et le 14ème Comité ministériel du Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest (GIABA), se tiendront du 18 au 23 mai prochain à Yamoussoukro, la capitale politique et administrative ivoirienne.
Selon une note d'information transmise à APA lundi, la réunion de la Commission technique vise à faire le point de l'état d'avancement dans la sous région ouest africaine, de la mise en place de dispositifs nationaux de lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme conformément aux normes acceptées à l'échelle internationale.
Cette réunion identifie aussi les obstacles d'ordre juridique et institutionnel se présentant aux Etats membres dans cette quête. Elle va également formuler des propositions au Comité ministériel du GIABA, par l'intermédiaire du Secrétaire administratif, sur les mesures correctives à prendre.
La réunion du Comité ministériel, au terme des statuts révisés du GIABA, vise entre autres, à approuver le rapport d'activités du Directeur Général du GIABA, proposer les mesures de mise en demeure des Etats défaillants et à recommander, par l'intermédiaire du Conseil des Ministres de la CEDEAO, la suspension des Etats qui ne respectent pas leurs engagements.
A l'issue de ces deux réunions, tous les participants, autorités politiques et acteurs des dispositifs nationaux anti blanchiment d'argent et contre le financement du terrorisme, ainsi que les partenaires au développement et les institutions financières internationales, devront acquérir une meilleure connaissance de l'état de la lutte dans la sous région ouest africaine durant les six mois écoulés.
Ces assises du GIABA permettront d'une part, à la Côte d'Ivoire d'affirmer davantage son retour effectif sur la scène internationale et d'autre part, de démontrer son engagement dans la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme.
La Côte d'Ivoire est appelée selon cette note, à mettre à profit cette occasion exceptionnelle pour montrer son fort engagement politique, au plus haut niveau, en faveur de la bonne gouvernance. Elle favorisera ainsi, par ce biais, la mobilisation des flux financiers internationaux et renforcera le retour du climat de paix, vitale pour son développement.
LS/APA
Selon une note d'information transmise à APA lundi, la réunion de la Commission technique vise à faire le point de l'état d'avancement dans la sous région ouest africaine, de la mise en place de dispositifs nationaux de lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme conformément aux normes acceptées à l'échelle internationale.
Cette réunion identifie aussi les obstacles d'ordre juridique et institutionnel se présentant aux Etats membres dans cette quête. Elle va également formuler des propositions au Comité ministériel du GIABA, par l'intermédiaire du Secrétaire administratif, sur les mesures correctives à prendre.
La réunion du Comité ministériel, au terme des statuts révisés du GIABA, vise entre autres, à approuver le rapport d'activités du Directeur Général du GIABA, proposer les mesures de mise en demeure des Etats défaillants et à recommander, par l'intermédiaire du Conseil des Ministres de la CEDEAO, la suspension des Etats qui ne respectent pas leurs engagements.
A l'issue de ces deux réunions, tous les participants, autorités politiques et acteurs des dispositifs nationaux anti blanchiment d'argent et contre le financement du terrorisme, ainsi que les partenaires au développement et les institutions financières internationales, devront acquérir une meilleure connaissance de l'état de la lutte dans la sous région ouest africaine durant les six mois écoulés.
Ces assises du GIABA permettront d'une part, à la Côte d'Ivoire d'affirmer davantage son retour effectif sur la scène internationale et d'autre part, de démontrer son engagement dans la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme.
La Côte d'Ivoire est appelée selon cette note, à mettre à profit cette occasion exceptionnelle pour montrer son fort engagement politique, au plus haut niveau, en faveur de la bonne gouvernance. Elle favorisera ainsi, par ce biais, la mobilisation des flux financiers internationaux et renforcera le retour du climat de paix, vitale pour son développement.
LS/APA