Abidjan (Côte d'Ivoire) - Le secteur privé ivoirien a été peu "performant" en février dernier avec un niveau de performance de 48,92%, a appris APA, lundi, au cours du lancement de l'Indice de performance du secteur privé (IPSP) initié par la Confédération générale des entreprises de Côte d'Ivoire (CGECI).
"Cet indice de performance du secteur privé construit avec des éléments pertinents et factuels permettra de nous orienter et de prendre des décisions d'investissements", a déclaré le Président de la CGECI, Jean Kacou Diagou.
Le chef du patronat ivoirien s'est félicité du "pas de plus" que constitue cet indice dont les résultats seront donnés mensuellement.
" Je crois que c’est un pas de plus vers la construction d’un patronat plus crédible qui donne des éléments à ses membres pour se gouverner", a poursuivi M. Diagou.
"Nous voulons être une force de défense des intérêts du secteur privé, mais aussi une force de proposition", a ajouté le président du patronat ivoirien.
L'indice de performance du secteur privé (IPSP) comprend deux composantes, a expliqué de son côté Stanislas Zézé, le Président directeur général de l'agence panafricaine de notation, Bloomfield Investment Corporation.
"Cet indice qui appartient au patronat, sera présenté mensuellement aux investisseurs, à l'administration...", a dit M. Zézé.
La première composante prend en compte "l'évaluation de la performance intrinsèque des activités du secteur privé", tandis que la deuxième est consacrée à "l'évaluation de l'environnement des affaires dans lequel évolue ce secteur privé", a expliqué Stanislas Zézé.
"Nous avons un niveau de crédibilité de 72%", a-t-il rassuré. Pour ce lancement, M. Zézé a donné les résultats de l'Indice de performance du secteur privé en février dernier.
Il en ressort que la composante environnement des affaires a enregistré une note de 36,89% et celle de la performance intrinsèque des activités du secteur privé a obtenu 51,04%, ce qui donne une note globale de 48,92% sur une échelle de 100.
"Le secteur privé est en sous-performance en février", a fait observer Stanislas Zézé, ajoutant que "l'IPSP est un indice extraordinaire qui permettra aux investisseurs de prendre des décisions". Pour Jean Kacou Diagou, cette performance de "48,92%", signifie qu'il y a beaucoup d'efforts qui ont été accomplis.
"Comme nous sommes aussi Président de la FOPAO (Fédération des organisation patronales de l'Afrique de l'Ouest), si l'essai est efficacement transformé en Côte d'Ivoire, nous pourrons l'étendre à la CEDEAO (Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest)", a encore dit M. Diagou, invitant les entreprises à répondre massivement aux questionnaires pour cet indice.
LS/APA
"Cet indice de performance du secteur privé construit avec des éléments pertinents et factuels permettra de nous orienter et de prendre des décisions d'investissements", a déclaré le Président de la CGECI, Jean Kacou Diagou.
Le chef du patronat ivoirien s'est félicité du "pas de plus" que constitue cet indice dont les résultats seront donnés mensuellement.
" Je crois que c’est un pas de plus vers la construction d’un patronat plus crédible qui donne des éléments à ses membres pour se gouverner", a poursuivi M. Diagou.
"Nous voulons être une force de défense des intérêts du secteur privé, mais aussi une force de proposition", a ajouté le président du patronat ivoirien.
L'indice de performance du secteur privé (IPSP) comprend deux composantes, a expliqué de son côté Stanislas Zézé, le Président directeur général de l'agence panafricaine de notation, Bloomfield Investment Corporation.
"Cet indice qui appartient au patronat, sera présenté mensuellement aux investisseurs, à l'administration...", a dit M. Zézé.
La première composante prend en compte "l'évaluation de la performance intrinsèque des activités du secteur privé", tandis que la deuxième est consacrée à "l'évaluation de l'environnement des affaires dans lequel évolue ce secteur privé", a expliqué Stanislas Zézé.
"Nous avons un niveau de crédibilité de 72%", a-t-il rassuré. Pour ce lancement, M. Zézé a donné les résultats de l'Indice de performance du secteur privé en février dernier.
Il en ressort que la composante environnement des affaires a enregistré une note de 36,89% et celle de la performance intrinsèque des activités du secteur privé a obtenu 51,04%, ce qui donne une note globale de 48,92% sur une échelle de 100.
"Le secteur privé est en sous-performance en février", a fait observer Stanislas Zézé, ajoutant que "l'IPSP est un indice extraordinaire qui permettra aux investisseurs de prendre des décisions". Pour Jean Kacou Diagou, cette performance de "48,92%", signifie qu'il y a beaucoup d'efforts qui ont été accomplis.
"Comme nous sommes aussi Président de la FOPAO (Fédération des organisation patronales de l'Afrique de l'Ouest), si l'essai est efficacement transformé en Côte d'Ivoire, nous pourrons l'étendre à la CEDEAO (Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest)", a encore dit M. Diagou, invitant les entreprises à répondre massivement aux questionnaires pour cet indice.
LS/APA