Pour commémorer les 34 ans de décès de Bob Marley, les Ivoiriens fanatiques de Reggae ont vibré au rythme de la musique Jamaïcaine et surtout du Reggae en général, le lundi 11 mai 2015.
Constat à Adjamé
Les rues étaient remplies de gadgets multicolores aux couleurs de la Jamaïque. Les jeunes étaient parés de chapeau jaune-or-vert-rouge-noir, des bracelets, des tee-shirts, des colliers… tous étaient parés aux couleurs du Reggae.
Les voies à Adjamé (Liberté, Williamsville) et Abobo (Samaké) étaient bourrés de jeunes scandant à se rompre la voix ‘’One Love’’, l’un des tubes les plus vendus de Bob Marley. Prenant la chaussée à leur compte, à peine, s’ils voyaient les véhicules circuler.
Ambiance au Parker-Place
Comme à l’accoutumée le 11 mai (date anniversaire du décès de BOB Marley), le village Rasta d’Abidjan a refusé du monde. Le Parker-Place était plein à craquer. Les artistes Reggae et mélomanes s’y sont rendus pour rendre hommage à la légende ‘’vivante’’, 34 ans après sa mort.
Un petit tour dans les maquis et autres buvettes à Abidjan
Partout, d’Adjamé à Abobo en passant par Yopougon, Attécoubé, Angré et Dokui, le constat est resté le même. Dans tous les maquis, restaurants et buvettes de la capitale économique, tous respiraient Bob Marley. La commémoration de la date anniversaire du décès du Roi du Reggae a atteint un stade de non retour. Aucune autre musique n’a été jouée à côté du Reggae. L’atmosphère musicale à Abidjan, Bouaké et autres villes de la Côte d’Ivoire était dominée, le lundi 11 mai 2015, par les chansons des artistes comme Alpha-Blondy, Tiken Jah Fakoly, Ismael Issac…Lucky Dube et Bob Marley.
Ambiance à Bouaké
Déjà le samedi 9 mai 2015, de nombreux mélomanes étaient vêtus, aux couleurs rouge-jaune-or-vert. Prenant d’assaut les maquis, buvettes et autres points chauds de la ville. Où, l'essentiel de la musique distillée était aux sonorités reggae. Le lundi 11 mai, encore le même constat, et ce, de manière plus accentuée. Car, tous voulaient montrer leur appartenance à la grande famille Rastafari. L’on constate que celui qui est considéré à juste titre comme le "Pape" du Reggae demeure dans la conscience collective. La légende est belle et bien vivante.
R-O
Constat à Adjamé
Les rues étaient remplies de gadgets multicolores aux couleurs de la Jamaïque. Les jeunes étaient parés de chapeau jaune-or-vert-rouge-noir, des bracelets, des tee-shirts, des colliers… tous étaient parés aux couleurs du Reggae.
Les voies à Adjamé (Liberté, Williamsville) et Abobo (Samaké) étaient bourrés de jeunes scandant à se rompre la voix ‘’One Love’’, l’un des tubes les plus vendus de Bob Marley. Prenant la chaussée à leur compte, à peine, s’ils voyaient les véhicules circuler.
Ambiance au Parker-Place
Comme à l’accoutumée le 11 mai (date anniversaire du décès de BOB Marley), le village Rasta d’Abidjan a refusé du monde. Le Parker-Place était plein à craquer. Les artistes Reggae et mélomanes s’y sont rendus pour rendre hommage à la légende ‘’vivante’’, 34 ans après sa mort.
Un petit tour dans les maquis et autres buvettes à Abidjan
Partout, d’Adjamé à Abobo en passant par Yopougon, Attécoubé, Angré et Dokui, le constat est resté le même. Dans tous les maquis, restaurants et buvettes de la capitale économique, tous respiraient Bob Marley. La commémoration de la date anniversaire du décès du Roi du Reggae a atteint un stade de non retour. Aucune autre musique n’a été jouée à côté du Reggae. L’atmosphère musicale à Abidjan, Bouaké et autres villes de la Côte d’Ivoire était dominée, le lundi 11 mai 2015, par les chansons des artistes comme Alpha-Blondy, Tiken Jah Fakoly, Ismael Issac…Lucky Dube et Bob Marley.
Ambiance à Bouaké
Déjà le samedi 9 mai 2015, de nombreux mélomanes étaient vêtus, aux couleurs rouge-jaune-or-vert. Prenant d’assaut les maquis, buvettes et autres points chauds de la ville. Où, l'essentiel de la musique distillée était aux sonorités reggae. Le lundi 11 mai, encore le même constat, et ce, de manière plus accentuée. Car, tous voulaient montrer leur appartenance à la grande famille Rastafari. L’on constate que celui qui est considéré à juste titre comme le "Pape" du Reggae demeure dans la conscience collective. La légende est belle et bien vivante.
R-O