Sikensi - Les fans de Bob Marley, résidant à Sikensi, ont célébré très sobrement la date anniversaire du décès de leur idole.
Une dizaine d’adeptes du rastafarisme se sont retrouvés dans la soirée du lundi au domicile de M. Ouattara Youssouf, au quartier habitat, autour d’une partie de thé.
Installés non loin du drapeau de la Jamaïque flottant à l’entrée de la concession, M Ouattara et ses invités se sont égayés en repassant sur un DVD les clips de la méga star, reprenant en chœur quelques titres phares (I shot the sherif, No woman no cry…).
Les bars de Sikensi n’ont pas fait le plein de leurs clients, même si les morceaux phares de la vedette internationale du reggae y étaient diffusés en permanence. Selon Mme Yéo, tenancière du maquis-bar "Thiberland" de Bécédi (village situé à la lisière de la ville), cette faible affluence est liée au jour de la fête. "Le lundi reste avant tout le premier jour de travail de la semaine", a-t-elle expliqué.
Sur la voie principale de la ville, circulaient quelques personnes habillées aux couleurs rasta, dont un couple de commerçants qui se rendait dans un restaurant-bar, partager un repas pour la circonstance.
Aux environs de 23h 30, les sons de "Couper-décaler" ont remplacé dans certains bars, la musique de Bob Marley, à la demande de jeunes noctambules, peu friands des sonorités reggae.
km/aaa/akn/ask
Une dizaine d’adeptes du rastafarisme se sont retrouvés dans la soirée du lundi au domicile de M. Ouattara Youssouf, au quartier habitat, autour d’une partie de thé.
Installés non loin du drapeau de la Jamaïque flottant à l’entrée de la concession, M Ouattara et ses invités se sont égayés en repassant sur un DVD les clips de la méga star, reprenant en chœur quelques titres phares (I shot the sherif, No woman no cry…).
Les bars de Sikensi n’ont pas fait le plein de leurs clients, même si les morceaux phares de la vedette internationale du reggae y étaient diffusés en permanence. Selon Mme Yéo, tenancière du maquis-bar "Thiberland" de Bécédi (village situé à la lisière de la ville), cette faible affluence est liée au jour de la fête. "Le lundi reste avant tout le premier jour de travail de la semaine", a-t-elle expliqué.
Sur la voie principale de la ville, circulaient quelques personnes habillées aux couleurs rasta, dont un couple de commerçants qui se rendait dans un restaurant-bar, partager un repas pour la circonstance.
Aux environs de 23h 30, les sons de "Couper-décaler" ont remplacé dans certains bars, la musique de Bob Marley, à la demande de jeunes noctambules, peu friands des sonorités reggae.
km/aaa/akn/ask