Abidjan – Ecrivains, éditeurs, libraires et lecteurs ont pris part, mercredi, sur l’esplanade du site de la Sorbonne à Abidjan-Plateau, à la 2ème édition de la Journée nationale du Don de livres consacrée cette année au thème "Offrir un livre par amitié pour partager le plaisir et le savoir".
L’accent est mis sur le plaisir qu’il peut procurer comme "une belle chanson, un beau tableau, un excellent film, un bon vin ou le repas le plus succulent et exquis", a imagé le secrétaire exécutif de l’association Point de lecture, Koffi Koffi, initiateur de l’événement.
"Le prix du livre, en Côte d’Ivoire, n’est pas aussi élevé qu’un téléphone portable, un rôti de poulet ou un bon vin mais il s’agit d’une question d’éducation et de prise de conscience de son importance", a-t-il affirmé.
Les organisateurs ont indiqué que cette journée vise à faire entrer le livre dans le quotidien de l’Ivoirien qui est appelé à avoir le réflexe de se l’offrir et de l’offrir aux autres.
Des pensionnaires de l’Orphelinat des garçons de Bingerville et des jeunes filles du lycée moderne du Plateau ont reçu des livres de la part du directeur du Livre, Henri N’Koumo, et du directeur de l’Institut français de Côte d’Ivoire (IFCI), Abou Kamaté.
Pour Henri N’Koumo, le livre doit devenir "une denrée quotidienne".
A l’instar des éditeurs et libraires, Abou Kamaté a expliqué le soutien de l’IFCI à cette initiative de l’Association Point de lecture par le fait que "le livre accompagne toutes les étapes du développement parce que rien ne peut être entrepris sans le livre. Or le livre est le véhicule du savoir".
Animant une conférence sur le thème "Livre, lecture et plaisir", le critique littéraire et écrivain, Etty Macaire, a invité à faire découvrir le plaisir de la lecture dès la plus jeune enfance pour qu’en découvrant la détente, les divertissements, les distractions que procurent ce plaisir solitaire mais qui aboutit au plaisir rare d’avoir eu tant de plaisir, l’Ivoirien en vienne à s’habituer à savourer "les délices cachés derrières le silence des lettres".
Un café littéraire consacré aux "Marcheurs de Bougreville", de Soumaré Mahmoud, édité par les Classiques ivoiriens, est prévu en point d’orgue de cette édition.
(AIP)
aaa/akn/ask
L’accent est mis sur le plaisir qu’il peut procurer comme "une belle chanson, un beau tableau, un excellent film, un bon vin ou le repas le plus succulent et exquis", a imagé le secrétaire exécutif de l’association Point de lecture, Koffi Koffi, initiateur de l’événement.
"Le prix du livre, en Côte d’Ivoire, n’est pas aussi élevé qu’un téléphone portable, un rôti de poulet ou un bon vin mais il s’agit d’une question d’éducation et de prise de conscience de son importance", a-t-il affirmé.
Les organisateurs ont indiqué que cette journée vise à faire entrer le livre dans le quotidien de l’Ivoirien qui est appelé à avoir le réflexe de se l’offrir et de l’offrir aux autres.
Des pensionnaires de l’Orphelinat des garçons de Bingerville et des jeunes filles du lycée moderne du Plateau ont reçu des livres de la part du directeur du Livre, Henri N’Koumo, et du directeur de l’Institut français de Côte d’Ivoire (IFCI), Abou Kamaté.
Pour Henri N’Koumo, le livre doit devenir "une denrée quotidienne".
A l’instar des éditeurs et libraires, Abou Kamaté a expliqué le soutien de l’IFCI à cette initiative de l’Association Point de lecture par le fait que "le livre accompagne toutes les étapes du développement parce que rien ne peut être entrepris sans le livre. Or le livre est le véhicule du savoir".
Animant une conférence sur le thème "Livre, lecture et plaisir", le critique littéraire et écrivain, Etty Macaire, a invité à faire découvrir le plaisir de la lecture dès la plus jeune enfance pour qu’en découvrant la détente, les divertissements, les distractions que procurent ce plaisir solitaire mais qui aboutit au plaisir rare d’avoir eu tant de plaisir, l’Ivoirien en vienne à s’habituer à savourer "les délices cachés derrières le silence des lettres".
Un café littéraire consacré aux "Marcheurs de Bougreville", de Soumaré Mahmoud, édité par les Classiques ivoiriens, est prévu en point d’orgue de cette édition.
(AIP)
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