Daloa - L’étudiant Amara Diomandé, 26 ans, de nationalité ivoirienne, a dédicacé, samedi, son premier essai littéraire de 76 pages, intitulé "A l’aube de la souffrance" devant parents amis et anciens professeurs du lycée 1 de Daloa qu’il avait fréquenté.
Dans cette première publication de l’écrivain débutant fait une incursion dans le milieu des gagne-petit, particulièrement celui des apprentis –chauffeurs où la pitance se gagne au forceps.
L’auteur met donc en scène deux amis apprentis chauffeurs qui commencent dans les mêmes conditions. Mais à l’arrivée, il y a un qui se démarque alors que l’autre reste dispersé, sans objectif précis. Il s’agit d’un prétexte pour inciter la jeunesse à l’optimisme et à la responsabilité. Pour dire au final que la réussite est au bout de l’effort.
Titulaire d’un baccalauréat série A2 obtenu en 2012, ce natif de Daloa (centre-ouest ivoirien), actuellement étudiant en Ressources humaines et Communication à l’Institut de formation- arts et développement (IFAD) d’Abidjan, dit avoir eu la passion de l’écriture depuis la classe de sixième.
Mais, il affirme s’être donné du temps pour avoir le bagage nécessaire, afin de monter ce premier ouvrage édité par les nouvelles éditons Balafons (NEB) et mis sur le marché depuis le 29 mars 2015, à la suite d’une première dédicace au Musée national d’Abidjan.
Yy/akn/kp
Dans cette première publication de l’écrivain débutant fait une incursion dans le milieu des gagne-petit, particulièrement celui des apprentis –chauffeurs où la pitance se gagne au forceps.
L’auteur met donc en scène deux amis apprentis chauffeurs qui commencent dans les mêmes conditions. Mais à l’arrivée, il y a un qui se démarque alors que l’autre reste dispersé, sans objectif précis. Il s’agit d’un prétexte pour inciter la jeunesse à l’optimisme et à la responsabilité. Pour dire au final que la réussite est au bout de l’effort.
Titulaire d’un baccalauréat série A2 obtenu en 2012, ce natif de Daloa (centre-ouest ivoirien), actuellement étudiant en Ressources humaines et Communication à l’Institut de formation- arts et développement (IFAD) d’Abidjan, dit avoir eu la passion de l’écriture depuis la classe de sixième.
Mais, il affirme s’être donné du temps pour avoir le bagage nécessaire, afin de monter ce premier ouvrage édité par les nouvelles éditons Balafons (NEB) et mis sur le marché depuis le 29 mars 2015, à la suite d’une première dédicace au Musée national d’Abidjan.
Yy/akn/kp