Abidjan – Le directeur général de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) de l’UEMOA, Edoh Kossi Amenounve, s’est réjoui de la volonté des Etats d’aller à une intégration des bourses de valeurs africaines afin d’être de véritable accélérateurs de croissance.
"Aujourd’hui, notre vision c’est d’aller maintenant vers des bourses de plus en plus intégrées déjà à l’échelle régionale avant d’envisager éventuellement d’aller vers une échelle continentale », a souligné le directeur général de la BRVM qui s’exprimait mercredi à l’occasion du panel sur le thème "Les bourses de valeurs africaines : état des lieux", en marge des 50èmes assemblées annuelles de la BAD.
"C’est déjà un bon pas d’avoir pris conscience du fait que nos bourses soient trop fragmentées, du fait que leur taille, leur liquidité, leur profondeur ne leurs permettent pas de jouer le rôle d’accélérateur de la croissance comme nous l’aurons souhaité et qu’il faille aller vers une intégration", a-t-il soutenu.
Il a cité l’exemple de la BRVM qui selon lui, est la seul bourse intégrée au monde regroupant huit pays de l’UEMOA.
"Nous sommes en train de travailler à étendre cela à la CEDEAO. Nous avons commencé par travailler sur le projet depuis deux ans. Nous avons enregistré des avancées, nous avons des freins aussi que nous surmontons et nous espérons que dans les prochaines années nous allons arriver à cet espace intégré", a indiqué M. Amenounve.
Il a donc fondé l’espoir de voir toutes les bourses africaines intégrées afin d’ouvrir un espace beaucoup plus performant pour les entreprises.
kkf/cmas
"Aujourd’hui, notre vision c’est d’aller maintenant vers des bourses de plus en plus intégrées déjà à l’échelle régionale avant d’envisager éventuellement d’aller vers une échelle continentale », a souligné le directeur général de la BRVM qui s’exprimait mercredi à l’occasion du panel sur le thème "Les bourses de valeurs africaines : état des lieux", en marge des 50èmes assemblées annuelles de la BAD.
"C’est déjà un bon pas d’avoir pris conscience du fait que nos bourses soient trop fragmentées, du fait que leur taille, leur liquidité, leur profondeur ne leurs permettent pas de jouer le rôle d’accélérateur de la croissance comme nous l’aurons souhaité et qu’il faille aller vers une intégration", a-t-il soutenu.
Il a cité l’exemple de la BRVM qui selon lui, est la seul bourse intégrée au monde regroupant huit pays de l’UEMOA.
"Nous sommes en train de travailler à étendre cela à la CEDEAO. Nous avons commencé par travailler sur le projet depuis deux ans. Nous avons enregistré des avancées, nous avons des freins aussi que nous surmontons et nous espérons que dans les prochaines années nous allons arriver à cet espace intégré", a indiqué M. Amenounve.
Il a donc fondé l’espoir de voir toutes les bourses africaines intégrées afin d’ouvrir un espace beaucoup plus performant pour les entreprises.
kkf/cmas