Le Directeur des Affaires pénitentiaires (DAP), Ouatta Babacar, en collaboration avec l’ONG « Fiers Ivoiriens », a remis, au nom du Garde des Sceaux, ministre de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés publiques, des vivres et des non-vivres aux 97 femmes détenues à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA), le 28 mai, au sein de ladite prison, à Yopougon. Ces dons composés, entre autres, de riz, huile, savon, sucre, pagnes, bijoux, ont été faits à la faveur de la fête des mères qui aura lieu, le 31 mai et que la DAP a placée sous le thème : « Les années 50 ». A travers cette cérémonie meublée, entre autres de danses, chants, ballet, et d’expositions du savoir-faire des détenus, la Direction des Affaires pénitentiaires entend sensibiliser les femmes détenues au changement de comportement et mobiliser la société civile à l’accompagner dans la mise en œuvre de sa politique de rééducation et de réinsertion sociale des personnes incarcérées afin de minimiser les risques de récidives.
M. Ouatta Babacar a parlé « d’espoir et de liberté» à ces femmes détenues qui, selon lui, « méritent d’être célébrées » parce qu’elles sont « mères, des êtres irremplaçables qui donnent la vie, qui viennent au secours de l’enfant qui pleure ».
Il a réitéré la volonté du Gouvernement à s’appesantir sur le traitement des prisonniers à travers une « approche humaine et de rééducation », tout en saluant les associations et ONG partenaires qui œuvrent au bien-être socio-éducatif des détenus en général.
Pour sa part, la Sous-directrice de la réinsertion et des affaires sociales (SORAS), Mme Ouattara Korotoum, a annoncé que dans le cadre de la réinsertion des femmes détenues, « des projets dont le coût varie entre 50 000 FCFA et 1 million de FCFA » sont disponibles et ces détenues, une fois libérées, pourront postuler auxdits projets, dès le 1er juin 2015.
La responsable de « Fiers Ivoiriens », Mlle Abaca Déborah, a rendu hommage à toutes ces femmes détenues pour lesquelles elle a promis « de continuer de travailler ».
Les invitant « à profiter de ce moment joyeux », elle les a exhortées « à se trouver une nouvelle voie, à entreprendre, à bâtir une nouvelle vie » à leur sortie.
A ce jour, la SORAS est à la célébration de la 5è fête des mères en milieu carcéral, a réinséré une cinquantaine d’ex-détenus dans la couture, la pâtisserie, la menuiserie, la broderie, l’alphabétisation, l’informatique » et est intervenue dans une dizaine de réconciliations détenus-victimes.
M. Ouatta Babacar a parlé « d’espoir et de liberté» à ces femmes détenues qui, selon lui, « méritent d’être célébrées » parce qu’elles sont « mères, des êtres irremplaçables qui donnent la vie, qui viennent au secours de l’enfant qui pleure ».
Il a réitéré la volonté du Gouvernement à s’appesantir sur le traitement des prisonniers à travers une « approche humaine et de rééducation », tout en saluant les associations et ONG partenaires qui œuvrent au bien-être socio-éducatif des détenus en général.
Pour sa part, la Sous-directrice de la réinsertion et des affaires sociales (SORAS), Mme Ouattara Korotoum, a annoncé que dans le cadre de la réinsertion des femmes détenues, « des projets dont le coût varie entre 50 000 FCFA et 1 million de FCFA » sont disponibles et ces détenues, une fois libérées, pourront postuler auxdits projets, dès le 1er juin 2015.
La responsable de « Fiers Ivoiriens », Mlle Abaca Déborah, a rendu hommage à toutes ces femmes détenues pour lesquelles elle a promis « de continuer de travailler ».
Les invitant « à profiter de ce moment joyeux », elle les a exhortées « à se trouver une nouvelle voie, à entreprendre, à bâtir une nouvelle vie » à leur sortie.
A ce jour, la SORAS est à la célébration de la 5è fête des mères en milieu carcéral, a réinséré une cinquantaine d’ex-détenus dans la couture, la pâtisserie, la menuiserie, la broderie, l’alphabétisation, l’informatique » et est intervenue dans une dizaine de réconciliations détenus-victimes.
