Abidjan - Des créateurs de mode africaine ont sollicité vendredi à Abidjan, le soutien de la Banque africaine de développement (BAD) et des autres bailleurs de fonds pour l’organisation et l’industrialisation de leur secteur d’activité.
« créateurs et artistes, nous ne sommes pas organisés, donc nous voulons travailler avec des organismes pour être protégés.( …)il y’a problème de formation et un besoin de financement, pour mieux hiérarchiser notre métier. Nous voulons un partenariat gagnant-gagnant avec des partenaires, avec la BAD, pour aider les créateurs à passer du stade artisanal à celui de l’industrialisation qui comprend la formation, a affirmé le créateur ivoirien Gilles Touré.
Ce panel qui avait pour thème « L’économie de la mode : des industries créatives pour la croissance du continent » a été organisé en marge des assemblées annuelles de la BAD qui prennent fin ce vendredi.
Les différentes parties prenantes du monde de la mode africaine ont sollicité une restructuration de ce secteur pour son industrialisation. Ce qui part du volet matières premières (textile) aux produits finis. Ils ont aussi souhaité que les instituts de formation, de commerce, les industries, les financiers soient ensemble pour protéger les créateurs de mode.
« IL est aussi impérieux pour l’Afrique de comprendre que la mode est quelque chose de sérieux qui relève de la propreté intellectuelle. On doit considérer cela comme une vraie affaire et protéger avec brevet les propriétés intellectuelles, pour ne pas que les créateurs voient leurs œuvres volées sans avoir les retombées financières », ont relevé de connivence les différents intervenants, lors de ce panel.
Les panélistes ont aussi sollicité les industries et experts pour comprendre les potentialités de la mode africaine et créer des opportunités d’emploi pour les jeunes et les femmes.
Ouvertes lundi, les assemblées annuelles de la BAD prennent fin ce vendredi et ont été soldées par l’élection du Nigérian Akinwumi Adesina, à la tête de la dite institution en remplacement du rwandais Donald Kaberuka.
(AIP)
amak/tm
« créateurs et artistes, nous ne sommes pas organisés, donc nous voulons travailler avec des organismes pour être protégés.( …)il y’a problème de formation et un besoin de financement, pour mieux hiérarchiser notre métier. Nous voulons un partenariat gagnant-gagnant avec des partenaires, avec la BAD, pour aider les créateurs à passer du stade artisanal à celui de l’industrialisation qui comprend la formation, a affirmé le créateur ivoirien Gilles Touré.
Ce panel qui avait pour thème « L’économie de la mode : des industries créatives pour la croissance du continent » a été organisé en marge des assemblées annuelles de la BAD qui prennent fin ce vendredi.
Les différentes parties prenantes du monde de la mode africaine ont sollicité une restructuration de ce secteur pour son industrialisation. Ce qui part du volet matières premières (textile) aux produits finis. Ils ont aussi souhaité que les instituts de formation, de commerce, les industries, les financiers soient ensemble pour protéger les créateurs de mode.
« IL est aussi impérieux pour l’Afrique de comprendre que la mode est quelque chose de sérieux qui relève de la propreté intellectuelle. On doit considérer cela comme une vraie affaire et protéger avec brevet les propriétés intellectuelles, pour ne pas que les créateurs voient leurs œuvres volées sans avoir les retombées financières », ont relevé de connivence les différents intervenants, lors de ce panel.
Les panélistes ont aussi sollicité les industries et experts pour comprendre les potentialités de la mode africaine et créer des opportunités d’emploi pour les jeunes et les femmes.
Ouvertes lundi, les assemblées annuelles de la BAD prennent fin ce vendredi et ont été soldées par l’élection du Nigérian Akinwumi Adesina, à la tête de la dite institution en remplacement du rwandais Donald Kaberuka.
(AIP)
amak/tm
