Abidjan – Le nouveau président de la banque africaine de développement (BAD), le nigérian, Akinwuni Adesina s’est engagé à poursuivre la stratégie décennale initiée par le président sortant, Donald Kaberuka.
" Avec le personnel, je m’efforcerai d’exécuter cette stratégie, parce que il nous faut la croissance inclusive, le développement des infrastructures, une banque qui assurera que nous aurons une croissance verte", a déclaré M. Adesina, saluant la "remarquable" et "très focalisée" stratégie décennale préparée par son prédécesseur.
Pour lui, cette stratégie devrait permettre d’avoir de l’énergie, des emplois pour les jeunes, afin de faire face à la crise contre l’immigration vers l’Europe, de mener le développement du secteur privé, de favoriser la bonne gouvernance et d’autonomiser les femmes.
En plus, il a évoqué le changement climatique et la sécurité alimentaire en Afrique, le développement du capital humain et le soutien social aux petits Etats.
"Nous devons favoriser la prospérité en Afrique et il nous faut l’intégration régionale mais nous voulons intégrer des économies résilientes", a-t-il justifié.
Le nouveau président a par ailleurs relevé que dès sa prise de fonction, il compte tirer avantage de toute l’expérience accumulées par son prédécesseur, le savoir et tous les succès qu’il a engrangés au fil des années".
" Avec le personnel, je m’efforcerai d’exécuter cette stratégie, parce que il nous faut la croissance inclusive, le développement des infrastructures, une banque qui assurera que nous aurons une croissance verte", a déclaré M. Adesina, saluant la "remarquable" et "très focalisée" stratégie décennale préparée par son prédécesseur.
Pour lui, cette stratégie devrait permettre d’avoir de l’énergie, des emplois pour les jeunes, afin de faire face à la crise contre l’immigration vers l’Europe, de mener le développement du secteur privé, de favoriser la bonne gouvernance et d’autonomiser les femmes.
En plus, il a évoqué le changement climatique et la sécurité alimentaire en Afrique, le développement du capital humain et le soutien social aux petits Etats.
"Nous devons favoriser la prospérité en Afrique et il nous faut l’intégration régionale mais nous voulons intégrer des économies résilientes", a-t-il justifié.
Le nouveau président a par ailleurs relevé que dès sa prise de fonction, il compte tirer avantage de toute l’expérience accumulées par son prédécesseur, le savoir et tous les succès qu’il a engrangés au fil des années".