Abidjan (Côte d'Ivoire) - L’Expert indépendant de l’Organisation des nations unies (Onu) sur la situation des droits de l'homme en Côte d'Ivoire, Mohammed Ayat a invité, jeudi, le gouvernement ivoirien à "assurer l’exercice des libertés publiques" afin de garantir des élections "apaisées" dans ce pays où la présidentielle est prévue en octobre prochain.
"En cette période pré-électorale, j'exhorte les autorités ivoiriennes à porter une attention particulière à l'exercice des libertés publiques pour garantir des élections démocratiques, crédibles, transparentes et apaisées", a affirmé l'Expert onusien.
Par ailleurs, Mohammed Ayat qui vient d'achever une visite de quelques jours en Côté d'Ivoire a souligné des "avancées" du gouvernement ivoirien dans le domaine des droits de l'homme notamment l'abolition définitive de la peine de mort, la présentation du premier rapport national au Comité des droits de l'homme des nations unies.
En ce qui concerne l'Autorité chargée du désarmement, de la démobilisation et la réinsertion (Addr), M. Ayat a noté que le nombre des ex-combattants à désarmer, démobiliser et à réinsérer est passé de 30 000 à 3000 cas à traiter.
Il a également réitéré sa recommandation de voir la Commission nationale des droits de l'homme (Cndh) "indépendante" du pouvoir politique.
SB/ls/APA
"En cette période pré-électorale, j'exhorte les autorités ivoiriennes à porter une attention particulière à l'exercice des libertés publiques pour garantir des élections démocratiques, crédibles, transparentes et apaisées", a affirmé l'Expert onusien.
Par ailleurs, Mohammed Ayat qui vient d'achever une visite de quelques jours en Côté d'Ivoire a souligné des "avancées" du gouvernement ivoirien dans le domaine des droits de l'homme notamment l'abolition définitive de la peine de mort, la présentation du premier rapport national au Comité des droits de l'homme des nations unies.
En ce qui concerne l'Autorité chargée du désarmement, de la démobilisation et la réinsertion (Addr), M. Ayat a noté que le nombre des ex-combattants à désarmer, démobiliser et à réinsérer est passé de 30 000 à 3000 cas à traiter.
Il a également réitéré sa recommandation de voir la Commission nationale des droits de l'homme (Cndh) "indépendante" du pouvoir politique.
SB/ls/APA