Bouaké, Le ministère de la culture et de la francophonie travaille pour une amélioration de l’impact de la culture sur la vie socioéconomique en Côte d’Ivoire, selon le titulaire de ce poste, Bandama Maurice, qui l'a annoncé samedi, à Bouaké, à l’occasion de la clôture de la semaine nationale des et de la culture.
"Nous voulons faire en sorte que le monde voit que la culture est tout aussi capable que n’importe quel produit industriel de structurer l’économie d’un pays et l’économie d’une ville", a expliqué Bandama Maurice, se disant convaincu de la richesse et des emplois que la culture est capable de créer.
"Il n’est pas normal que les pays frères éloignés puissent vivre très fortement de la culture et que notre pays si riche de sa diversité culturelle n’en fasse pas autant", a-t-il a affirmé, évoquant les exemples des pays tels que le Burkina Faso, le Nigéria, des Etat Unis et la France.
Il a fait savoir qu’une étude réalisée sur l’impact de la culture sur la vie socioéconomique montre que l’économie de la culture représente 3 à 5% du PIB du Burkina Faso et que le secteur emploie plus de travailleurs que la fonction publique.
L’Etat de Las Vegas aux Etats Unis ne vit que de culture. Il réalise près de 30% de son PIB par les événements culturels tels que les festivals, spectacles de musique et les concerts.
Grâce au cinéma le Nigéria est devenu la première économique d’Afrique. En France, l’économie de la culture dépasse l’économie automobile et de l’agroalimentaire, a-t-il souligné.
M. Bandama a annoncé que son département a engagé depuis quelques semaines, avec l’appui du PNUD et l’UNESCO, une étude sur l’impact de la culture sur la vie socioéconomique en Côte d’Ivoire.
Il s’est réjouitde la qualité des prestations et de l’organisation de la semaine nationale des et de la culture (SNAC), réitérant sa détermination à faire de ce festival "un produit d’appel touristique".
Par ailleurs, le ministre de la culture et de la francophonie a informé qu’il créera de grands festivals de cinéma et de musiques urbaines à Bouaké, en plus de la SNAC qu’il compte y sédentariser.
Dans son programme de relance du cinéma, le ministère de la culture prévoit la rénovation des salles de spectacle et la création de salles numériques qui seront fédérées à d’autres salles de la sous-région.
(AIP)
nbf/ask
"Nous voulons faire en sorte que le monde voit que la culture est tout aussi capable que n’importe quel produit industriel de structurer l’économie d’un pays et l’économie d’une ville", a expliqué Bandama Maurice, se disant convaincu de la richesse et des emplois que la culture est capable de créer.
"Il n’est pas normal que les pays frères éloignés puissent vivre très fortement de la culture et que notre pays si riche de sa diversité culturelle n’en fasse pas autant", a-t-il a affirmé, évoquant les exemples des pays tels que le Burkina Faso, le Nigéria, des Etat Unis et la France.
Il a fait savoir qu’une étude réalisée sur l’impact de la culture sur la vie socioéconomique montre que l’économie de la culture représente 3 à 5% du PIB du Burkina Faso et que le secteur emploie plus de travailleurs que la fonction publique.
L’Etat de Las Vegas aux Etats Unis ne vit que de culture. Il réalise près de 30% de son PIB par les événements culturels tels que les festivals, spectacles de musique et les concerts.
Grâce au cinéma le Nigéria est devenu la première économique d’Afrique. En France, l’économie de la culture dépasse l’économie automobile et de l’agroalimentaire, a-t-il souligné.
M. Bandama a annoncé que son département a engagé depuis quelques semaines, avec l’appui du PNUD et l’UNESCO, une étude sur l’impact de la culture sur la vie socioéconomique en Côte d’Ivoire.
Il s’est réjouitde la qualité des prestations et de l’organisation de la semaine nationale des et de la culture (SNAC), réitérant sa détermination à faire de ce festival "un produit d’appel touristique".
Par ailleurs, le ministre de la culture et de la francophonie a informé qu’il créera de grands festivals de cinéma et de musiques urbaines à Bouaké, en plus de la SNAC qu’il compte y sédentariser.
Dans son programme de relance du cinéma, le ministère de la culture prévoit la rénovation des salles de spectacle et la création de salles numériques qui seront fédérées à d’autres salles de la sous-région.
(AIP)
nbf/ask