Niakara - L’attaque d’un mini car de transport en commun en partance pour Sikasso (Mali) par des inconnus, dans la nuit de dimanche à lundi à sept Km de Niakara (centre-nord, région du Hambol) a fait 11 blessés par balles, dont cinq dans un état grave qui ont été évacués au CHU de Bouaké (région de Gbêkê).
Le véhicule, appartenant à la compagnie SMT et ayant à son bord 34 passagers, assurait la liaison Bouaké-Sikasso (Mali). Il a été attaqué par neuf personnes encagoulés et armés de Kalashnikov. Ils ont ouvert le feu sur le véhicule blessant plusieurs occupants dont le conducteur, Dembélé Abdoulaye, qui a automatiquement perdu le contrôle de l’engin, selon le passager Sall Aliyou.
Les quidams ont alors pris le contrôle du véhicule qu’ils ont conduit hors de la voie internationale avant de soumettre les 34 passagers à une fouille corporelle minutieuse qui a duré 40 mn. A la fin de l’opération, c’est l’apprenti, Koné Aboubabacar qui a ramené l’engin à Niakara du fait de la blessure du chauffeur.
Des bijoux et téléphones portables et une somme estimée à 1.500.000 F CFA ont été emportés par les malfrats en plus des blessés enregistrés.
La brigade de gendarmerie de Niakara a ouvert une enquête.
jbm/aaa/tm
Le véhicule, appartenant à la compagnie SMT et ayant à son bord 34 passagers, assurait la liaison Bouaké-Sikasso (Mali). Il a été attaqué par neuf personnes encagoulés et armés de Kalashnikov. Ils ont ouvert le feu sur le véhicule blessant plusieurs occupants dont le conducteur, Dembélé Abdoulaye, qui a automatiquement perdu le contrôle de l’engin, selon le passager Sall Aliyou.
Les quidams ont alors pris le contrôle du véhicule qu’ils ont conduit hors de la voie internationale avant de soumettre les 34 passagers à une fouille corporelle minutieuse qui a duré 40 mn. A la fin de l’opération, c’est l’apprenti, Koné Aboubabacar qui a ramené l’engin à Niakara du fait de la blessure du chauffeur.
Des bijoux et téléphones portables et une somme estimée à 1.500.000 F CFA ont été emportés par les malfrats en plus des blessés enregistrés.
La brigade de gendarmerie de Niakara a ouvert une enquête.
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