Daloa - Près de 50% de la population rurale n’a pas accès à l’eau potable, malgré un effort d’investissement de l’ordre de 260 milliards de francs CFA, entrepris depuis 1973 par l’Etat en matière de construction de forages équipés de pompes à motricité humaine (PMH) ainsi que la réalisation de système d’hydraulique villageoise améliorée (HVA) à partir de 1990, révèle un atelier sur le diagnostic du secteur de l’eau potable, ouvert jeudi à Daloa.
Face à ce résultat, il est apparu nécessaire avec l’avènement de la décentralisation (District, Conseils Régionaux et Communes) de procéder à une nouvelle orientation et une harmonisation des interventions des principaux acteurs dans le secteur de l’eau potable, pour une meilleure politique dans la conception des infrastructures d’hydraulique humaine, dans leur réalisation, leur entretien et leur maintenance.
C’est ce à quoi s’attellent depuis jeudi les experts du programme hydraulique et assainissement pour le millénaire (PHAM) et de l’office national de l’eau potable (ONEP) initiateurs du présent atelier, avec l’appui des autorités préfectorales et des acteurs des régions du sud-ouest, pour rectifier le tir.
Le préfet de Région, Brou Kouamé qui a ouvert l’atelier, en a profité pour saluer l’appui de l’Union Européenne à la Côte d’Ivoire, en acceptant de financer le PHAM à hauteur de 25 millions d’Euros à travers le 10ème Fonds européen de Développement.
Ce, dans l’optique de réduire à terme, la pauvreté et d’améliorer la santé des populations en leur offrant la possibilité d’accès à l’eau potable. Toute chose qui, a-t-il ajouté, montre l’engagement du gouvernement de redresser la situation dans le secteur de l’eau potable, en vue de satisfaire les besoins de toute la population et de faire de la Côte d’Ivoire, un pays émergent.
Cet atelier qui est le quatrième du genre après ceux de Bouaké, Korhogo, Abengourou, donnera dit-on ses conclusions et ses recommandations au terme de ses travaux, prévu pour ce vendredi.
yy/ask
Face à ce résultat, il est apparu nécessaire avec l’avènement de la décentralisation (District, Conseils Régionaux et Communes) de procéder à une nouvelle orientation et une harmonisation des interventions des principaux acteurs dans le secteur de l’eau potable, pour une meilleure politique dans la conception des infrastructures d’hydraulique humaine, dans leur réalisation, leur entretien et leur maintenance.
C’est ce à quoi s’attellent depuis jeudi les experts du programme hydraulique et assainissement pour le millénaire (PHAM) et de l’office national de l’eau potable (ONEP) initiateurs du présent atelier, avec l’appui des autorités préfectorales et des acteurs des régions du sud-ouest, pour rectifier le tir.
Le préfet de Région, Brou Kouamé qui a ouvert l’atelier, en a profité pour saluer l’appui de l’Union Européenne à la Côte d’Ivoire, en acceptant de financer le PHAM à hauteur de 25 millions d’Euros à travers le 10ème Fonds européen de Développement.
Ce, dans l’optique de réduire à terme, la pauvreté et d’améliorer la santé des populations en leur offrant la possibilité d’accès à l’eau potable. Toute chose qui, a-t-il ajouté, montre l’engagement du gouvernement de redresser la situation dans le secteur de l’eau potable, en vue de satisfaire les besoins de toute la population et de faire de la Côte d’Ivoire, un pays émergent.
Cet atelier qui est le quatrième du genre après ceux de Bouaké, Korhogo, Abengourou, donnera dit-on ses conclusions et ses recommandations au terme de ses travaux, prévu pour ce vendredi.
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