La Côte d’Ivoire toute entière a souffert des affres des crises à répétitions qu’elle a connues, en particulier la crise post électorale et son corollaire. L’ouest du pays, cette zone qui constitue la nouvelle boucle du cacao fait partie des régions qui ont payé le lourd tribut de ces crises. A cela se sont ajoutés les conflits fonciers entre autochtones, allochtones et allogènes, qui ont aggravés la situation précaire dans cette partie de la Côte d’Ivoire. Une atmosphère délétère à laquelle veut remédier les populations de cette région.
A cet effet, une campagne de sensibilisation a démarré et se poursuit dans la région du TONKPI dans le but de permettre à chacune des parties de briser ce lourd silence de douleur et de rancœur en racontant ce qu’elle a vécu et subi durant la crise ; afin d’évaluer les méfaits de la guerre et d’envisager au mieux la réconciliation entre les populations toutes origines et tendances confondues. L’étape de Kouibly a vu la présence effective des représentants des Ambassades des Etats-Unis, de la France et l’ambassadeur du Burkina Faso Monsieur Justin KOUTABA. Le corps préfectoral avec à sa tête Monsieur COULIBALY Sié, Préfet de Kouibly ; Les cadres et autorités élues de la région ont également brillé par leur présence de même que les populations elles-mêmes. A l’orée des prochaines échéances électorales, une telle initiative est à saluer.
Sur invitation de Monsieur BAZONGO Pierre Frédérique, Président National de l’Association des Burkinabés de l’extérieur pour le développement (L’ABED), l’Association Ivoirienne pour les Nations Unies (AINU) a pris une part active à cette cérémonie, le 19 juin 2015, dans le cadre de ses activités de promotion de paix, de réconciliation et de cohésion sociale. L’AINU, représentée par son Président National, M. Jean-Richard NIAGO a appelé à la culture de la paix et à la cohabitation pacifique des populations en clair il a prôné le Vivre Ensemble. Kouibly, à l’instar de Man, Danané, Biankouma, Zouhan-Hounien, Danané, Facobly, Sipilou, etc. qui recevront cette caravane, porte encore les stigmates des crises successives qu’a connues notre pays ; et pour l’aider au mieux à panser ses plaies et à guérir de ses blessures, il faut bien se montrer une oreille attentive. C’est ce que n’a pas manqué de faire l’AINU par l’entremise de son président national.
L’Association Ivoirienne pour les Nations Unies (AINU), par ses actions de proximité en faveur des populations se veut ainsi un agent de la société civile engagé dans le processus de reconstruction de la Côte d’Ivoire. C’est donc à juste titre qu’elle a effectué des missions d’appréciation des conditions de vie des populations et de leur niveau sécuritaire dans le but d’apporter sa contribution à la reconstruction de la Côte d’Ivoire et venir à bout de la fracture sociale que connait certains endroits de la Cote d’Ivoire. La situation à Kouibly n’est pas différente de ces autres régions déjà visitées. Pire encore, les problèmes sur le foncier rural mettent en mal l’harmonie au sein des populations. Pour ce faire, l’AINU fait les propositions suivantes pour une harmonie durable entre les populations vivant dans la région du Tonkpi :
-Une promotion de la loi sur le foncier rural auprès des populations autochtones, allochtones et allogènes
-Une contribution des populations rurales à un regain de stabilité et de paix durable par la promotion du dialogue intercommunautaire.
Le Président National de l’AINU, M. Jean-Richard NIAGO a indiqué aux populations autochtones, allochtones et allogènes qu’elles gagneraient à s’unir, à marcher d’un même pas ; à travailler et à vivre en harmonie. Tout en privilégiant le dialogue au détriment de la violence. Il n’a surtout pas manqué de leur rappeler que la paix, plus qu’une option, est une nécessité. Dans la mesure où sans paix, il ne peut avoir de développement vrai. Un développement auquel ces allogènes Burkinabés et Maliens ont contribué des années durant grâce à leur travail dans les plantations de café et de cacao. Toutefois, ceux-ci gagneraient à s’entendre avec leurs frères et tuteurs Guérés, Yacouba et Wobé. Aux autochtones Guérés, Yacouba et Wobé, qu’ils acceptent leurs frères et continuent de vivre avec eux dans l’entente et la concorde. Surtout qu’ils ne tiennent pas compte des discours parfois haineux des politiques, qui incitent à la guerre et à la division. De telles attitudes sont fréquentes à l’approche des élections. Ils se doivent de faire attention et rester soudés pour contrecarrer de telles tentatives. Le Président National, sous un air enthousiaste et les yeux remplis d’espoir pour une nation une et indivisible, a clos son propos par ce slogan : « Tous pour une cohésion sociale retrouvée et confirmée en Côte d’Ivoire ». Pour dire que chacun devrait jouer sa part afin qu’on atteigne cet idéal.
A cet effet, une campagne de sensibilisation a démarré et se poursuit dans la région du TONKPI dans le but de permettre à chacune des parties de briser ce lourd silence de douleur et de rancœur en racontant ce qu’elle a vécu et subi durant la crise ; afin d’évaluer les méfaits de la guerre et d’envisager au mieux la réconciliation entre les populations toutes origines et tendances confondues. L’étape de Kouibly a vu la présence effective des représentants des Ambassades des Etats-Unis, de la France et l’ambassadeur du Burkina Faso Monsieur Justin KOUTABA. Le corps préfectoral avec à sa tête Monsieur COULIBALY Sié, Préfet de Kouibly ; Les cadres et autorités élues de la région ont également brillé par leur présence de même que les populations elles-mêmes. A l’orée des prochaines échéances électorales, une telle initiative est à saluer.
Sur invitation de Monsieur BAZONGO Pierre Frédérique, Président National de l’Association des Burkinabés de l’extérieur pour le développement (L’ABED), l’Association Ivoirienne pour les Nations Unies (AINU) a pris une part active à cette cérémonie, le 19 juin 2015, dans le cadre de ses activités de promotion de paix, de réconciliation et de cohésion sociale. L’AINU, représentée par son Président National, M. Jean-Richard NIAGO a appelé à la culture de la paix et à la cohabitation pacifique des populations en clair il a prôné le Vivre Ensemble. Kouibly, à l’instar de Man, Danané, Biankouma, Zouhan-Hounien, Danané, Facobly, Sipilou, etc. qui recevront cette caravane, porte encore les stigmates des crises successives qu’a connues notre pays ; et pour l’aider au mieux à panser ses plaies et à guérir de ses blessures, il faut bien se montrer une oreille attentive. C’est ce que n’a pas manqué de faire l’AINU par l’entremise de son président national.
L’Association Ivoirienne pour les Nations Unies (AINU), par ses actions de proximité en faveur des populations se veut ainsi un agent de la société civile engagé dans le processus de reconstruction de la Côte d’Ivoire. C’est donc à juste titre qu’elle a effectué des missions d’appréciation des conditions de vie des populations et de leur niveau sécuritaire dans le but d’apporter sa contribution à la reconstruction de la Côte d’Ivoire et venir à bout de la fracture sociale que connait certains endroits de la Cote d’Ivoire. La situation à Kouibly n’est pas différente de ces autres régions déjà visitées. Pire encore, les problèmes sur le foncier rural mettent en mal l’harmonie au sein des populations. Pour ce faire, l’AINU fait les propositions suivantes pour une harmonie durable entre les populations vivant dans la région du Tonkpi :
-Une promotion de la loi sur le foncier rural auprès des populations autochtones, allochtones et allogènes
-Une contribution des populations rurales à un regain de stabilité et de paix durable par la promotion du dialogue intercommunautaire.
Le Président National de l’AINU, M. Jean-Richard NIAGO a indiqué aux populations autochtones, allochtones et allogènes qu’elles gagneraient à s’unir, à marcher d’un même pas ; à travailler et à vivre en harmonie. Tout en privilégiant le dialogue au détriment de la violence. Il n’a surtout pas manqué de leur rappeler que la paix, plus qu’une option, est une nécessité. Dans la mesure où sans paix, il ne peut avoir de développement vrai. Un développement auquel ces allogènes Burkinabés et Maliens ont contribué des années durant grâce à leur travail dans les plantations de café et de cacao. Toutefois, ceux-ci gagneraient à s’entendre avec leurs frères et tuteurs Guérés, Yacouba et Wobé. Aux autochtones Guérés, Yacouba et Wobé, qu’ils acceptent leurs frères et continuent de vivre avec eux dans l’entente et la concorde. Surtout qu’ils ne tiennent pas compte des discours parfois haineux des politiques, qui incitent à la guerre et à la division. De telles attitudes sont fréquentes à l’approche des élections. Ils se doivent de faire attention et rester soudés pour contrecarrer de telles tentatives. Le Président National, sous un air enthousiaste et les yeux remplis d’espoir pour une nation une et indivisible, a clos son propos par ce slogan : « Tous pour une cohésion sociale retrouvée et confirmée en Côte d’Ivoire ». Pour dire que chacun devrait jouer sa part afin qu’on atteigne cet idéal.