Après l’initiative de Paris en 2014 conduite par le Gouverneur américain Arnold Schwarzenegger, matérialisée par la signature de mille élus locaux mondiaux pour lutter contre le changement climatique, le sommet des régions et villes d’Afrique pour le climat « étape Africaine sur la route de Paris 2015 » est organisé les 24 et 25 juin, à Yamoussoukro, par l’Assemblée des Régions et Districts de Côte d’Ivoire (ARDCI), sous l’égide de la Commission et du conseil des collectivités territoriales de l’UEMOA.
En présence des représentants de 18 pays africains, le Premier ministre ivoirien, S.E.M. Daniel Kablan Duncan a présidé la cérémonie d’ouverture des travaux de cette rencontre inter étatique dont l’objectif a été d’impliquer les collectivités territoriales africaines, notamment celles de l’espace UEMOA dans la lutte contre les changements climatiques.
Plusieurs questions sont au menu de ces travaux, à savoir la présentation d’initiatives africaines dans le domaine de la lutte contre les changements climatiques et les opportunités de financement. Echanger sur la prise en compte de la dimension climat dans les politiques sectorielles de l’UEMOA (environnement, aménagement du territoire, énergie, transport…) et de la contribution de l’UEMOA à la prochaine Conférence de Paris.
Mobiliser les collectivités territoriales africaines autour des enjeux la prochaine Conférence de Paris sur le Climat par leur adhésion à la Déclaration de Paris. Faciliter la coopération Sud-Sud-Nord dans le domaine des politiques de résilience aux changements climatiques. Mettre en place un comité de suivi de la mobilisation des collectivités territoriales de l’espace UEMOA pour la Conférence de Paris.
Face à l’importance du sujet, S.E.M. Daniel Kablan Duncan a déclaré que « cet sommet arrive à une période où il nous faut faire le point de l’état d’avancement des préparatifs de la 21è conférence des parties à la Convention-cadre des nations unies sur les changements climatiques ou COP21 prévue du 30 novembre au 11 décembre 2015 à Paris, en France, pour être suffisamment prêts, pour défendre une position commune africaine face aux défis climatiques ».
Selon le Chef de Gouvernement de Côte d’Ivoire, ce sommet doit être une occasion de mobilisation des enjeux des collectivités territoriales africaines autour des enjeux de la prochaine conférence de Paris autour de la problématique du climat.
« Oui, « Yamoussoukro, étape africaine sur la route de Paris 2015 » doit permettre d’échanger les initiatives et les bonnes pratiques des différents pays africains et fédérer nos actions. Ce qui devrait engendrer une plus grande cohérence et efficacité de la position des collectivités territoriales ouest-africaines sur cette question » a indiqué S.E.M. Daniel K Duncan.
En définitive, il s’agit d’œuvrer à l’aboutissement d’un accord universel et contraignant, permettant de lutter efficacement contre le dérèglement climatique et d’accélérer la transition vers des sociétés et des économies résilientes et sobres en carbone.
En présence des représentants de 18 pays africains, le Premier ministre ivoirien, S.E.M. Daniel Kablan Duncan a présidé la cérémonie d’ouverture des travaux de cette rencontre inter étatique dont l’objectif a été d’impliquer les collectivités territoriales africaines, notamment celles de l’espace UEMOA dans la lutte contre les changements climatiques.
Plusieurs questions sont au menu de ces travaux, à savoir la présentation d’initiatives africaines dans le domaine de la lutte contre les changements climatiques et les opportunités de financement. Echanger sur la prise en compte de la dimension climat dans les politiques sectorielles de l’UEMOA (environnement, aménagement du territoire, énergie, transport…) et de la contribution de l’UEMOA à la prochaine Conférence de Paris.
Mobiliser les collectivités territoriales africaines autour des enjeux la prochaine Conférence de Paris sur le Climat par leur adhésion à la Déclaration de Paris. Faciliter la coopération Sud-Sud-Nord dans le domaine des politiques de résilience aux changements climatiques. Mettre en place un comité de suivi de la mobilisation des collectivités territoriales de l’espace UEMOA pour la Conférence de Paris.
Face à l’importance du sujet, S.E.M. Daniel Kablan Duncan a déclaré que « cet sommet arrive à une période où il nous faut faire le point de l’état d’avancement des préparatifs de la 21è conférence des parties à la Convention-cadre des nations unies sur les changements climatiques ou COP21 prévue du 30 novembre au 11 décembre 2015 à Paris, en France, pour être suffisamment prêts, pour défendre une position commune africaine face aux défis climatiques ».
Selon le Chef de Gouvernement de Côte d’Ivoire, ce sommet doit être une occasion de mobilisation des enjeux des collectivités territoriales africaines autour des enjeux de la prochaine conférence de Paris autour de la problématique du climat.
« Oui, « Yamoussoukro, étape africaine sur la route de Paris 2015 » doit permettre d’échanger les initiatives et les bonnes pratiques des différents pays africains et fédérer nos actions. Ce qui devrait engendrer une plus grande cohérence et efficacité de la position des collectivités territoriales ouest-africaines sur cette question » a indiqué S.E.M. Daniel K Duncan.
En définitive, il s’agit d’œuvrer à l’aboutissement d’un accord universel et contraignant, permettant de lutter efficacement contre le dérèglement climatique et d’accélérer la transition vers des sociétés et des économies résilientes et sobres en carbone.