A l’occasion de la cérémonie de lancement de la plate forme d’innovation sur la Tique Rhipicephalus (Boophilus ) microplus le 25 juin 2015 à Korhogo au Nord de la Côte d’Ivoire Mme Fatiga née Diarrassouba épouse Haida sous directrice à la réglementation et information du ministère de la production animale et des ressources halieutique représentant le directeur général des services vétérinaires a déclare que face à la résurgence de la Tique Rhipicephalus (bioophilus) microplus présente dans six pays en Afrique de l’Ouest sur les huit que compte l’UEMOA , le centre international de recherche –développement sur l’élevage en zone subhumide (CIRDES) a soumis un projet intitulé « projet de lutte contre la Tique Rhipicephalus (boophilus) micropplus en Afrique de l’Ouest (PRT) en vue d’élucider l’impact de cette Tique dans la sous région. Une maladie bovine découverte pour la première fois en Côte d’Ivoire dont son introduction a été localisée à partir de Bingerville, Toumodi et Dabakala et qui se propage vers les pays sahéliens ».
Elle est plus prolifique que les autres espèces du même genre, en plus de se nourrir du bétail, elle transmet des agents pathogènes responsables de maladies dont la plus connue est la babesiose à Babesia bovis . Les pertes directes et indirectes occasionnées sont aussi nombreuses à savoir une baisse de la production laitière, la perte de poids, les mortalités entraînantes des pertes économiques considérable a- t-elle révélée.C’était en présence du préfet de régions du poro, préfet du département de korhogo Daouda OUATTARA, Mme Yapi épouse Gnahoré Valentine directrice générale du centre internationale de développement élevage en zone sud humide(CIRDES) à Bobo dioulasso au Burkina Faso regroupant les pays de l’espace CEDEAO, élus locaux, des vétérinaires et éleveurs.
Pour Mme Yapi DG du CIRDES après présentation de sa structure de recherche et développement sur l’elevage « l’importance de la mise en place de la plateforme d’innovation de la Côte d’Ivoire d’où est venue la maladie bovine qui se répand progressivement sur l’ensemble des pays de l’UEMOA notamment ceux du sahel après la mise en place de certains pays de la sous région est une grande importance ». Le préfet de région, préfet du département de Korhogo a pour sa part indiqué que 37495 bœufs de culture attelée sont dans la seule région du poro d’où l’espoir de voir les chercheurs de l’espace CEDEAO mettre ensemble leurs synergies afin de trouver des médicaments appropriées à cette maladie bovine pour le bonheur des acteurs de la filière et du cheptel ivoirien.
Benogo TOURE
(Correspondant)
Elle est plus prolifique que les autres espèces du même genre, en plus de se nourrir du bétail, elle transmet des agents pathogènes responsables de maladies dont la plus connue est la babesiose à Babesia bovis . Les pertes directes et indirectes occasionnées sont aussi nombreuses à savoir une baisse de la production laitière, la perte de poids, les mortalités entraînantes des pertes économiques considérable a- t-elle révélée.C’était en présence du préfet de régions du poro, préfet du département de korhogo Daouda OUATTARA, Mme Yapi épouse Gnahoré Valentine directrice générale du centre internationale de développement élevage en zone sud humide(CIRDES) à Bobo dioulasso au Burkina Faso regroupant les pays de l’espace CEDEAO, élus locaux, des vétérinaires et éleveurs.
Pour Mme Yapi DG du CIRDES après présentation de sa structure de recherche et développement sur l’elevage « l’importance de la mise en place de la plateforme d’innovation de la Côte d’Ivoire d’où est venue la maladie bovine qui se répand progressivement sur l’ensemble des pays de l’UEMOA notamment ceux du sahel après la mise en place de certains pays de la sous région est une grande importance ». Le préfet de région, préfet du département de Korhogo a pour sa part indiqué que 37495 bœufs de culture attelée sont dans la seule région du poro d’où l’espoir de voir les chercheurs de l’espace CEDEAO mettre ensemble leurs synergies afin de trouver des médicaments appropriées à cette maladie bovine pour le bonheur des acteurs de la filière et du cheptel ivoirien.
Benogo TOURE
(Correspondant)