Daoukro - Six bandits, dont l'âge varie entre 12 et 21 ans, qui opéraient par effraction à Daoukro, ont été mis aux arrêts dans la période du 12 au 14 juin, par la police.
Selon les faits, le chef du gang, Fofana Idriss, féticheur et Dozo de son état, âgé de 19 ans, avait été conduit au violon, suite à des démêlés avec un jeune footballeur. Il n’avait pas pu permettre à ce dernier d’aller jouer à l’étranger, lors de la dernière sélection de son club, après lui avoir soutiré une somme de 30 000 FCFA.
Au même moment, un élément de sa bande, conduit au poste après son forfait, ayant reconnu son chef Dozo, n’hésita pas à le dénoncer. Les informations recueillies auprès de ces deux personnes vont permettre au commissaire Maxime Mobio et ses éléments de mettre la main sur quatre autres, tous transférées à la prison de Bongouanou le 17 juin.
Le dozo a pu constituer sa bande, composée d’un élève en classe de troisième et de quatre jeunes sans emploi, leur promettant de les rendre riches à travers ces opérations qu’ils menaient dans tous les quartiers de la ville.
Pour accomplir leurs forfaits, ces individus comptaient sur les pouvoirs de leur sauveur de circonstances, pour les rendre invisibles, lors de leur introduction dans les domiciles.
Le commissaire a annoncé des opérations de grande envergure, pour mieux sécuriser les populations. Dans cette affaire, ils ont pu soutirer une somme de 650.000FCFA aux populations, révèle-t-on.
ca/ar/fmo/ask
Selon les faits, le chef du gang, Fofana Idriss, féticheur et Dozo de son état, âgé de 19 ans, avait été conduit au violon, suite à des démêlés avec un jeune footballeur. Il n’avait pas pu permettre à ce dernier d’aller jouer à l’étranger, lors de la dernière sélection de son club, après lui avoir soutiré une somme de 30 000 FCFA.
Au même moment, un élément de sa bande, conduit au poste après son forfait, ayant reconnu son chef Dozo, n’hésita pas à le dénoncer. Les informations recueillies auprès de ces deux personnes vont permettre au commissaire Maxime Mobio et ses éléments de mettre la main sur quatre autres, tous transférées à la prison de Bongouanou le 17 juin.
Le dozo a pu constituer sa bande, composée d’un élève en classe de troisième et de quatre jeunes sans emploi, leur promettant de les rendre riches à travers ces opérations qu’ils menaient dans tous les quartiers de la ville.
Pour accomplir leurs forfaits, ces individus comptaient sur les pouvoirs de leur sauveur de circonstances, pour les rendre invisibles, lors de leur introduction dans les domiciles.
Le commissaire a annoncé des opérations de grande envergure, pour mieux sécuriser les populations. Dans cette affaire, ils ont pu soutirer une somme de 650.000FCFA aux populations, révèle-t-on.
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