Yamoussoukro - Quatre-vingts personnes soupçonnées de cybercriminalité ont été interpellés au premier trimestre 2015 en Côte d'Ivoire, avec 480 affaires traitées contre 450 affaires traitées et 70 interpellations 2014 dans le pays, a appris l'AIP auprès du directeur de la direction de l’informatique et des traces technologiques (DITT), le commandant Ouattara Guelpetchin.
Le directeur de la DITT, qui a fait cette annonce vendredi à Yamoussoukro, lors d’un colloque international sur la cybercriminalité, a indiqué par ailleurs que 90 % des infractions recensées au monde sont des infractions classiques avec usage des technologies de l’information et de la communication (TIC).
" En 2013, 85% de ces infractions sont commis depuis l’Afrique ", a précisé le commandant Ouattara Guelpetchin.
Initié par l’institut de lutte contre la criminalité économique (ILCE) de la haute école de gestion Arc (HEG Arc) et l’Ecole supérieure de commerce et d’administration des entreprises (ESCAE) de l’institut national polytechnique Houphouët-Boigny de Yamoussoukro, le colloque international a pour thème " l’impact de la cybercriminalité sur la société Ouest-africaine : exemple de la Côte d’Ivoire ".
Les infractions qualifiées "délinquance astucieuse" sur internet ont un impact au plan culturel, social et sur les investissements étrangers. "On évalue le préjudice subi à 1,5 milliards F CFA", a confié lors de sa communication l’étudiant Koné Aboubacar Sidiki de l’INP-HB dans le cadre de ses travaux de recherche .
Le colloque international sur la cybercriminalité, deuxième du genre, rassemble des experts du domaine en provenance de Suisse et de la Côte d’Ivoire, ainsi que les représentants des institutions publiques, des entreprises privées et des établissements d’enseignement supérieur, la presse et société civile.
(AIP)
nam/tm
Le directeur de la DITT, qui a fait cette annonce vendredi à Yamoussoukro, lors d’un colloque international sur la cybercriminalité, a indiqué par ailleurs que 90 % des infractions recensées au monde sont des infractions classiques avec usage des technologies de l’information et de la communication (TIC).
" En 2013, 85% de ces infractions sont commis depuis l’Afrique ", a précisé le commandant Ouattara Guelpetchin.
Initié par l’institut de lutte contre la criminalité économique (ILCE) de la haute école de gestion Arc (HEG Arc) et l’Ecole supérieure de commerce et d’administration des entreprises (ESCAE) de l’institut national polytechnique Houphouët-Boigny de Yamoussoukro, le colloque international a pour thème " l’impact de la cybercriminalité sur la société Ouest-africaine : exemple de la Côte d’Ivoire ".
Les infractions qualifiées "délinquance astucieuse" sur internet ont un impact au plan culturel, social et sur les investissements étrangers. "On évalue le préjudice subi à 1,5 milliards F CFA", a confié lors de sa communication l’étudiant Koné Aboubacar Sidiki de l’INP-HB dans le cadre de ses travaux de recherche .
Le colloque international sur la cybercriminalité, deuxième du genre, rassemble des experts du domaine en provenance de Suisse et de la Côte d’Ivoire, ainsi que les représentants des institutions publiques, des entreprises privées et des établissements d’enseignement supérieur, la presse et société civile.
(AIP)
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