La troisième conférence internationale sur le financement du développement a commencé ses travaux lundi dans la capitale éthiopienne, Addis-Abeba, les dirigeants de la planète se réunissant pour discuter d'un cadre de financement pour le développement durable mondial des 15 prochaines années.
L'événement de quatre jours devrait aboutir à l'adoption du programme d'Action d'Addis-Abeba, cadre de financement qui soutiendra la mise en place de l'Agenda de Développement post-2015 des Nations Unies.
L'Agenda de développement post-2015 a pour but d'aider à définir le cadre de développement mondial futur qui succèdera aux Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD).
Dans son discours d'ouverture, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a déclaré que la conférence est le point de départ d'une ère de coopération et de partenariat mondial pour relever les contraintes du développement et avancer vers le développement durable.
"L'agenda présente un cadre de financement ambitieux. Il nous met sur le bon chemin pour mettre en place l'agenda de développement post-2015 et les objectifs de développement durable. Le cadre est universellement inclusif, nous ne voulons laisser personne derrière", a souligné M. Ban. Présidant la session d'ouverture de la conférence, le Premier ministre éthiopien Hailemariam Desalegn a prôné une "approche différente", qui se construira à partir des succès atteints par les OMD et dont le but sera de réaliser les objectifs mondiaux de développement durable.
"J'espère qu'elle (la conférence) servira de lancement d'une augmentation massive des investissements dans les secteurs productifs dans le monde en développement comme l'agriculture, l'industrialisation, les énergies renouvelables et les infrastructures", a-t-il déclaré.
La conférence, organisée en même temps qu'un certain nombre d'autres événements annexes, réunit des hauts-dignitaires politiques, dont des chefs d'Etat et de gouvernement, des ministres des Finances, des ministres des Affaires étrangères, et des représentants d'organisations non-gouvernementales et du secteur des affaires.
L'événement de quatre jours devrait aboutir à l'adoption du programme d'Action d'Addis-Abeba, cadre de financement qui soutiendra la mise en place de l'Agenda de Développement post-2015 des Nations Unies.
L'Agenda de développement post-2015 a pour but d'aider à définir le cadre de développement mondial futur qui succèdera aux Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD).
Dans son discours d'ouverture, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a déclaré que la conférence est le point de départ d'une ère de coopération et de partenariat mondial pour relever les contraintes du développement et avancer vers le développement durable.
"L'agenda présente un cadre de financement ambitieux. Il nous met sur le bon chemin pour mettre en place l'agenda de développement post-2015 et les objectifs de développement durable. Le cadre est universellement inclusif, nous ne voulons laisser personne derrière", a souligné M. Ban. Présidant la session d'ouverture de la conférence, le Premier ministre éthiopien Hailemariam Desalegn a prôné une "approche différente", qui se construira à partir des succès atteints par les OMD et dont le but sera de réaliser les objectifs mondiaux de développement durable.
"J'espère qu'elle (la conférence) servira de lancement d'une augmentation massive des investissements dans les secteurs productifs dans le monde en développement comme l'agriculture, l'industrialisation, les énergies renouvelables et les infrastructures", a-t-il déclaré.
La conférence, organisée en même temps qu'un certain nombre d'autres événements annexes, réunit des hauts-dignitaires politiques, dont des chefs d'Etat et de gouvernement, des ministres des Finances, des ministres des Affaires étrangères, et des représentants d'organisations non-gouvernementales et du secteur des affaires.