Après les Tables Rondes de Zanzibar en Tanzanie en 2013 et de Naivasha au Kenya en 2014, le cap a été mis sur Yamoussoukro, où ont lieu du 23 au 24 juillet, les Assises Annuelles des leaders de l’Initiative Africaine sur les Politiques de Services Financiers via la téléphonie mobile (AMPI), sous le patronage du Premier Ministre ivoirien, S.E.M. Daniel Kablan Duncan.
En l’absence du Chef du Gouvernement ivoirien, l’ouverture de la troisième table ronde de l’AMPI qui se tient à Yamoussoukro, a été faite par le Gouverneur de la BCEAO et Président de l’AMPI, M. Tiémoko Meyliet Koné, sous le thème : « la prochaine génération des services financiers via la téléphonie mobile : convergence et développement ».
Relever ensemble les défis du développement des paiements via la téléphonie mobile en Afrique en vue d’une plus grande inclusion financière : telle est la vision commune qui a guidé l’organisation de cette troisième table ronde de l’AMPI, dans un contexte caractérisé par une percée de l’usage du téléphone mobile à des fins de paiement électronique.
« Après le Kenya et la Tanzanie, aujourd’hui plusieurs pays africains font l’expérience d’un développement inédit des solutions de paiement via la téléphonie mobile » a indiqué le Gouverneur de la BCEAO, M. Tiémoko Meyliet Koné.
Il a ainsi révélé que l’Association mondiale des opérateurs de téléphonie mobile dénombre, sur le continent africain, 130 offres de services financiers via la téléphonie mobile auxquelles ont accès environ 98 millions d’utilisateurs.
« Dans l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), le nombre d’utilisateurs des services financiers par la téléphonie mobile est passé de 11 à 18,2 millions entre 2013 et 2014 » a relevé le Gouverneur de la BCEAO, M. Tiémoko Koné.
Il a particulièrement souligné le cas de la Côte d’Ivoire où l’équivalent de 43% de la population utilise le téléphone portable pour des transactions financières. « Le nombre de souscripteurs aux offres de services financiers via la téléphonie mobile atteint 9,3 millions, soit près de la moitié de la population, en décembre 2014 » a-t-il ajouté.
Quant au Directeur Exécutif de l’AFI (Alliance pour l’Inclusion Financière), Dr. Alfred Hannig, il a saisi cette occasion qui lui a été donnée dans son message d’ouverture pour inviter les dirigeants financiers à coordonner leurs efforts pour mieux réguler les transactions financières via le téléphone mobile.
Selon lui, cette plateforme élitiste doit mener à l’identification des barrières et solutions pour l’évolution des services financiers via la téléphonie mobile en Afrique.
Les sessions une fois ouvertes, plusieurs débats ont tourné ce matin autour de la prochaine génération des services financiers via la téléphonie mobile, les transferts des migrants et les transferts transfrontaliers, l’interopérabilité des services financiers via la téléphonie mobile : Exemples réussis de partenariats en Afrique.
Et enfin, les défis et opportunités de la micro finance et services financiers via la téléphonie mobile.
Cette première journée de la table ronde aura permis de montrer le rôle joué par les régulateurs dans le succès enregistré par la Côte d’Ivoire, en matière de transactions via la téléphonie mobile.
En l’absence du Chef du Gouvernement ivoirien, l’ouverture de la troisième table ronde de l’AMPI qui se tient à Yamoussoukro, a été faite par le Gouverneur de la BCEAO et Président de l’AMPI, M. Tiémoko Meyliet Koné, sous le thème : « la prochaine génération des services financiers via la téléphonie mobile : convergence et développement ».
Relever ensemble les défis du développement des paiements via la téléphonie mobile en Afrique en vue d’une plus grande inclusion financière : telle est la vision commune qui a guidé l’organisation de cette troisième table ronde de l’AMPI, dans un contexte caractérisé par une percée de l’usage du téléphone mobile à des fins de paiement électronique.
« Après le Kenya et la Tanzanie, aujourd’hui plusieurs pays africains font l’expérience d’un développement inédit des solutions de paiement via la téléphonie mobile » a indiqué le Gouverneur de la BCEAO, M. Tiémoko Meyliet Koné.
Il a ainsi révélé que l’Association mondiale des opérateurs de téléphonie mobile dénombre, sur le continent africain, 130 offres de services financiers via la téléphonie mobile auxquelles ont accès environ 98 millions d’utilisateurs.
« Dans l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), le nombre d’utilisateurs des services financiers par la téléphonie mobile est passé de 11 à 18,2 millions entre 2013 et 2014 » a relevé le Gouverneur de la BCEAO, M. Tiémoko Koné.
Il a particulièrement souligné le cas de la Côte d’Ivoire où l’équivalent de 43% de la population utilise le téléphone portable pour des transactions financières. « Le nombre de souscripteurs aux offres de services financiers via la téléphonie mobile atteint 9,3 millions, soit près de la moitié de la population, en décembre 2014 » a-t-il ajouté.
Quant au Directeur Exécutif de l’AFI (Alliance pour l’Inclusion Financière), Dr. Alfred Hannig, il a saisi cette occasion qui lui a été donnée dans son message d’ouverture pour inviter les dirigeants financiers à coordonner leurs efforts pour mieux réguler les transactions financières via le téléphone mobile.
Selon lui, cette plateforme élitiste doit mener à l’identification des barrières et solutions pour l’évolution des services financiers via la téléphonie mobile en Afrique.
Les sessions une fois ouvertes, plusieurs débats ont tourné ce matin autour de la prochaine génération des services financiers via la téléphonie mobile, les transferts des migrants et les transferts transfrontaliers, l’interopérabilité des services financiers via la téléphonie mobile : Exemples réussis de partenariats en Afrique.
Et enfin, les défis et opportunités de la micro finance et services financiers via la téléphonie mobile.
Cette première journée de la table ronde aura permis de montrer le rôle joué par les régulateurs dans le succès enregistré par la Côte d’Ivoire, en matière de transactions via la téléphonie mobile.