Abidjan – La Commission de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et le Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) organisent depuis lundi, jusqu’à jeudi à Abidjan, un atelier sur l’état de mise en œuvre des politiques agricoles.
Il y est également question du suivi des progrès de l’objectif de 10% des budgets nationaux à allouer au secteur agricole conformément à l’engagement réaffirmé par les chefs d’Etat et de gouvernement en août 2014 à Malabo, selon l'experte suivi et évaluation de la commission de la CEDEAO, chargée de l'agricultur e, de l'environnement et des ressources halieutiques, Mme Fatmata Lucia Seiwoh.
Il s’agira, concrètement, de soutenir la mise en œuvre de la politique agricole de la CEDEAO pour le bien-être des populations exerçant dans ce secteur avec pour objectif d’atteindre une croissance agricole inclusive d’au moins 6% par an tout en contribuant à la réduction de la pauvreté en milieu rural.
A l’ouverture des travaux, le directeur de la Planification de la programmation du financement du ministère de l’Agriculture, Bernard Comoé, a indiqué que la pertinence de l’atelier tient au fait que "l’agriculture restera pour les 10 à 15 prochaines années, la principale source de croissance économique et de réduction de la pauvreté au niveau national tant en milieu rural qu’en milieu urbain"".
Il a souligné que 1.053 milliards ont été mobilisés par la Côte d’Ivoire dans le cadre du Programme national d’investissement agricole (PNIA) et que "les résultats sont forts satisfaisants après deux ans de sa mise en œuvre effective".
Toutefois d’importants défis restent à relever en matière de sécurisation foncière, d’amélioration de la qualité, de disponibilité et d’accessibilité aux intrants, d’accélération de la mécanisation du secteur, de maîtrise de l’eau, de réduction de la dégradation du couvert forestier.
Le NEPAD est prêt à accompagner la CEDEAO en lui apportant son expertise dans la mise en œuvre des politiques agricoles selon la déclaration de Malabo, a pour sa part assuré, Hamidou Boli, le coordin ateur pour la formation à l'éducation et à l'agriculture auprès du NEPAD.
A l’issue des travaux, les participants devraient proposer des dispositions pour mesurer la qualité des dépenses en faveur de l’agriculture et les mettre en évidence pour orienter les affectations budgétaires annuelles.
Il s’agira également pour eux d’arrêter les nouvelles générations des politiques agricoles dans une approche globale avec des outils clairement définis et les appuis nécessaires pour la coordination sectorielle de ces politiques.
aaa/akn/ask
Il y est également question du suivi des progrès de l’objectif de 10% des budgets nationaux à allouer au secteur agricole conformément à l’engagement réaffirmé par les chefs d’Etat et de gouvernement en août 2014 à Malabo, selon l'experte suivi et évaluation de la commission de la CEDEAO, chargée de l'agricultur e, de l'environnement et des ressources halieutiques, Mme Fatmata Lucia Seiwoh.
Il s’agira, concrètement, de soutenir la mise en œuvre de la politique agricole de la CEDEAO pour le bien-être des populations exerçant dans ce secteur avec pour objectif d’atteindre une croissance agricole inclusive d’au moins 6% par an tout en contribuant à la réduction de la pauvreté en milieu rural.
A l’ouverture des travaux, le directeur de la Planification de la programmation du financement du ministère de l’Agriculture, Bernard Comoé, a indiqué que la pertinence de l’atelier tient au fait que "l’agriculture restera pour les 10 à 15 prochaines années, la principale source de croissance économique et de réduction de la pauvreté au niveau national tant en milieu rural qu’en milieu urbain"".
Il a souligné que 1.053 milliards ont été mobilisés par la Côte d’Ivoire dans le cadre du Programme national d’investissement agricole (PNIA) et que "les résultats sont forts satisfaisants après deux ans de sa mise en œuvre effective".
Toutefois d’importants défis restent à relever en matière de sécurisation foncière, d’amélioration de la qualité, de disponibilité et d’accessibilité aux intrants, d’accélération de la mécanisation du secteur, de maîtrise de l’eau, de réduction de la dégradation du couvert forestier.
Le NEPAD est prêt à accompagner la CEDEAO en lui apportant son expertise dans la mise en œuvre des politiques agricoles selon la déclaration de Malabo, a pour sa part assuré, Hamidou Boli, le coordin ateur pour la formation à l'éducation et à l'agriculture auprès du NEPAD.
A l’issue des travaux, les participants devraient proposer des dispositions pour mesurer la qualité des dépenses en faveur de l’agriculture et les mettre en évidence pour orienter les affectations budgétaires annuelles.
Il s’agira également pour eux d’arrêter les nouvelles générations des politiques agricoles dans une approche globale avec des outils clairement définis et les appuis nécessaires pour la coordination sectorielle de ces politiques.
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