Gagnoa – Un atelier sur le dialogue socio-sécuritaire se tient, de jeudi à vendredi, à Gagnoa, à l'intention d’une vingtaine de participants issue de la police et de la société civile de la région du Gôh, afin de créer une synergie visant le renforcement de la confiance police/population.
Selon le formateur, le commissaire principal de police, Parfait Bla Konan Khan, l’idée de cet atelier qui se déroule concomitamment sur toute l’étendue du territoire national est du ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, sur suggestion du directeur général de la police nationale, Brindou M’Bia.
Il a précisé que cet atelier entre dans le cadre du projet d’appui au renforcement du dialogue socio -sécuritaire (PARDS) qui est financé par l’Union européenne (UE) et mis en œuvre par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
Durant deux jours, les participants venus de Guibéroua, Gagnoa et Oumé, et, travaillant déjà dans les différents commissariats de police de la région du Gôh, en commission au sein des comités consultatifs d’éthique (CCE) seront entretenus davantage sur les missions de la police et sur leurs propres missions, afin de mieux les accomplir, a affirmé le formateur Bla.
Ces participants doivent être à la fois comme "une fenêtre qui voit à l’intérieur et à l’extérieur’’, en étant aussi bien "les parole-paroles de la police que ceux de la population’’, a indiqué le commissaire principal-formateur, ai dé dans sa tâche par deux autres formateurs, les commissaires Etienne Kima (Burkina Faso), et Mireille Nama (Cameroun), de la police civile de l’ONUCI (UNPOL), l’ONUCI accompagnant l’Etat ivoirien dans la mise en œuvre du PARDS.
"Au terme de ces ateliers, il y aura des fora au cours desquels la population dans sa grande majorité aura l’occasion d’échanger avec la police pour mieux se comprendre et mieux se pardonner, et travailler ensemble pour avoir une police efficace, citoyenne et démocratique avec l’appui de la population’’, a déclaré l’officier de police.
Il a souligné que le dialogue socio-sécuritaire a comme principe fondamental "se parler pour que la sécurité soit mieux assurée’’, et ce, par une franche et sincère collaboration et l’appui de la population &a grave; la police pour lui permettre de mener à bien sa mission de sécurisation des biens et des personnes.
Bien avant cet atelier, les policiers ont déjà été formés à l’accueil, au respect de leur code de déontologie. Cela a été suivi par l’installation des comités consultatifs d’éthique (CCE).
Le gouvernement ivoirien a adopté le code de déontologie de la police nationale et la charte d’accueil dans les services de police, afin de permettre à la police d'être une police citoyenne, démocratique, soumise à la population et qui travaille en étroite collaboration avec elle, rappelle-t-on.
Cinq équipes sillonnent tout le pays. L’équipe 5, après Toumodi et Gagnoa, va achever sa mission à Divo, les 3 et 4 août prochain, indique-t-on.
ja/ask
Selon le formateur, le commissaire principal de police, Parfait Bla Konan Khan, l’idée de cet atelier qui se déroule concomitamment sur toute l’étendue du territoire national est du ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, sur suggestion du directeur général de la police nationale, Brindou M’Bia.
Il a précisé que cet atelier entre dans le cadre du projet d’appui au renforcement du dialogue socio -sécuritaire (PARDS) qui est financé par l’Union européenne (UE) et mis en œuvre par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
Durant deux jours, les participants venus de Guibéroua, Gagnoa et Oumé, et, travaillant déjà dans les différents commissariats de police de la région du Gôh, en commission au sein des comités consultatifs d’éthique (CCE) seront entretenus davantage sur les missions de la police et sur leurs propres missions, afin de mieux les accomplir, a affirmé le formateur Bla.
Ces participants doivent être à la fois comme "une fenêtre qui voit à l’intérieur et à l’extérieur’’, en étant aussi bien "les parole-paroles de la police que ceux de la population’’, a indiqué le commissaire principal-formateur, ai dé dans sa tâche par deux autres formateurs, les commissaires Etienne Kima (Burkina Faso), et Mireille Nama (Cameroun), de la police civile de l’ONUCI (UNPOL), l’ONUCI accompagnant l’Etat ivoirien dans la mise en œuvre du PARDS.
"Au terme de ces ateliers, il y aura des fora au cours desquels la population dans sa grande majorité aura l’occasion d’échanger avec la police pour mieux se comprendre et mieux se pardonner, et travailler ensemble pour avoir une police efficace, citoyenne et démocratique avec l’appui de la population’’, a déclaré l’officier de police.
Il a souligné que le dialogue socio-sécuritaire a comme principe fondamental "se parler pour que la sécurité soit mieux assurée’’, et ce, par une franche et sincère collaboration et l’appui de la population &a grave; la police pour lui permettre de mener à bien sa mission de sécurisation des biens et des personnes.
Bien avant cet atelier, les policiers ont déjà été formés à l’accueil, au respect de leur code de déontologie. Cela a été suivi par l’installation des comités consultatifs d’éthique (CCE).
Le gouvernement ivoirien a adopté le code de déontologie de la police nationale et la charte d’accueil dans les services de police, afin de permettre à la police d'être une police citoyenne, démocratique, soumise à la population et qui travaille en étroite collaboration avec elle, rappelle-t-on.
Cinq équipes sillonnent tout le pays. L’équipe 5, après Toumodi et Gagnoa, va achever sa mission à Divo, les 3 et 4 août prochain, indique-t-on.
ja/ask