Le Directeur Général de la société G4S, M. Serge KOUAKOU, a invité ce jeudi 30 juillet 2015 à la Maison de l’Entreprise au Plateau, les établissements bancaires à faire un choix stratégique face à la résurgence et à la recrudescence des braquages d’agences bancaires en Côte d’Ivoire.
"En Côte d’Ivoire, nous avons un problème de sécurité ; le temps est à l’action. Il vous faut faire un choix stratégique pour votre sécurité. Nous invitons les décideurs des banques à s’y engager", a interpellé M. KOUAKOU, lors d’un petit-déjeuner débat sur le thème « LA RESURGENCE ET LA RECRUDESCENCE DES CAS DE BRAQUAGES D’AGENCES BANCAIRES ET ETABLISSEMENTS FINANCIERS : MESURES PREVENTIVES ET DISSUASIVES ».
L’objectif de cet échange avec les acteurs du secteur bancaire et financier, initié par la société G4S était de tirer les leçons des récents cas de braquages et de communiquer sur les mesures et dispositions préventives nécessaires afin de préserver leurs actifs et leurs ressources.
Ce petit-déjeuner débat a vu la présence de représentants d’institutions bancaires entres autres, BNI, NSIA BANQUE, BANQUE ATLANTIQUE, ADVANS, BOA, CITIGROUP, ECOBANK, BANQUE MONDIALE, AFRILAND FIRST BANK qui ont bien voulu partager leur expérience.
Animé par le conférencier, Fabrice HIRITZIG, Directeur des Opérations de G4S CI, ancien officier des Forces Armées Françaises, expert en sécurité maritime et spécialiste des questions liées au terrorisme ; il a été question au cours de cet échange, de présenter et d’analyser les modes opératoires des différents braquages qui ont été perpétrés ces derniers mois, dans les établissements bancaires aussi bien à Abidjan, qu’à l’intérieur du pays.
En effet, bien organisés, les braqueurs procèdent à une étude préalable du dispositif sécuritaire des agences concernées; à un repérage des lieux et ils vont de façon générale travailler en équipe et en effectif supérieur ou égal au nombre de personnes dans la banque.
Parlant des facteurs de risques induisant les braquages au sein des établissements financiers, il a énuméré la faiblesse du facteur humain, les infrastructures inadaptées à l’environnement et à la proportion du risque, le fort taux d’armes en circulation, la faiblesse des dispositifs préventifs et de dissuasion existants actuellement au sein des banques, et l’absence ou la mauvaise utilisation du SAS.
Comme solutions à adopter, il faudrait notamment, le renforcement du dispositif du SAS, la mise en place de système d’alerte directe, le positionnement des gardes à l’extérieur de la banque, une collaboration renforcée.
Le DG de G4S, M. KOUAKOU, n’a pas manqué de rappeler aux décideurs des banques que la problématique de la sécurité des agences bancaires est une réalité en Côte d’Ivoire et donc a invité chacun à se confier aux structures de sécurité professionnelles afin de donner de l’assurance aux clients et au personnel des banques. "Il vous faut un moyen de contrôle externalisé", a-t-il ajouté.
"En Côte d’Ivoire, nous avons un problème de sécurité ; le temps est à l’action. Il vous faut faire un choix stratégique pour votre sécurité. Nous invitons les décideurs des banques à s’y engager", a interpellé M. KOUAKOU, lors d’un petit-déjeuner débat sur le thème « LA RESURGENCE ET LA RECRUDESCENCE DES CAS DE BRAQUAGES D’AGENCES BANCAIRES ET ETABLISSEMENTS FINANCIERS : MESURES PREVENTIVES ET DISSUASIVES ».
L’objectif de cet échange avec les acteurs du secteur bancaire et financier, initié par la société G4S était de tirer les leçons des récents cas de braquages et de communiquer sur les mesures et dispositions préventives nécessaires afin de préserver leurs actifs et leurs ressources.
Ce petit-déjeuner débat a vu la présence de représentants d’institutions bancaires entres autres, BNI, NSIA BANQUE, BANQUE ATLANTIQUE, ADVANS, BOA, CITIGROUP, ECOBANK, BANQUE MONDIALE, AFRILAND FIRST BANK qui ont bien voulu partager leur expérience.
Animé par le conférencier, Fabrice HIRITZIG, Directeur des Opérations de G4S CI, ancien officier des Forces Armées Françaises, expert en sécurité maritime et spécialiste des questions liées au terrorisme ; il a été question au cours de cet échange, de présenter et d’analyser les modes opératoires des différents braquages qui ont été perpétrés ces derniers mois, dans les établissements bancaires aussi bien à Abidjan, qu’à l’intérieur du pays.
En effet, bien organisés, les braqueurs procèdent à une étude préalable du dispositif sécuritaire des agences concernées; à un repérage des lieux et ils vont de façon générale travailler en équipe et en effectif supérieur ou égal au nombre de personnes dans la banque.
Parlant des facteurs de risques induisant les braquages au sein des établissements financiers, il a énuméré la faiblesse du facteur humain, les infrastructures inadaptées à l’environnement et à la proportion du risque, le fort taux d’armes en circulation, la faiblesse des dispositifs préventifs et de dissuasion existants actuellement au sein des banques, et l’absence ou la mauvaise utilisation du SAS.
Comme solutions à adopter, il faudrait notamment, le renforcement du dispositif du SAS, la mise en place de système d’alerte directe, le positionnement des gardes à l’extérieur de la banque, une collaboration renforcée.
Le DG de G4S, M. KOUAKOU, n’a pas manqué de rappeler aux décideurs des banques que la problématique de la sécurité des agences bancaires est une réalité en Côte d’Ivoire et donc a invité chacun à se confier aux structures de sécurité professionnelles afin de donner de l’assurance aux clients et au personnel des banques. "Il vous faut un moyen de contrôle externalisé", a-t-il ajouté.