Abidjan – Des organisations professionnelles de la presse dénoncent l’arrestation, mercredi, suivie de la détention préventive du directeur de publication du quotidien Aujourd’hui, Gnahoua Titi.
Le Groupement des éditeurs de presse (GEPCI) "s’étonne que malgré la dépénalisation des délits de presse, un journaliste soit arrêté dans l’exerce de son métier alors qu’il présente toutes les garanties de représentation".
Le GEPCI dit suivre "avec la plus grande attention la procédure judiciaire" et annonce qu’elle mène les démarches nécessaires pour sa libération.
Le Syndicat national des professionnels de la presse privée de Côte d’Ivoire (SYNAP PCI) "exige sa libération immédiate et sans condition", l’assurant de "son total soutien et de sa solidarité dans l’épreuve qu’il traverse".
RSF demande "aux autorités ivoiriennes de respecter leurs propres lois et de libérer immédiatement Joseph Gnahoua Titi", rappelant que "les délits de presse sont dépénalisés en Côte d'Ivoire" et qu'un "journaliste n'a donc pas à être jeté en prison quelque soient les propos de ses articles".
Gnhaoua Titi a été inculpé pour "outrage au chef de l’Etat. Il avait été entendu par la brigade de recherches de la gendarmerie suite à la publication de "rapports des services secrets Français (DGSE)" sur la violation présumée de l’embargo sur les armes, les achats d’armes à hauteur de 60 milliards de FCFA via le Bénin, des détournements massifs de deniers publics.
(AIP)
aaa/ask
Le Groupement des éditeurs de presse (GEPCI) "s’étonne que malgré la dépénalisation des délits de presse, un journaliste soit arrêté dans l’exerce de son métier alors qu’il présente toutes les garanties de représentation".
Le GEPCI dit suivre "avec la plus grande attention la procédure judiciaire" et annonce qu’elle mène les démarches nécessaires pour sa libération.
Le Syndicat national des professionnels de la presse privée de Côte d’Ivoire (SYNAP PCI) "exige sa libération immédiate et sans condition", l’assurant de "son total soutien et de sa solidarité dans l’épreuve qu’il traverse".
RSF demande "aux autorités ivoiriennes de respecter leurs propres lois et de libérer immédiatement Joseph Gnahoua Titi", rappelant que "les délits de presse sont dépénalisés en Côte d'Ivoire" et qu'un "journaliste n'a donc pas à être jeté en prison quelque soient les propos de ses articles".
Gnhaoua Titi a été inculpé pour "outrage au chef de l’Etat. Il avait été entendu par la brigade de recherches de la gendarmerie suite à la publication de "rapports des services secrets Français (DGSE)" sur la violation présumée de l’embargo sur les armes, les achats d’armes à hauteur de 60 milliards de FCFA via le Bénin, des détournements massifs de deniers publics.
(AIP)
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