Bouaflé - La Fondation « Lady Jeanne » a distribué, samedi, 30 tonnes de semences certifiées de maïs à près de 6000 femmes rurales de la région de la Marahoué, à l’occasion d’une cérémonie, en présence des autorités administratives et des responsables des collectivités locales.
Cette distribution s’inscrit dans le cadre du projet pilote d’autonomisation des femmes du milieu rural de la région de la Marahoué (PPAFRM). Il vise à lutter contre la pauvreté des femmes rurales et à participer au développement de la région.
Selon le coordonnateur du projet, Kouassi Senghor, le choix des femmes s’appuie sur certains critères notamment, la possession d’un quart d’hectare, la pratique de la culture de maïs et être choisie par sa communauté.
La présidente de la Fondation « Lady Jeanne », Mme Diby Béatrice a invité les femmes récipiendaires à conjuguer leurs efforts en vue de leur indépendance économique. Elle les a encouragées à la culture intensive du maïs qui leur permettra de générer des revenus afin d’être autonomes financièrement.
« Je vous demande de vous investir véritablement dans ce projet», a-t-elle souhaité, déclarant que le Bureau d’études, d’équipement, de réalisation et d’aménagement (BEERA) se chargera du suivi, de la coordination et de la recherche de débouchées pour l’écoulement du maïs cultivés.
Mme Diby leur a demandé de bien entretenir les parcelles de maïs, expliquant qu’avec un sac de cinq Kg de semences, il est possible de récolter, sur un quart d’hectare, 10 sacs de 100 kg de maïs grain.
Créée dans le dernier trimestre de l’année 2012, la Fondation « Lady Jeanne » s’est fixée plusieurs objectifs dont la contribution à l’autonomie de la jeune fille, au plan de l’éducation, la santé, l’insertion et la réinsertion socioprofessionnelle, par l’entreprenariat, et son implication dans la préservation de son environnement.
(AIP)
zaar/tm
Cette distribution s’inscrit dans le cadre du projet pilote d’autonomisation des femmes du milieu rural de la région de la Marahoué (PPAFRM). Il vise à lutter contre la pauvreté des femmes rurales et à participer au développement de la région.
Selon le coordonnateur du projet, Kouassi Senghor, le choix des femmes s’appuie sur certains critères notamment, la possession d’un quart d’hectare, la pratique de la culture de maïs et être choisie par sa communauté.
La présidente de la Fondation « Lady Jeanne », Mme Diby Béatrice a invité les femmes récipiendaires à conjuguer leurs efforts en vue de leur indépendance économique. Elle les a encouragées à la culture intensive du maïs qui leur permettra de générer des revenus afin d’être autonomes financièrement.
« Je vous demande de vous investir véritablement dans ce projet», a-t-elle souhaité, déclarant que le Bureau d’études, d’équipement, de réalisation et d’aménagement (BEERA) se chargera du suivi, de la coordination et de la recherche de débouchées pour l’écoulement du maïs cultivés.
Mme Diby leur a demandé de bien entretenir les parcelles de maïs, expliquant qu’avec un sac de cinq Kg de semences, il est possible de récolter, sur un quart d’hectare, 10 sacs de 100 kg de maïs grain.
Créée dans le dernier trimestre de l’année 2012, la Fondation « Lady Jeanne » s’est fixée plusieurs objectifs dont la contribution à l’autonomie de la jeune fille, au plan de l’éducation, la santé, l’insertion et la réinsertion socioprofessionnelle, par l’entreprenariat, et son implication dans la préservation de son environnement.
(AIP)
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