Grand-Bassam - L’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC), en collaboration avec la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et les autorités ivoiriennes a ouvert, depuis lundi et ce jusqu’à vendredi, à Grand-Bassam, un atelier sur "gestion et planification de la réponse d’urgence face aux attaques et incidents chimiques".
Les questions du "c omment assurer la protection des populations contre les accidents chimiques de plus en plus récurrents dans le monde et en Afrique en particulier ? Comment faire face aux risques d’attaques chimiques par des groupes terroristes comme c’est le cas avec des menaces djihadistes et Boko Haram?", seront notamment traitées au cours du séminaire.
Pour la Côte d’Ivoire, il s’agira singulièrement d’entrevoir les voies et moyens pour rendre effective l’interdiction de l’orpaillage clandestin avec l’utilisation de produits chimiques qui ne respectent pas les normes en vigueur.
Globalement il s’agira durant ces cinq jours, d’identifier notamment, les défis et besoins régionaux et de réfléchir sur les mécanismes de mise en œuvre de la réponse urgente face aux incidents et attaques chimiques.
Aussi chaque pays a u cours de cette rencontre, présentera-t-il notamment l’état de l’application de la convention sur l’interdiction des armes chimiques, à laquelle tous les pays de la CEDEAO ont adhéré, avec un accent particulier sur le plan d’urgence à la réponse chimique.
"La mutualisation des moyens humains et matériels des différents Etats et le renforcement de la coopération devraient permettre d’apporter une réponse appropriée à la menace terroriste qui tend à se généraliser", a noté, à l’ouverture de l’atelier le représentant le ministre de la Défense, Alexis Ahonzo.
L’Ambassadeur Claude Beké Dassys, représentant le ministre des Affaires étrangères Charles Koffy Diby a pour sa part souhaité que la rencontre soit couronnée de suc cès parce que la sécurité de la population en dépend, a-t-il signifié.
(AIP)
ko/ea/kg/akn/kam
Les questions du "c omment assurer la protection des populations contre les accidents chimiques de plus en plus récurrents dans le monde et en Afrique en particulier ? Comment faire face aux risques d’attaques chimiques par des groupes terroristes comme c’est le cas avec des menaces djihadistes et Boko Haram?", seront notamment traitées au cours du séminaire.
Pour la Côte d’Ivoire, il s’agira singulièrement d’entrevoir les voies et moyens pour rendre effective l’interdiction de l’orpaillage clandestin avec l’utilisation de produits chimiques qui ne respectent pas les normes en vigueur.
Globalement il s’agira durant ces cinq jours, d’identifier notamment, les défis et besoins régionaux et de réfléchir sur les mécanismes de mise en œuvre de la réponse urgente face aux incidents et attaques chimiques.
Aussi chaque pays a u cours de cette rencontre, présentera-t-il notamment l’état de l’application de la convention sur l’interdiction des armes chimiques, à laquelle tous les pays de la CEDEAO ont adhéré, avec un accent particulier sur le plan d’urgence à la réponse chimique.
"La mutualisation des moyens humains et matériels des différents Etats et le renforcement de la coopération devraient permettre d’apporter une réponse appropriée à la menace terroriste qui tend à se généraliser", a noté, à l’ouverture de l’atelier le représentant le ministre de la Défense, Alexis Ahonzo.
L’Ambassadeur Claude Beké Dassys, représentant le ministre des Affaires étrangères Charles Koffy Diby a pour sa part souhaité que la rencontre soit couronnée de suc cès parce que la sécurité de la population en dépend, a-t-il signifié.
(AIP)
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