Pendant un mois (du 20 août au 20 septembre), à La Rotonde des arts contemporains sis à Abidjan-Plateau, 13 photojournalistes, tous membres de l’Union nationale des photojournalistes de Côte d’Ivoire (Unpjci), font apprécier au visiteur leur savoir-faire au cours de leur exposition collective intitulée «Grand-Bassam : Regards croisés sur la ville historique patrimoine mondial de l’Unesco».
Le directeur artistique de cette exposition, Sévi Gbékidé Barnus, a, jeudi dernier, au cours du vernissage, relevé qu’il fallait mettre en exergue les richesses de Grand-Bassam, cette ville coloniale qui est assez méconnue. Pour lui, cette rencontre est «l’œuvre de l’Union nationale des photojournalistes de Côte d’Ivoire qui a vite compris l’intérêt de se mettre ensemble pour concevoir des projets novateurs en s’intéressant à la vie communautaire». «Le choix de Grand-Bassam, a-t-il relevé, s’explique par le fait que cette ville regorge d’immenses richesses. Chaque photographe s’y est rendu en observant les vestiges de la ville. Le patrimoine de cette cité n’est pas très connu. C’est pourquoi nous avons convenu de donner la vraie information de cette ville tout en y ajoutant notre touche créative à travers une sélection de 80 photos. Ces images valorisent le patrimoine de la ville patrimoine de l’Unesco, mais aussi le côté balnéaire de la ville, l’abissa, etc.».
Quant à Emmanuel Tano, président de l’Unjpci, il s’est dit fier que Grand-Bassam, inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco depuis juin 2012, riche en histoire, en monuments et en culture, «nous rassemble aujourd’hui par la photographie». Il a précisé que c’est dans une démarche informative et culturelle que les photojournalistes ont lancé le concept. «Il s’agit, à travers ce concept, de valoriser et promouvoir la richesse culturelle de la cité coloniale qu’est Grand-Bassam, en soutenant les efforts de tous ceux qui oeuvrent à la divulgation de son riche patrimoine tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de notre pays», a souligné le président de l’Unjpci. Qui n’a pas manqué de regretter que le catalogue sur les vestiges de la cité coloniale et la culture des peuples abouré et n’zima, qui devait accompagner leur exposition, n’ait pu être publié faute de moyens.
Le vernissage de cette exposition vente a été rehaussé de la présence de Nanan Désiré Tanoé, roi de Grand-Bassam. Il était accompagné de son épouse et de sa notabilité.
80 photos retracent les grands faits de la ville coloniale et mettent en exergue ses vestiges.
M.B.
Le directeur artistique de cette exposition, Sévi Gbékidé Barnus, a, jeudi dernier, au cours du vernissage, relevé qu’il fallait mettre en exergue les richesses de Grand-Bassam, cette ville coloniale qui est assez méconnue. Pour lui, cette rencontre est «l’œuvre de l’Union nationale des photojournalistes de Côte d’Ivoire qui a vite compris l’intérêt de se mettre ensemble pour concevoir des projets novateurs en s’intéressant à la vie communautaire». «Le choix de Grand-Bassam, a-t-il relevé, s’explique par le fait que cette ville regorge d’immenses richesses. Chaque photographe s’y est rendu en observant les vestiges de la ville. Le patrimoine de cette cité n’est pas très connu. C’est pourquoi nous avons convenu de donner la vraie information de cette ville tout en y ajoutant notre touche créative à travers une sélection de 80 photos. Ces images valorisent le patrimoine de la ville patrimoine de l’Unesco, mais aussi le côté balnéaire de la ville, l’abissa, etc.».
Quant à Emmanuel Tano, président de l’Unjpci, il s’est dit fier que Grand-Bassam, inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco depuis juin 2012, riche en histoire, en monuments et en culture, «nous rassemble aujourd’hui par la photographie». Il a précisé que c’est dans une démarche informative et culturelle que les photojournalistes ont lancé le concept. «Il s’agit, à travers ce concept, de valoriser et promouvoir la richesse culturelle de la cité coloniale qu’est Grand-Bassam, en soutenant les efforts de tous ceux qui oeuvrent à la divulgation de son riche patrimoine tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de notre pays», a souligné le président de l’Unjpci. Qui n’a pas manqué de regretter que le catalogue sur les vestiges de la cité coloniale et la culture des peuples abouré et n’zima, qui devait accompagner leur exposition, n’ait pu être publié faute de moyens.
Le vernissage de cette exposition vente a été rehaussé de la présence de Nanan Désiré Tanoé, roi de Grand-Bassam. Il était accompagné de son épouse et de sa notabilité.
80 photos retracent les grands faits de la ville coloniale et mettent en exergue ses vestiges.
M.B.