‘’L’organisation sociétale et politique du peuple Akan’’, tel est le thème de ce grand rassemblement culturel du peuple Agni qui a débuté par une caravane culturelle.
La cérémonie officielle d’ouverture de cette caravane, dénommée “caravane culturelle pour la paix, la tolérance et la cohésion sociale”, s’est déroulée à la salle de mariage de la marie d’Adiaké, le jeudi 27 août 2015. Avant de laisser place au camion-podium de la caravane qui a suivi le parcours tracé par le Commissariat général du festival.
Le camion-podium a sillonné respectivement les villes d’Adiaké, Assinie, Assouba et Adaou, le jeudi 27 août 2015. Différents sites ont fait l’objet de découverte. Il s’agit de sites touristiques comme le parc national des Îles Ehotilés, l’île Tchéloué ou ‘’le temple des chauves-souris’’.
Ané Eric, commissaire général du Festagni a situé les enjeux du festival, qu’il résume en la préservation des valeurs du peuple Agni. Avant de préciser que l’objectif de cette caravane pour la paix, la tolérance et la cohésion sociale est de susciter davantage une prise de conscience sur la nécessité de faire un effort, afin d’améliorer le vivre ensemble. « La cohésion sociale doit être l’alchimie du vivre ensemble et pour ce faire, il faut cultiver la tolérance. C’est à ce prix que nous pourrons construire une société plus juste et plus harmonieuse », a-t-il souligné. Avant de donner rendez-vous au peuple Agni, le samedi 29 août 2015 dans le royaume de Krindjabo, pour le lancement du festival. Il a, par ailleurs, précisé la poursuite de la caravane dans d’autres villes de la région, le vendredi 28 août 2015.
Gnaléga Ruth épouse Brou, secrétaire générale de la préfecture d’Adiaké a, au nom du préfet, invité la population à accueillir le message de paix, de cohésion et de tolérance livré par la caravane. Au-delà, elle a attiré l’attention de ses administrés sur la nécessité de placer les valeurs de la culture au-dessus de toute chose. Afin, d’éviter les dérives électorales passées. C’est pourquoi, dit-elle, la caravane est la bienvenue à moins de deux mois de l’élection présidentielle. Elle permettra à la population d’être concentrée sur l’essentiel.
Avant elle, Koné Mariatou, directrice générale du Programme national de cohésion sociale, par ailleurs, marraine de la cérémonie a félicité la population d’Adiaké pour l’accueil réservé à la caravane culturelle. Elle a également donné les raisons de demeurer uni et dans la paix autour de sa culture. Car, pour elle, la culture est la plus belle et la plus profonde des émancipations. Elle est gage de cohésion et d’unité.
Ydo Yao, chef du bureau de l’Unesco en Côte d’Ivoire a encouragé le Commissariat général du festival pour l’initiative prise, afin de préserver la paix et la cohésion sociale par le canal de la culture.
Auparavant, Koné Bah Koné, 4ème adjoint au maire d’Adiaké, représentant le maire, Hien Sié Yacouba a salué la venue du Festagni dans la région, afin de galvaniser le peuple autour de sa culture. Il s’est félicité du choix de sa ville pour le lancement de la caravane.
La cérémonie s’est tenue en présence d’Aguié Bernard, représentant le président du Conseil régional du Sud-Comoé.
R-O, envoyé spécial à Adiaké
La cérémonie officielle d’ouverture de cette caravane, dénommée “caravane culturelle pour la paix, la tolérance et la cohésion sociale”, s’est déroulée à la salle de mariage de la marie d’Adiaké, le jeudi 27 août 2015. Avant de laisser place au camion-podium de la caravane qui a suivi le parcours tracé par le Commissariat général du festival.
Le camion-podium a sillonné respectivement les villes d’Adiaké, Assinie, Assouba et Adaou, le jeudi 27 août 2015. Différents sites ont fait l’objet de découverte. Il s’agit de sites touristiques comme le parc national des Îles Ehotilés, l’île Tchéloué ou ‘’le temple des chauves-souris’’.
Ané Eric, commissaire général du Festagni a situé les enjeux du festival, qu’il résume en la préservation des valeurs du peuple Agni. Avant de préciser que l’objectif de cette caravane pour la paix, la tolérance et la cohésion sociale est de susciter davantage une prise de conscience sur la nécessité de faire un effort, afin d’améliorer le vivre ensemble. « La cohésion sociale doit être l’alchimie du vivre ensemble et pour ce faire, il faut cultiver la tolérance. C’est à ce prix que nous pourrons construire une société plus juste et plus harmonieuse », a-t-il souligné. Avant de donner rendez-vous au peuple Agni, le samedi 29 août 2015 dans le royaume de Krindjabo, pour le lancement du festival. Il a, par ailleurs, précisé la poursuite de la caravane dans d’autres villes de la région, le vendredi 28 août 2015.
Gnaléga Ruth épouse Brou, secrétaire générale de la préfecture d’Adiaké a, au nom du préfet, invité la population à accueillir le message de paix, de cohésion et de tolérance livré par la caravane. Au-delà, elle a attiré l’attention de ses administrés sur la nécessité de placer les valeurs de la culture au-dessus de toute chose. Afin, d’éviter les dérives électorales passées. C’est pourquoi, dit-elle, la caravane est la bienvenue à moins de deux mois de l’élection présidentielle. Elle permettra à la population d’être concentrée sur l’essentiel.
Avant elle, Koné Mariatou, directrice générale du Programme national de cohésion sociale, par ailleurs, marraine de la cérémonie a félicité la population d’Adiaké pour l’accueil réservé à la caravane culturelle. Elle a également donné les raisons de demeurer uni et dans la paix autour de sa culture. Car, pour elle, la culture est la plus belle et la plus profonde des émancipations. Elle est gage de cohésion et d’unité.
Ydo Yao, chef du bureau de l’Unesco en Côte d’Ivoire a encouragé le Commissariat général du festival pour l’initiative prise, afin de préserver la paix et la cohésion sociale par le canal de la culture.
Auparavant, Koné Bah Koné, 4ème adjoint au maire d’Adiaké, représentant le maire, Hien Sié Yacouba a salué la venue du Festagni dans la région, afin de galvaniser le peuple autour de sa culture. Il s’est félicité du choix de sa ville pour le lancement de la caravane.
La cérémonie s’est tenue en présence d’Aguié Bernard, représentant le président du Conseil régional du Sud-Comoé.
R-O, envoyé spécial à Adiaké