Mme Assué Béatrice est la présidente du Réseau des Femmes Professionnelles Unies du Conseil de L'Entente (REFPUCE). Une organisation apolitique féminine créée le 4 janvier 2014 à Abidjan. En prélude à une grande activité devant regrouper les femmes des pays concernés, elle nous a accordé un entretien pour parler de sa structure et de ses missions.
Vous organisez une activité le vendredi 4 septembre 2015. De quoi s’agit- il, quels en sont les tenants et les aboutissants ?
Nous vous remercions pour l’opportunité que vous nous offrez de parler du Réseau des Femmes Professionnelles Unies du Conseil de l’Entente en abrégé REFPUCE. Pour ce qui concerne les tenants et les aboutissants du concours international de cuisine prévu le 4 septembre prochain au centre polyvalent de Vridi cité dans la commune de Port-Bouet, il faut dire que l’organisation de cette compétition, sera pour nous, l’occasion entre autres de rassembler les femmes autour d’un idéal commun, prouver aux yeux du monde que malgré les divergences de nationalités, nous sommes les mêmes, capables de défendre la même cause, faire des femmes un pilier essentiel de communication culturel et touristique, permettre à chaque pays d’exprimer ses talents culinaires, créer un cadre de paix et amener les femmes à contribuer à la paix. En gros, démontrer la cohésion et l’entente.
Pourquoi un concours de cuisine? Est-ce que cela sera tournant? Quelle est la cible et la tranche d’âge ?
La cuisine est la fonction première de la femme et c’est autour du repas que les échangent se font. C’est aussi le lieu de marquer la forte implication de la femme dans la recherche de la paix, pour occuper la place qui nous est due vu la date de création du Conseil de l’Entente (29 mai 1959) période de la fête des Mères. La cuisine est aussi un facteur de cohésion et de communion. Cette compétition sera tournante, car elle concerne bel et bien les cinq (5) pays membres du Conseil de l’Entente que sont le Bénin, le Burkina-Faso, la Côte d’Ivoire, le Niger et le Togo. Ce sera une caravane tournante dans ces pays. Toutes les femmes vivant sur le territoire ivoirien pour cette année constituent la cible. Par contre, ne peuvent competir que les femmes ayant un âge minimum de trente (30) ans.
Quelles sont les perspectives pour votre réseau ?
Le Réseau des Femmes Professionnelles Unies du Conseil de l’Entente est une organisation féminine récente. Il a été créé le 4 janvier 2014 à Abidjan par un groupe de Femmes qui ont pris conscience du rôle incontournable de la femme dans la recherche et le maintien de la paix, facteur déterminant pour le développement de nos pays. C’est une organisation de Femmes issues de plusieurs corps de métiers. Elle est apolitique et comprend les femmes de toutes tendances (politique, ethnique, religieuse, professionnelle, etc.) pour une synergie des forces d’arguments, des expériences, des compétences, des visions en vue d’œuvrer ensemble pour l’émergence des cinq pays du Conseil de l’Entente, voire de la sous- région dans son ensemble. Nous envisageons effectuer une tournée d’installation des bureaux des sections nationales des états membres du Conseil de l’Entente. La formation occupera une place importante dans la vie du réseau, étant donné que l’ignorance engendre beaucoup de déviations et de mauvaises décisions pouvant entraîner les pays à la dérive.
Avez-vous un appel à lancer ?
C’est aussi le lieu pour nous de promouvoir l’intégration africaine, la fraternité et la communion par la femme. Ce faisant, nous entendons assurer le relai des actions et efforts du gouvernement sur la question du vivre ensemble. Et par ricochet, les actions du Conseil de l’Entente qui est dans sa phase de redynamisation. Ce sera notre manière de porter notre pierre à l’édifice pour une Afrique forte de sa diversité. Pour conclure, nous invitons toutes les femmes du Bénin, du Burkina, de la Côte d’Ivoire, du Niger et du Togo, toutes tendances confondues et vivant sur le territoire ivoirien, à prendre part à cette grande rencontre d’union pour que nous fassions la fête.
Entretien réalisé par Olivier Guédé
Vous organisez une activité le vendredi 4 septembre 2015. De quoi s’agit- il, quels en sont les tenants et les aboutissants ?
Nous vous remercions pour l’opportunité que vous nous offrez de parler du Réseau des Femmes Professionnelles Unies du Conseil de l’Entente en abrégé REFPUCE. Pour ce qui concerne les tenants et les aboutissants du concours international de cuisine prévu le 4 septembre prochain au centre polyvalent de Vridi cité dans la commune de Port-Bouet, il faut dire que l’organisation de cette compétition, sera pour nous, l’occasion entre autres de rassembler les femmes autour d’un idéal commun, prouver aux yeux du monde que malgré les divergences de nationalités, nous sommes les mêmes, capables de défendre la même cause, faire des femmes un pilier essentiel de communication culturel et touristique, permettre à chaque pays d’exprimer ses talents culinaires, créer un cadre de paix et amener les femmes à contribuer à la paix. En gros, démontrer la cohésion et l’entente.
Pourquoi un concours de cuisine? Est-ce que cela sera tournant? Quelle est la cible et la tranche d’âge ?
La cuisine est la fonction première de la femme et c’est autour du repas que les échangent se font. C’est aussi le lieu de marquer la forte implication de la femme dans la recherche de la paix, pour occuper la place qui nous est due vu la date de création du Conseil de l’Entente (29 mai 1959) période de la fête des Mères. La cuisine est aussi un facteur de cohésion et de communion. Cette compétition sera tournante, car elle concerne bel et bien les cinq (5) pays membres du Conseil de l’Entente que sont le Bénin, le Burkina-Faso, la Côte d’Ivoire, le Niger et le Togo. Ce sera une caravane tournante dans ces pays. Toutes les femmes vivant sur le territoire ivoirien pour cette année constituent la cible. Par contre, ne peuvent competir que les femmes ayant un âge minimum de trente (30) ans.
Quelles sont les perspectives pour votre réseau ?
Le Réseau des Femmes Professionnelles Unies du Conseil de l’Entente est une organisation féminine récente. Il a été créé le 4 janvier 2014 à Abidjan par un groupe de Femmes qui ont pris conscience du rôle incontournable de la femme dans la recherche et le maintien de la paix, facteur déterminant pour le développement de nos pays. C’est une organisation de Femmes issues de plusieurs corps de métiers. Elle est apolitique et comprend les femmes de toutes tendances (politique, ethnique, religieuse, professionnelle, etc.) pour une synergie des forces d’arguments, des expériences, des compétences, des visions en vue d’œuvrer ensemble pour l’émergence des cinq pays du Conseil de l’Entente, voire de la sous- région dans son ensemble. Nous envisageons effectuer une tournée d’installation des bureaux des sections nationales des états membres du Conseil de l’Entente. La formation occupera une place importante dans la vie du réseau, étant donné que l’ignorance engendre beaucoup de déviations et de mauvaises décisions pouvant entraîner les pays à la dérive.
Avez-vous un appel à lancer ?
C’est aussi le lieu pour nous de promouvoir l’intégration africaine, la fraternité et la communion par la femme. Ce faisant, nous entendons assurer le relai des actions et efforts du gouvernement sur la question du vivre ensemble. Et par ricochet, les actions du Conseil de l’Entente qui est dans sa phase de redynamisation. Ce sera notre manière de porter notre pierre à l’édifice pour une Afrique forte de sa diversité. Pour conclure, nous invitons toutes les femmes du Bénin, du Burkina, de la Côte d’Ivoire, du Niger et du Togo, toutes tendances confondues et vivant sur le territoire ivoirien, à prendre part à cette grande rencontre d’union pour que nous fassions la fête.
Entretien réalisé par Olivier Guédé
