Dakar (Sénégal) - Les prix des céréales en Afrique vont connaître une augmentation de 25% d’ici à 2050 à cause du changement climatique, prévient l’Institut international de recherche sur les politiques alimentaires (IFPRI).
''D'ici 2050, le changement climatique entraînera une augmentation de 25% du prix des céréales, en comparaison avec un scénario sans le facteur de changement climatique'', note l'IFPRI dans son rapport annuel sur les Tendances et Perspectives (ATOR), révélant du coup des prix plus volatiles pour les denrées alimentaires et l'énergie.
Le document fait état d'une plus grande variabilité du climat et d'une agriculture qui représente la plus grande source d'emplois.
‘'Les régimes alimentaires changent en Afrique en réponse à l'urbanisation rapide et à l'apparition d'une classe moyenne. Cinquante pour cent de la population africaine devrait habiter dans les zones urbaines d'ici 2020. Les aliments transformés représentent aujourd'hui une partie significative des achats en denrées alimentaires, même parmi les populations rurales pauvres. Les régimes alimentaires ont également évolué de la consommation des graines à l'horticulture, aux produits laitiers, à l'élevage, à la pêche et aux légumineuses'', souligne l'institut.
A son avis, le changement structurel en Afrique contribue à présent à la croissance de la productivité et le secteur informel des biens et des services connaît une progression régulière, appelle qu'il est à jouer un rôle majeur dans la future croissance et dans l'industrialisation.
Toutefois, l'IFPRI estime que l'industrialisation en Afrique est restée faible et a peu contribué à la récente relance de la croissance du continent.
‘'La nouvelle stratégie industrielle doit être centrée sur l'investissement dans les infrastructures, en particulier l'énergie, les transports et l'approvisionnement en eau'', recommande-t-il.
''D'ici 2050, le changement climatique entraînera une augmentation de 25% du prix des céréales, en comparaison avec un scénario sans le facteur de changement climatique'', note l'IFPRI dans son rapport annuel sur les Tendances et Perspectives (ATOR), révélant du coup des prix plus volatiles pour les denrées alimentaires et l'énergie.
Le document fait état d'une plus grande variabilité du climat et d'une agriculture qui représente la plus grande source d'emplois.
‘'Les régimes alimentaires changent en Afrique en réponse à l'urbanisation rapide et à l'apparition d'une classe moyenne. Cinquante pour cent de la population africaine devrait habiter dans les zones urbaines d'ici 2020. Les aliments transformés représentent aujourd'hui une partie significative des achats en denrées alimentaires, même parmi les populations rurales pauvres. Les régimes alimentaires ont également évolué de la consommation des graines à l'horticulture, aux produits laitiers, à l'élevage, à la pêche et aux légumineuses'', souligne l'institut.
A son avis, le changement structurel en Afrique contribue à présent à la croissance de la productivité et le secteur informel des biens et des services connaît une progression régulière, appelle qu'il est à jouer un rôle majeur dans la future croissance et dans l'industrialisation.
Toutefois, l'IFPRI estime que l'industrialisation en Afrique est restée faible et a peu contribué à la récente relance de la croissance du continent.
‘'La nouvelle stratégie industrielle doit être centrée sur l'investissement dans les infrastructures, en particulier l'énergie, les transports et l'approvisionnement en eau'', recommande-t-il.