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International Publié le samedi 5 septembre 2015 | AIP

Le vice-PM belge regrette l’interdiction de la projection du film “L’homme qui répare les femmes” en RDC

© AIP Par Atapointe
Coopération : le ministre des Affaires étrangères, SEM. Charles Diby Koffi au dîner offert par le gouvernement ivoirien en l`honneur de son homologue belge, SEM. Didier Reynders
Mercredi 13 février 2013. Abidjan. Restaurant Le Toit d`Abidjan, Hôtel Ivoire, à Cocody. Le ministre d`Etat, ministre des Affaires étrangères, SEM. Charles Diby Koffi au dîner offert par le gouvernement ivoirien en l`honneur de son homologue belge, SEM. Didier Reynders (photo) en visite en Côte d`Ivoire
Abidjan- Le Vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères du Royaume de Belgique, Didier Reynders, regrette la décision du Gouvernement de la République Démocratique du Congo (RDC) d’interdire sur son territoire la projection du film"L’homme qui répare les femmes: La Colère d'Hipprocrate".

« La lutte contre les violences sexuelles à l’égard des femmes est pourtant un combat universel, partagé par la Belgique et la République démocratique du Congo », a estimé M. Reynders dans un communiqué du ministère belge des Affaires étrangères publié ve ndredi.

Le ministre estime que ce noble objectif aurait été mieux servi par la diffusion de ce film, qui a ému le monde entier, auprès de la population congolaise.

"L'Homme qui répare les femmes: La Colère d'Hippocrate" du chirurgien gynécologue congolais Denis Mukwege est un documentaire consacré à son combat en faveur des victimes de viols.

Diffusé en Europe depuis plusieurs mois, "L'Homme qui répare les femmes", réalisé par le documentariste belge Thierry Michel et sa compatriote journaliste Colette Braeckman, devait être projeté les 08 et 09 septembre à Kinshasa, puis au Kivu (est du Congo).

Le film montre l'œuvre du Dr. Mukwege dans son hôpital de Panzi, à Bukavu (capitale du Sud-Kivu), pour aider à se reconstruire physiquement et psychologiquement, a u péril de sa vie, les femmes victimes de viols accompagnés de violences sauvages commis à grande échelle dans l'est de la RDC depuis une quinzaine d'années, d'abord pendant la deuxième guerre du Congo (1998-2003), puis au cours des différents conflits armés qui se succèdent ou se superposent dans cette région.

(AIP)

cmas
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