Fulgence Assi, Secrétaire général de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) s’est prononcé sur cette autre crise qui menace cette organisation d’étudiants, après l’élection à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké de Pascal Hien. « La Synthèse » est allé le rencontrer pour avoir sa version des faits. Entretien.
La Synthèse: Comment va la FESCI aujourd’hui ?
Fulgence Assi : La FESCI va bien et nous sommes à la tâche. Nous sommes en train d’œuvrer pour que les problèmes des élèves et étudiants puissent trouver solutions. Nous sommes entrain de travailler aussi pour que les problèmes de l’heure, surtout pour ce qui est de l’université Félix Houphouët Boigny de Cocody, là où les enseignants refusent aujourd’hui de nous dispenser des cours. Nous sommes en train de travailler pour que les enseignants puissent tenir compte de nous dans leur prise de décision et en même temps interpeller les autorités en charge de l’enseignement supérieur de trouver des solutions durables face à cette crise que connait le milieu universitaire. Simplement parce que le problème de règlement des heures complémentaires des enseignants dure depuis un an et depuis lors, on sent que les autorités n’accordent pas de l’importance à ce dossier et donc cela a un impact sur les étudiants que nous sommes.
Quelles démarches menez-vous en tant qu’organisation syndicale d’étudiants pour la reprise des cours à l’université ?
F.A : Je pense qu’en tant qu’organisation d’étudiants, notre responsabilité, c’est d’interpeller les autorités en charge de l’enseignement supérieur, parce que nous avons droit à l’éducation, nous avons droit à la formation.
Récemment, il y a eu un congrès de la FESCI à Bouaké et au cours de ce congrès un autre secrétaire général a été désigné pour vous remplacer. Vous confirmez ?
F.A : Ah bon ! Je ne suis pas informé. C’est vous qui me donnez l’information. Mais ce que je tiens à vous dire, j’ai été élu depuis le 19 juillet 2014, et je suis là pour un mandat de 2 ans qui est renouvelable une seule fois.Et donc, je ne suis pas encore au terme de mon mandat. De ce fait, pour moi, c’est un non évènement. Il ne s’agira pas pour moi de me prononcer là-dessus. Toutefois, sachez que la FESCI est une institution qui respecte certains principes et donc il n’est pas question pour nous que des individus qui appartiennent à des syndicats de transport ou autres de venir dicter leur loi à la FESCI. Et donc la FESCI est là, elle travaille et les élèves et étudiants savent qui en est le secrétaire général.
Donc vous démentez l’information selon laquelle, la FESCI à un nouveau secrétaire général ?
F.A : (Rire) il n’y pas un autre secrétaire général de la FESCI autre que moi. Celui que les étudiants ont choisi, c’est Fulgence Assi et mon mandat n’est pas encore terminé. Et je ne sais pas pourquoi, on peut continuer à spéculer sur cela. C’est quand, je vais finir mon mandat que cela peut appeller à une autre élection.
Est-ce qu’on ne s’achemine pas vers un bicéphalisme à la tête de la FESCI ?
F.A :Non pas du tout, la FESCI est une organisation tellement sérieuse qu’on n’y pense même pas. Aujourd’hui, nous sommes en train de travailler pour apaiser le milieu universitaire, nous sommes en train de travailler pour reconstruire l’école ivoirienne même. Pour moi, chaque acteur de la société doit jouer son rôle pour ne pas envenimer la situation. Je veux rassurer les autorités et les étudiants qu’il n’y a pas péril en la demeure.
Roger KASSE
La Synthèse: Comment va la FESCI aujourd’hui ?
Fulgence Assi : La FESCI va bien et nous sommes à la tâche. Nous sommes en train d’œuvrer pour que les problèmes des élèves et étudiants puissent trouver solutions. Nous sommes entrain de travailler aussi pour que les problèmes de l’heure, surtout pour ce qui est de l’université Félix Houphouët Boigny de Cocody, là où les enseignants refusent aujourd’hui de nous dispenser des cours. Nous sommes en train de travailler pour que les enseignants puissent tenir compte de nous dans leur prise de décision et en même temps interpeller les autorités en charge de l’enseignement supérieur de trouver des solutions durables face à cette crise que connait le milieu universitaire. Simplement parce que le problème de règlement des heures complémentaires des enseignants dure depuis un an et depuis lors, on sent que les autorités n’accordent pas de l’importance à ce dossier et donc cela a un impact sur les étudiants que nous sommes.
Quelles démarches menez-vous en tant qu’organisation syndicale d’étudiants pour la reprise des cours à l’université ?
F.A : Je pense qu’en tant qu’organisation d’étudiants, notre responsabilité, c’est d’interpeller les autorités en charge de l’enseignement supérieur, parce que nous avons droit à l’éducation, nous avons droit à la formation.
Récemment, il y a eu un congrès de la FESCI à Bouaké et au cours de ce congrès un autre secrétaire général a été désigné pour vous remplacer. Vous confirmez ?
F.A : Ah bon ! Je ne suis pas informé. C’est vous qui me donnez l’information. Mais ce que je tiens à vous dire, j’ai été élu depuis le 19 juillet 2014, et je suis là pour un mandat de 2 ans qui est renouvelable une seule fois.Et donc, je ne suis pas encore au terme de mon mandat. De ce fait, pour moi, c’est un non évènement. Il ne s’agira pas pour moi de me prononcer là-dessus. Toutefois, sachez que la FESCI est une institution qui respecte certains principes et donc il n’est pas question pour nous que des individus qui appartiennent à des syndicats de transport ou autres de venir dicter leur loi à la FESCI. Et donc la FESCI est là, elle travaille et les élèves et étudiants savent qui en est le secrétaire général.
Donc vous démentez l’information selon laquelle, la FESCI à un nouveau secrétaire général ?
F.A : (Rire) il n’y pas un autre secrétaire général de la FESCI autre que moi. Celui que les étudiants ont choisi, c’est Fulgence Assi et mon mandat n’est pas encore terminé. Et je ne sais pas pourquoi, on peut continuer à spéculer sur cela. C’est quand, je vais finir mon mandat que cela peut appeller à une autre élection.
Est-ce qu’on ne s’achemine pas vers un bicéphalisme à la tête de la FESCI ?
F.A :Non pas du tout, la FESCI est une organisation tellement sérieuse qu’on n’y pense même pas. Aujourd’hui, nous sommes en train de travailler pour apaiser le milieu universitaire, nous sommes en train de travailler pour reconstruire l’école ivoirienne même. Pour moi, chaque acteur de la société doit jouer son rôle pour ne pas envenimer la situation. Je veux rassurer les autorités et les étudiants qu’il n’y a pas péril en la demeure.
Roger KASSE