Niakaramadougou- Les activités agricoles autour du bassin alimentant la station de traitement d’eau potable de Niakaramadougou foisonnent en dépit de leur interdiction par un arrêté municipal, a constaté l’AIP.
"La destruction immédiate des cultures annoncée par les autorités locales et qui devait induire un déguerpissement des exploitants tarde faute de volonté", a déploré lundi un conseiller agricole dans une compagnie cotonnière, Jean Christophe Kouao.
Il a dénoncé la "léthargie" du comité de veille sur la qualité de l’eau potable instauré et présidé par le maire, Kidjafolo Koné.
"Les éleveurs et les pêcheurs ne viennent plus ici, par contre des agriculteurs se confortent dans leurs activités", a pour sa part indiqué un vigile commis à la surveillance du site, Yénataha Koné.
Des résultats d’analyses effectuées par l’office national d’eau potable (ONEP) avaient mis en cause la proximité des espaces cultivées d’avec le site de traitement, comme source de la pollution survenue le 21 juillet.
jbm/gak/kam
"La destruction immédiate des cultures annoncée par les autorités locales et qui devait induire un déguerpissement des exploitants tarde faute de volonté", a déploré lundi un conseiller agricole dans une compagnie cotonnière, Jean Christophe Kouao.
Il a dénoncé la "léthargie" du comité de veille sur la qualité de l’eau potable instauré et présidé par le maire, Kidjafolo Koné.
"Les éleveurs et les pêcheurs ne viennent plus ici, par contre des agriculteurs se confortent dans leurs activités", a pour sa part indiqué un vigile commis à la surveillance du site, Yénataha Koné.
Des résultats d’analyses effectuées par l’office national d’eau potable (ONEP) avaient mis en cause la proximité des espaces cultivées d’avec le site de traitement, comme source de la pollution survenue le 21 juillet.
jbm/gak/kam