Le journaliste-enseignant Gilbert Toppé vient de sortir sa troisième œuvre livresque. « Education aux archives : théorie, pratique et valorisation », qui fournit des éléments de réponse simples et pratiques pour une bonne appréhension par le public de la question des archives, a été dédicacée, hier au Centre de documentation de l’Insaac.
Anciennement journaliste à l’Agence ivoirienne de presse (Aip), aujourd’hui enseignant à l’université Alassane Ouattara de Bouaké, Dr Gilbert Toppé confirme sa passion pour la culture. « Education aux archives : théorie, pratique et valorisation », sa troisième œuvre dédicacée, hier au Centre de documentation de l’Insaac, ne manque pas d’intérêt. Elle vient pour rappeler à la conscience collective toute l’importance des archives, qu’on a tendance volontairement ou involontairement à reléguer à la « poubelle ».
L’auteur peut ainsi expliquer sa démarche : « Les archives occupent une place importante dans la vie de toutes les organisations publiques ou privées, car elles leur permettent de retracer assez facilement leur mémoire, et de pouvoir faire ainsi des projections dans le futur, surtout avec l’apport des Tic. Pourtant, la bonne tenue des archives n’est pas toujours l’affaire de tous, car bien des structures perdent encore leurs documents. Ce livre, intitulé Education aux archives : théorie, pratique et valorisation, fournit quelques éléments de réponse simples et pratiques pour que la question des archives soit bien appréhendée par tous : citoyens, organisations, Etats, etc. »
Pour parler plus simple, l’auteur invite les uns et les autres à avoir une conscience archiviste, qui permet de conserver tout ce que nous faisons, les documents des enfants, etc. Le livre est composé de trois grandes parties. La première est consacrée aux connaissances théoriques sur les archives. Elle aborde les généralités sur les archives et circonscrit le champ de la science archivistique. La deuxième partie est dédiée aux connaissances pratiques sur les archives. Elle évoque l’exploitation d’un service d’archives. Enfin, la troisième partie et dernière partie traite de la valorisation des archives, notamment au travers des médias, avec de plus en plus les Tic.
A la cérémonie de dédicace, hier, d’éminents universitaires ont apporté leur soutien à la cause que Gilbert Toppé veut promouvoir à travers son livre. Bahi Gouro Venance, directeur des Archives nationales, qui a préfacé l’œuvre, a replacé les archives dans tous leurs contextes et leur importance dans la vie des nations, des institutions et surtout dans le domaine des médias.
Le Pr Bolou, de l’université de Bouaké, avec une approche savante, a plutôt démontré que les archives, contrairement aux idées préconçues, font partie des nouveaux médias. « L’archive, c’est la source de savoir, c’est le fer… », a-t-il martelé, notamment.
Après « Communication politique et développement en Côte d’Ivoire » et « L’Union africaine et le développement de l’Afrique », Gilbert Toppé confirme avec « Education aux archives : théorie, pratique et valorisation », toutes les trois publiées chez L’Harmattan à Paris.
Edouard GONTO
Anciennement journaliste à l’Agence ivoirienne de presse (Aip), aujourd’hui enseignant à l’université Alassane Ouattara de Bouaké, Dr Gilbert Toppé confirme sa passion pour la culture. « Education aux archives : théorie, pratique et valorisation », sa troisième œuvre dédicacée, hier au Centre de documentation de l’Insaac, ne manque pas d’intérêt. Elle vient pour rappeler à la conscience collective toute l’importance des archives, qu’on a tendance volontairement ou involontairement à reléguer à la « poubelle ».
L’auteur peut ainsi expliquer sa démarche : « Les archives occupent une place importante dans la vie de toutes les organisations publiques ou privées, car elles leur permettent de retracer assez facilement leur mémoire, et de pouvoir faire ainsi des projections dans le futur, surtout avec l’apport des Tic. Pourtant, la bonne tenue des archives n’est pas toujours l’affaire de tous, car bien des structures perdent encore leurs documents. Ce livre, intitulé Education aux archives : théorie, pratique et valorisation, fournit quelques éléments de réponse simples et pratiques pour que la question des archives soit bien appréhendée par tous : citoyens, organisations, Etats, etc. »
Pour parler plus simple, l’auteur invite les uns et les autres à avoir une conscience archiviste, qui permet de conserver tout ce que nous faisons, les documents des enfants, etc. Le livre est composé de trois grandes parties. La première est consacrée aux connaissances théoriques sur les archives. Elle aborde les généralités sur les archives et circonscrit le champ de la science archivistique. La deuxième partie est dédiée aux connaissances pratiques sur les archives. Elle évoque l’exploitation d’un service d’archives. Enfin, la troisième partie et dernière partie traite de la valorisation des archives, notamment au travers des médias, avec de plus en plus les Tic.
A la cérémonie de dédicace, hier, d’éminents universitaires ont apporté leur soutien à la cause que Gilbert Toppé veut promouvoir à travers son livre. Bahi Gouro Venance, directeur des Archives nationales, qui a préfacé l’œuvre, a replacé les archives dans tous leurs contextes et leur importance dans la vie des nations, des institutions et surtout dans le domaine des médias.
Le Pr Bolou, de l’université de Bouaké, avec une approche savante, a plutôt démontré que les archives, contrairement aux idées préconçues, font partie des nouveaux médias. « L’archive, c’est la source de savoir, c’est le fer… », a-t-il martelé, notamment.
Après « Communication politique et développement en Côte d’Ivoire » et « L’Union africaine et le développement de l’Afrique », Gilbert Toppé confirme avec « Education aux archives : théorie, pratique et valorisation », toutes les trois publiées chez L’Harmattan à Paris.
Edouard GONTO