Tengrela - La sérénité est revenue au sein de la population du département de Tengrela après deux attaques de djihadistes, en juin, à Misseni et Fakola deux localités maliennes frontalières à la Côte d’Ivoire, a constaté l’AIP.
Le constat a été fait au cours d’une visite dans des villages ivoiriens proches des localités maliennes prises pour cible par les djihadistes.
Cette tournée dont le but était de localiser les centres de vote du département a permis de visiter Kouroukoro, à 4 km de la forêt de Saman où s’étaient retranchés les djhadistes après l’attaque de Fakola. Les localités de Doubasso, Koulosson, Kokari, Kapegué ont été également visitées, du 2 au 13 septembre.
Dans ces localités, les populations vaquent sereinement à leurs occupations, a-t-on constaté.
De nombreuses raisons, selon les populations, expliquent cette sérénité. D’abord, après les évènements de Misseni e t Fakola, le Gouvernement ivoirien a réagi promptement en envoyant des renforts de militaires.
Les forces spéciales et un détachement mixte des forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI), gendarmes et policiers ont été déployés le long de la frontière avec le Mali. Ces forces ont reçu un appui logistique (motos, véhicules de transport de troupe, tenues de protection, matériels de campement, et autres matériels militaires).
Par ailleurs la visite du ministre délégué auprès du président de la République chargé de la défense, Paul Koffi Koffi, le 14 août, a contribué à renforcer cette sérénité.
En effet, au cours de sa rencontre avec les populations à la préfecture, le ministre Paul Koffi a réaffirmé la déter mination du Gouvernement à combattre le phénomène djihadiste. Il a également rassuré la population quant aux mesures prises par le Chef de l’Etat et le Gouvernement pour maintenir un climat de paix et de sécurité en Côte-d’Ivoire.
Trois mois après cette menace, tout semble rentrer dans l’ordre. Les familles parties précipitamment reviennent progressivement. La rentrée scolaire et les préparatifs des élections se déroulent dans la quiétude.
(AIP)
tmpo/akn/ask
Le constat a été fait au cours d’une visite dans des villages ivoiriens proches des localités maliennes prises pour cible par les djihadistes.
Cette tournée dont le but était de localiser les centres de vote du département a permis de visiter Kouroukoro, à 4 km de la forêt de Saman où s’étaient retranchés les djhadistes après l’attaque de Fakola. Les localités de Doubasso, Koulosson, Kokari, Kapegué ont été également visitées, du 2 au 13 septembre.
Dans ces localités, les populations vaquent sereinement à leurs occupations, a-t-on constaté.
De nombreuses raisons, selon les populations, expliquent cette sérénité. D’abord, après les évènements de Misseni e t Fakola, le Gouvernement ivoirien a réagi promptement en envoyant des renforts de militaires.
Les forces spéciales et un détachement mixte des forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI), gendarmes et policiers ont été déployés le long de la frontière avec le Mali. Ces forces ont reçu un appui logistique (motos, véhicules de transport de troupe, tenues de protection, matériels de campement, et autres matériels militaires).
Par ailleurs la visite du ministre délégué auprès du président de la République chargé de la défense, Paul Koffi Koffi, le 14 août, a contribué à renforcer cette sérénité.
En effet, au cours de sa rencontre avec les populations à la préfecture, le ministre Paul Koffi a réaffirmé la déter mination du Gouvernement à combattre le phénomène djihadiste. Il a également rassuré la population quant aux mesures prises par le Chef de l’Etat et le Gouvernement pour maintenir un climat de paix et de sécurité en Côte-d’Ivoire.
Trois mois après cette menace, tout semble rentrer dans l’ordre. Les familles parties précipitamment reviennent progressivement. La rentrée scolaire et les préparatifs des élections se déroulent dans la quiétude.
(AIP)
tmpo/akn/ask